Les Dessins Animés Dans La Propagande Américaine

Introduction : A l'image de Coca Cola pour les sodas ou de Nike pour les chaussures de sport, quand on parle de dessins animés, on pense tout de suite à Disney. La Walt Disney Company est une multinationale dont les secteurs privilégiés sont l'audiovisuel (cinéma, télévision, vidéo...) et le tourisme (parc d'attraction, hôtel...). La société doit sa réussite à son créateur Walt Disney. Grâce à son idée, considérée par de nombreuses personnes comme une folie, de réaliser des long-métrages d'animation

    Mais   quelques   inventeurs   essayaient   déjà   d’en   faire   autre   chose,   comme   Émile  Reynaud,   qui   réalise,   en   quelques   sortes,   les   premiers   dessins   animés   de   l’histoire   du   cinéma.   Grâce   à   son   praxinoscope   et   ses  30  facettes,  il  pouvait  faire  défiler  très  rapidement  des  images  et   donner  l’impression

nature dans la publicité et les médias.       Une image est une représentation mentale ou visuelle d'une personne, de quelque chose... Une image peut être naturelle comme une ombre, un reflet... ou artificielle comme une peinture, une photographie, un dessin ... L'image permet une lecture instantanée. Des millénaires la séparent de l'écriture, cependant les médias utilisent maintenant les lettres comme image afin de faire passer des slogans. L'exploitation de l'image se traduit par le fait d'utiliser

suicide. FILM -KIRIKI : acrobates japonais 1907. Production Pathé. On est encore au ciné « à la Méliès ». Ça ressemble plutôt un spectacle de foire. Le réalisateur Segundo Sciomon( ?). C’est un espagnol, l’un des premiers réalisateurs des dessins animés -CORSA ALLA SCIMMIA Italie 1909. Production Italia films. On n’a pas un auteur, il s’en fiche, son but est de faire rire. Il y a des gags, des chutes, accidents. Tous les films de l’époque rassemblent à ça. Le thème de la course/poursuite, un

communisme dans toute cette partie de l’Europe et les Etats-Unis lance le Plan Marshall pour rallier le plus de pays à leur camp. L’idéologie communiste se retrouve alors totalement décriée par les Etats-Unis, taxée de totalitariste, et l’idéologie américaine se retrouve vivement critiquée par l’URSS, qualifiée de fasciste. Pourtant, ces deux idéologies présentent des défauts comme des qualités. Quelles sont donc les adhésions et les contestations des deux grands sur le plan idéologique ? Nous nous

uk/illingworth/illingworth_s040.htm Philippe Zec, Daily Mirror, 11 octobre 1940, dans Bryant M., La Seconde Guerre mondiale en caricatures, Hugo& Cie, Paris, 2009.16 La seconde, de Jehan Sennep, datée de 1943 et titré Propagande, montre Pétain griffonnant à la lumière d’un réverbère des graffiti en son honneur. Ce dessin fait écho au nombre croissant de croix de Lorraine, Vive la France et Vive de Gaulle qui fleuris- saient sur les murs. Une lithographie russe, enfin, montre Laval à genoux devant Hitler, quéman- dant

L'endoctrinement est le fait de faire adhérer quelqu'un à ses idées en le dirigeant intellectuellement. De quelles manières Hitler a t-il endoctriné le peuple allemand ? Nous verrons dans un premier temps son arrivé au pouvoir, sa politique et sa propagande, puis dans une deuxième partie, les ennemis qu'Hitler donne à abattre, puis en dernier, nous étudieront la façon de résister de certains hommes qui se sont opposé à Hitler et les mesures qu'Hitler a pris contre eux. Pour finir, Hitler fut un

simule tout d’abord un solo de guitare avec une raquette de tennis devant un poster du groupe « Iron Maiden » puis elle essaie d’imiter la chanteuse Kim Wilde ( icône de la culture anglaise des années 80 ). Les dessins sont réalisés en noir et blanc. Marajane Satrapi, s’inspirant du dessin de David B, nomme son graphisme réalisme stylisé. Il n'y a pas d'ombres, pas de contrastes, la dessinatrice ne fonctionne que par aplats. Les fonds des vignettes, noirs ou blancs, renforcent la vision des personnages

étant réduite à des petits cadres, le dessin expressionniste d’influence japonaise est rehaussé à la main de couleurs intenses dans un style Art déco. Une conclusion prudente et ambiguë modère cependant le propos contestataire de l’image, laissant entendre que l’industrialisation a du bon (ou est inévitable ?). C’est encore Tolmer qui publie en 1920 un ouvrage original pour les tout-petits avec des personnages détachables, La Croisière blanche, dont les dessins de Jack Roberts, colorés au pochoir,

énergies, toutes les formes d’art, tous les media doivent contribuer à l’effort de guerre. Elle est l’archétype, également, de la civilisation industrielle qui rend possible ces massacres en masse. Les artistes sont utilisés pour le camouflage : dessiner des bateaux et réaliser des camps militaires fictifs pour que l’ennemi assaille par erreur une armée de carton et perdent inutilement ses munitions. La culture de guerre la plus aboutie est peut-être celle née au Japon dès le début des années 1930