Les Diaboliques

qu’ils croisent comme objet d’ascension sociale. *Echanger sa jeunesse et son potentiel de vie comme Rastignac dans La Peau de Chagrin de Balzac qui signe un pacte avec le diable : des bribes de bonheur contre des années de vie. Faust et son pacte diabolique ne sont pas loin. *Julien Sorel dans le Rouge et le Noir, qui au détriment des sentiments de Madame de Rénal se créé un avenir de réussite sociale. *Humbert Humbert, le héros de Lolita de Nabokov qui, perdu entre ses sentiment et au gré de ses

que celui-ci l'avait trompé. Alors elle décide de les punir en les jetant dans une marmite géante remplis d'animaux très dangereux. Résultat : Juste avant qu'ils ne soient jetés dans la marmite géante, le roi débarque et découvre les méfaits diaboliques de sa mère. Celle-ci, apeuré, se jette de son propre chef dans la marmite et se fit manger par tout les dangereux animaux. Situation final : Le roi se console de la mort de sa mère par l'amour de sa femme et ses enfants. Évolution du conte

longtemps imposé sa toute-puissance par ses intrigues libertines et son cynisme machiavélique. Vautrin, chez Balzac, satisfait sa volonté de puissance, sa frénésie de ­conquête au mépris de toutes les valeurs morales et « réussit » dans ses stratagèmes diaboliques. 2. La réussite fait accéder le personnage à l'existence Pourquoi la réussite est-elle essentielle dans l'accession du personnage à l'existence ? Le lecteur satisfait avec le roman son goût pour les destinées et les personnages hors norme ;

considérer le xixe siècle comme l’âge de l'essor de la nouvelle. Et d'Honoré de Balzac (Contes drolatiques) à Gustave Flaubert (Trois contes), de Victor Hugo (Claude Gueux) à Stendhal (Chroniques italiennes), d'Alfred de Musset à Barbey d’Aurevilly (Les Diaboliques), de George Sand (Nouvelles) à Zola (Contes à Ninon), il n’est guère de romancier d’importance qui n’ait écrit de nouvelles, et même de recueil de nouvelles. Certains, comme Prosper Mérimée, Jean de La Varende et surtout Guy de Maupassant, avec

de Merteuil assoit tout de même un pouvoir considérable sur les autres personnages du roman, en particulier les personnages masculins. En effet, la marquise de Merteuil est tout au long du roman, soit avec un homme, soit entrain de dicter un plan diabolique à un homme, de préférence le vicomte de Valmont, acte qu’elle ne peut réaliser elle-même de par sa situation sociale : elle est une femme et n’a donc pas le même poids social qu’un homme, même souvent s’il est d’un rang inferieur au sien. Par ailleurs

exprime des idées radicales a l'égard de la société « S'emparer du gouvernement avant tout » Il veut exprimé l'injustice envers les pauvres « toujours les riches suceraient le sang des pauvres » Ils expriment là, que les riches sont des personnages diabolique dont leur but est de manger les pauvres. L'opinion de Zola sur le personnage d'Etienne est négative. Il le considére comme un apprenti révolutionnaire encore mal dégrossi. Le passage du discours d'Etienne aux mineurs, montrent une idée révolutionnaire

 Lire et expliquer l’œuvre : 1- Les termes qui qualifient l’accusation sont : « comédie absurde mais nécessaire – complots insensés – diaboliques – absurdité grotesque » L’auteur cherche à provoqué chez le lecteur un sentiment de compassion pour Roubachof et montré l’injustice qui était présente. 2- Le terme d’aveux est entre guillemets car Roubachof est innocent et il n’a aucun aveu à faire et ce n’est pas vraiment le bon terme à utiliser. 3- 4- Les phrases interrogatives sont nombreuses

pour ne pas perdre la face. q Réaction de charité laïque, humaine; puisque Dieu ne se manifeste pas, mieux vaut la charité (solidarité) humaine=>D.J. est en sympathie avec l'humanité et il voudrait la voir secouer le joug de la religion q D.J.: diabolique car il veut pervertir le pauvre q D.J. défenseur des libertés humaines; Dieu= forces obscures qui veulent réduire l'homme à la peur. (XX) q La question posée semble être la recherche passionnante d'une vérité difficile à trouver. q D.J.: un

longtemps imposé sa toute-puissance par ses intrigues libertines et son cynisme machiavélique. Vautrin, chez Balzac, satisfait sa volonté de puissance, sa frénésie de ­conquête au mépris de toutes les valeurs morales et « réussit » dans ses stratagèmes diaboliques. 2. La réussite fait accéder le personnage à l'existence Pourquoi la réussite est-elle essentielle dans l'accession du personnage à l'existence ? Le lecteur satisfait avec le roman son goût pour les destinées et les personnages hors norme ; à

Celle par qui on trouve l'inspiration et l'extase mais celle qui perdra l'homme. Elle est donc toute puissante tout comme la mort. Baudelaire semble d'abord mettre la femme-vampire de son poème comme celle qui a tous les pouvoirs. Elle est immense, diabolique, elle laisse l'homme, le poète, faible et soumis. Mais c'est ce dernier qui survivra à l'extase. Il a souffert, il a eu du plaisir et il en ressort faible mais vivant. Beaucoup d'interprétations furent données pour la fin du poème de Baudelaire