Les Diaboliques

j’ai été frappé de voir mes frères, des prêtres, des évêques, avoir une vision de l’entreprise parfois très caricaturale, bénissant le libéralisme économique comme s’il était évangélique, ou condamnant le libéralisme économique comme s’il était diabolique. C’est pourquoi la question du management chrétien est importante. Je pense qu’il y a certains éléments du management qui peuvent être chrétiens. J’en vois un essentiel, que souligne la doctrine de l’Eglise, c’est ce qu’elle appelle "l’option préférentielle

commettre des excès. L’animal, lui, n’a pas de liberté. Obligé d’obéir au programme naturel. L’ECART et L’EXCES transcendance volonté par rapport programmes naturels. Cela montre que l’humain  excès  capable du meilleur comme du pire (« mal diabolique »). Animal = aucune volonté consciente de faire du mal, fait du mal pcq inscrit dans son instinct. >< Homme = s’organise consciemment  cruauté, méchanceté. Mal  encontre de la nature  contre-productif. CSQ 1 Homme : double historicité

véritable identité au tribunal pour sauver le malheureux. Avant d’être emprisonné, il assiste à l’agonie de Fantine et lui jure de protéger Cosette. Il s’échappe finalement pour se rendre à Paris. Cosette devient servante chez les Thénardier, couple diabolique qui s’enrichit en détroussant les morts tombés sur le champs de bataille de Waterloo. Valjean de son côté a été rattrapé par Javert, mais s’est échappé une nouvelle fois en faisant croire à sa mort par noyade. Il sauve Cosette de la tyrannie des

considération... Oui, bien plus ! (retrouvant confiance en lui) Je ne perdra pas de vue mon objectif et je l'atteindrais quoi qu'il arrive. C'est donc de ce pas que je m'en vais conspirer et la meilleure des diableries et des dessein les plus diaboliques pour enfin arriver à mes fins et pour récupérer ma chère et tendre Agnès.

la préface. Dresser une conclusion personnelle sur le pas- sage. S2 Schlemihl commet l’irrépa- rable. Le dialogue entre Schlemihl et l’homme en gris ( p. 41-43 , l. 206-262). Établir les caractéristiques du conte fantastique à travers le pacte diabolique. Dégager les interventions du narrateur dans le dialogue, tout en relevant les propos rapportés (discours direct et indirect). Relever les caractéris- tiques du conte fantas- tique. Substituer aux formules valorisantes des péri- phrases dévalorisantes

lui convenait tout à fait. Car il n'aimait pas les événements, et il avait une véritable horreur de ceux qui ébranlaient ... Lire la suite son équilibre intérieur et chamboulaient l'ordonnance de sa vie. » Depuis Le Parfum, on connaît le talent diabolique de Patrick Süskind. Lisez ce petit livre : plus jamais vous ne regarderez un pigeon de la même façon. Danièle Mazingarbe, Madame Figaro. Le nouveau Süskind, dans une traduction superbe de Bernard Lortholary, Le Pigeon, est un petit bijou (...) qui

ayant appris l'interdiction, s'en émut et déclara que d'après ses docteurs et lettrés, le café était tout à fait bon pour la santé et agréable à Allah. Au cours du siècle à plusieurs reprises, comme en 1525 et 1534, les controverses sur le caractère diabolique du café réapparurent et les persécutions contre les buveurs de café reprirent

AISEE Il est le maitre du jeu et de la parole Impératifs nombreux, il impose ses désirs B) IL GENERE LA GENE Quelque chose de malsain dans son comportement Apathie du spectateur pour le pauvre qui est obligé de se justifier C) UN ROLE DIABOLIQUE, ENGEANDRANT LA DIVISION Il sème le trouble, divise ce qui est uni, le diable (lat. di = deux) Remet en cause l’échange entre les bien matériels et spirituels (le sens de la prière)  Un personnage manipulateur et pervers, qui se plait à jouer

« Mais cette lettre est longue, monsieur le Président, et il est temps de conclure. J'accuse le lieutenant-colonel du Paty de Clam d'avoir été l'ouvrier diabolique de l'erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son oeuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables. J'accuse le général Mercier de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle. J'accuse le

la regardèrent. Puis ils encerclèrent Marie, la regardèrent, au fur à mesure que les secondes passaient leurs habits se déchirèrent ils n’avaient plus un visage doux et en sérénité leurs traits s’aggravèrent et ils avaient un visage maléfique et diabolique. Quelques instants plus tard la musique reprit comme par magie, mais cette fois avec une vitesse et une intensité épouvantable qui rendait se moment un cauchemard qui pénétrait petit à petit au plus profond de sois, ils coururent tous vers Marie