Les Deux Magots

Grèce en 1932, il se mit à réfléchir à l'écart entre les langues parlées et écrites, écart flagrant pour le grec moderne, mais très creusé aussi pour le français. L'auteur publie son premier livre Le Chiendent en 1933, et obtient le prix des Deux-Magots. A 33 ans, il devient membre du comité de lecture des éditions Gallimard. Il vécut de journalisme, petits boulots puis, à partir de 1938, d'activités au sein des éditions Gallimard (lecteur et traducteur d'anglais, membre du Comité de lecture, directeur

dans le logement de fonction du garde-barrière du lieu dit la Croix-de-Maufras, situé sur cette même ligne Paris le Havre. La tâche de garde-barrière est confiée à Misard, son mari et à sa fille Flore. En épousant Misard, Phasie a gardé pour elle un magot de 1 000 francs qu'elle refuse de partager avec lui. Pour pouvoir entrer en possession de l'argent, Misard l'empoisonne lentement en versant du salpêtre dans son sel, mais la tuera finalement avec de la mort aux rats. Après la mort de sa femme, Misard

que Dorante est sincère dans ses sentiments envers Araminte mais il reste de nombreuses ambiguïtés dans cette pièces notamment à cause des deux thèmes très liés : l'amour et l'argent. Dorante est-il vraiment désintéressé ? Selon moi, Dorante n'est pas, soit l'amoureux sincère et passionné, soit le complice de Dubois dans une quête pour l'argent : il est les deux à la fois. Cette ambiguïté dans le personnage rend la pièce plus réaliste et en même temps intrigue le lecteur. Araminte incarne la bourgeoise

son « magot » est synonyme de vie et de résurrection : « N’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon cher argent, ou en m’apprenant qui l’a pris ? » (l.16, 17). Ce désespoir prend tout son sens quand Harpagon personnifie l’argent : il lui parle en le tutoyant des lignes 11 à 14, il le qualifie de « cher ami » (l.11). Il vit presque une relation amoureuse avec ses pièces et il est plein de compassion et d’attendrissement comme le montre l’adjectif « pauvre » répété deux fois à

Grandmorin, elle tombe amoureuse de Jacques (chap 6).
Celui-ci a de la peine à dégager sa machine, la Lison, arrêtée deux fois par la neige (chap 7). 
Sa liaison avec Séverine lui fait retrouver ses pulsions de meurtre, mais il n'arrive à tuer ni son amante ni le mari de celle-ci, qui devient gênant (chap 8-9). 
Phasie a été empoisonnée par Misard qui voulait s'emparer de son magot, et Flore, jalouse, veut tuer les amants. Pour cela, elle organise un accident, qui fera des morts, mais n'atteint pas

grand seigneur que vous à Paris ». Dubois va également aider Dorante à obtenir ce qu’il souhaite, c’est-à-dire se marier avec Araminte. Pour cela, Dubois est mis dans la confidence, Dorante a une confiance aveugle en son ex-valet, et forment tous les deux un duo « notre projet […] nous sommes convenus de nos actions […] nos mesures ». Le valet est déterminé et prêt à tout pour aider Dorante « je m’en charge, je le veux, je l’ai mis là » (scène 2, acte premier). Pour aller plus loin, Dubois aide également

Intro : Je vais vous présenter la scène 10 de l’acte II des fausses confidences, etudié en Francais dans le cadre théatre et stratagème. C’est une piece ecrite par Marivaux, né en 1688 et mort en 1763. L’intrigue est centrée sur le langage et sur les farces, pièce typique du mouvement appelé le marivaudage. Pour résumer rapidement, Dorante, un jeune noble qui a perdu sa fortune, aime Araminte, une riche héritière. L’ancien valet de dorante, donc dubois, qui se retrouve au service d’araminte, a

attrait quand on s’aperçoit qu’elle est fausse, il a ressemblé au maître sans en avoir les avantages. Il finit par expliquer qu’il n’était qu’un soldat d’antichambre qui jouait le rôle de son maître. Lisette le traite alors de « faquin » et de « magot » pour ensuite finir par avouer qu’elle ne vaut pas mieux que lui car elle n’est que la coiffeuse de Madame. Arlequin n’en croit pas ses oreilles et s’écrie : « Masques ! ». Ce terme fait clairement allusion au fait que les personnages ont camouflé

fleurs blues, ou des poèmes tels que Si tu t'imagines ou Cent mille milliards de poèmes. C’est en 1933 qu’il publie son premier roman, Le Chiendent. Ce roman lui vaudra la reconnaissance de quelques amateurs qui lui décernent le premier prix des Deux-Magots (pris littéraire français crée en 1933) de l'histoire. Suivront quatre romans d’inspiration autobiographique : Les Derniers Jours, Odile, Les Enfants du limon et Chêne et Chien, ce dernier entièrement écrit en vers. Après avoir été journaliste

La phase de création de l’organisation correspond pour Victor à une phase d’enfermement dans l’imaginaire. C’est alors que l’organisme-initiateur demande à Victor de séparer certaines fonctions de l’organisation, en vue de récupérer un magot. Victor s’y oppose mais peu distinctement. Ceci correspond à un conflit manqué qui aurait pu éviter la crise finale. Lors de la montée du malaise, Victor ne veut pas faire de concessions, il n’arrive pas à prendre de distance et à intégrer