Les Diaboliques

d’agonie fait paraitre celle-ci lente et douloureuse. Zola porte aussi notre regard « justement » (l.8) sur l’agonie du cheval « près d’elle » (l.8) qui mime l’agonie de la machine. Il présente une agonie qui va se terminer vers sa mort. Le langage diabolique en témoigne « rouges comme le sang » (l.3) rouge qui se rapporte aux enfers, « coup de corne » le visage du diable, « l’âme » qui fait pensé aux âmes des damnés. Enfin le registre tragique expose une vision chaotique de l’extrait car il y a une

I)Informations données sur le personnage de DJ, un portrait en action d’un maitre présenté tel un libertin débauché 1)Le séducteur l’épouseur du genre humain, énumération, multiplications Il va à l’encontre des droits sociaux de son époque (désir : diabolique) : transgressions religieuses 2) Un impie Il défie les lois sociales ET divines.Il nie toutes les lois religieuses,se montre athée. Contexte de la contre-réforme catholique : imprégnation religieuse, au 17e ,libertin : ne réclamait aucune

repasse au second plan à l’acte IV, mais surgit avec le piège tendu à la reine grâce au rendez-vous du premier billet (V, 2) et finit par se révéler en plein lumière à la fin de l’acte (le dénouement). Cette vengeance se caractérise par son côté diabolique machiavélique. Et Ruy Blas s’en fait à son insu l’instrument : plus il affirme son génie politique et acquiert de pouvoir, plus il est aimé de la reine ; plus l’amour devient manifeste entre eux, plus ils se fragilisent face au chantage de don Salluste

monstres sur la population ensuite nous avons chercher à savoir à quel moment un monstre est considéré comme tel. I ) Effet sur la population Peur : Les monstres évoquent la peur, les monstres fantastiques nous effraye avec leurs formes diaboliques, alors que les monstres actuels nous effraye par leurs différences. On le remarque dans le roman de Victor Hugo, où Quasimodo, se fait rejeter par la population lors de son apparition, les femmes ont peur pour leurs fœtus, peur de mettre au monde

est subjectif quand le narrateur raconte les choses en donnant sa propre perception des événements, son point de vue, son avis. Vocabulaire péjoratif : il permet de dévaloriser, de dire du mal. Exemples : « barbare », « effrontément », « diabolique » sont des mots péjoratifs. Vocabulaire mélioratif : il permet de valoriser, de dire du bien. Exemples : « innocente », « simplicité », « modération » sont des mots mélioratifs.

Première victime de cette série de crime, Wargrave a mis du cyanure dans son verre de  whisky.     Lawrence John Wargrave            L.J. Wargrave est en apparence un juge remarquable et honnête mais dans son for  intérieur, il s’agit d’un être démentiellement diabolique puisqu’il est l’auteur de cette série de  crime plus ingénieux les uns que les autres. Il souhaitait commettre un crime sensationnel,  fantastique, où le problème serait insoluble. Il a conduit à la mort Edward Seton le 10 juin  1930. Celui­ci était accusé d’avoir assassiné une vieille femme

dissuader ceux qui en auraient envie d’entrer dans la Résistance. c)     Ses arguments L’affiche est composée : - Des couleurs rouge (rappel du sang et du communisme) et noire (rappel de la mort) qui donne une connotation morbide et diabolique. - D’un triangle formé par les portraits des dix résistants (mal rasés, mal coiffés avec des mines patibulaires) qui apporte de l’agressivité. - De gros titres placés aux extrémités de l’affiche, en haut une phrase interrogative « des libérateurs 

celles communes aux livres de classe d’histoire. Nous ne sommes pas ici face à un portrait du fürer mais devant un corps de jeune garçonnet au visage paisible comme si les traits en avaient été volontairement adoucis. Mais c’est également le côté diabolique du pouvoir qu’il veut mettre en avant en nous présentant un personnage à l’allure séduisante. " Le mal peut-il devenir bien, ne serait-ce qu’un instant ? Hitler a-t-il connu la bonté pendant sa vie, et si oui, peut-on considérer cette lointaine

que tout crime peut être résolu sur base d'une enquête méthodique. L'autre par contre, Gastmann, prétend que de nombreux crimes ne pourront jamais être résolus rien que par le fait qu'un mobile peut être absent, et il lui propose un pari des plus diaboliques: Gastmann commettra crime sur crime et Bärlach devra essayer de l'arrêter. Sur un ton de plaisanterie le policier accepte, mais à son horreur il ne se rendra compte que trop tard du sérieux de son compagnon. Quelques dizaines d'années plus tard

anti-productif. Les animaux, eux, ont toujours des raisons d’agir ainsi (survie, apprentissage, etc.). Nous sommes aussi les seuls qui sont en mesure d’éprouver de l’empathie pour un autre être vivant. Il est donc insensé d’accuser un animal de diabolique dans cette réalité, il ne peut pas comprendre le mal en soi. (98 mots) 5ème question: Sartre affirme qu’il n’y a pas “d’essence” pour l’être humain, car nous sommes amplement capables de surmonter nos instincts afin de prendre des décisions