Les Décombres

les cratères laissés par les bombes mes bon … Quand j`arrivas chez moi, ma première impression fut de croire que Mme Magloire c`étai trompée de direction, Apres avoir digère un peut la condition de mon équienne maison je commenças a fouiller les décombres, la maison avait étais atteinte par une bombe qui l`heurtât en plein milieu comme sis on aurais bien visée. Après deux heures de recherches intenses je commençais a perde espoir, quand tout d`un coup je trouvai ce cahier, il était un peut brûler

femmes ne portent pas de chapeau... qu'importe ! La bourgeoisie s'insurge et prend peur. Commentant une manifestation de mai 1936 au Père-Lachaise, pour l'anniversaire de l'écrasement de la Commune de Paris en 1871, Lucien Rebatet écrira dans Les Décombres (1938-1942) : « Une faune d'émeute, montée d'on ne sait où, tenait le pavé. Des voyous patibulaires, doublés de petites femelles pires encore, rançonnaient jusque sur les boulevards les passants au profit de joyeux grévistes installés dans les banlieues

catastrophe, les dégats matériels et les pertes humaines, l’état de la ville. Voltaire insiste sur le fait que des enfants ont été massacrés, qu’il y a des cadavres partout, du sang, des cris, des corps déformés, que certaines personnes agonisent sous les décombres sans qu’on leur porte secours. Rédaction Voltaire, Pangloss et Martin se réunirent, 4 ans après le séisme de Lisbonne. Voltaire convia les deux philosophes chez lui, et lorsque fut venu le temps du repas, ils discutèrent du cataclysme

veille du séisme d'Haïti , le pays était déjà subventionné par de nombreuses ONG et pays ou organisation humanitaires. Mais, depuis, ces mobilisation se sont multiplier. Les premières d’urgences ont été les secours portés au gens restés sous les décombres des bâtiments détruits par les séisme. Grâce a ces derniers, on a pu sauver plusieurs personnes après le désastre, parmi les survivant on retrouve : un jeune homme de 24 ans sauvé onze jours après, alors qu'il était à deux mètres sous le sous sol

sais parce qu’ils en ont parlés aux info’s au début de la guerre. Une arme pour détruire les être vivants, mais conserver les villes. Il ne faut pas me demander comment et pourquoi, mais nous sommes onze hommes, et huit femmes, réunis dans les décombres d’un ancien bar miteux (genre pub irlandais délabré) de la ville, à côté de la place centrale. Je dis délabré, mais j’exagère, car les bombes n’ont endommagées que l’extérieur, et à très faible dose. D’autres bâtiments ont plus soufferts, mais

mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul un homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel qu’il sait déjà vain. L’arrière-plan présente une fournaise infernale. Enfin, dans la prédelle (la partie basse)

par la guerre civile. Exécuteur 14 nous présente le dernier survivant d’une guerre civile qui, par l’entremise de sa propre histoire, revit tous les évènements passés. L’histoire qui nous est racontée est un témoignage, une confidence entre les décombres d’un homme dépouillé de son être et un spectateur témoin et attentif. L’univers présenté L’entrée en salle nous plonge dans un univers inquiétant et angoissant. La scène est plongée dans le noir, on ne discerne pas le décor. Un nuage de fumée

réconfortaient dans l’idée qu’ils avaient sauvés une jeune femme dans la fleur de l’âge, mais au fond, ils étaient profondément déçus… L’un des docteurs présents se souvint alors que, le jour de l’arrivée de la jeune femme, en fouillant un peu les décombres du labo, il avait découvert quelques documents qu’il pensait être sans importances, il alla donc les chercher à toute vitesse, et en revenant, se rendit compte qu’ils avaient peut-être plus d’importance qu’il ne le pensait. L’un de ces documents

Ils appartiendraient aux deux disparus. «J'ai proposé à un ami de retrouver les siens en faisant le tour des hôpitaux de la ville» nous fait part un ami d'un des membres de la famille des disparus. Le bras d'un enfant a été retrouvé dans les décombres, mais selon un témoin, le jeune serait toujours vivant. «J'ai vu un enfant s'enfuir sur ses deux jambes» nous raconte une femme, encore choquée par l'attentat. «La détonation et les hurlements résonnent encore dans ma tête» ajoute t-elle. Des habitants

laideur peut-elle être source de découvertes ; le poète à travers elle peut déchiffrer le monde, atteindre son essence peut-être mieux que grâce à la beauté. Cf. cette strophe du poème « Le Guignon » de Baudelaire évoquant l'or à trouver sous les décombres, découverte que permet l'expérience poétique : Maint joyau dort enseveli Dans les ténèbres et l'oubli, Bien loin des pioches et des sondes ; 2) Les moyens de l'alchimie : l'exploitation des ressources du langage et la musicalité Cette transfiguration