Les Diaboliques

Revanche. 2- Une guerre courte :1a victoire avant-Noël, la victoire de la Marne en septembre 1914. 3- Un soldat parti résigné mais confiant. B) Le combattant du bien 1- Le défenseur du bien, de la liberté et de la démocratie contre un ennemi diabolique et sanguinaire (propagande). 2- Le paysan soldat : mobilisation en masse des paysans, retour des ouvriers aux usines. 3- Défendre la patrie et son sol sacré, défendre la terre. C) Le guerrier moderne 1- Amélioration de son équipement de

longtemps paru coupable, d’un aloi à la fois suspect et éminemment malfaisandé, c’est parce que le nom de Borgia charrie non seulement la représentation d’une pratique politique pervertie par un cynique amoralisme, mais aussi l’idée d’une alliance diabolique de la force et de la fraude au service d’une ambition personnelle. Mais, la faute morale ici, maintes fois stigmatisée et dénoncée1, se doublerait d’une inconséquence. Au regard des critères d’efficacité les plus stricts que commande un réalisme

(ligne 6). "La guerre est en couleur", parfois, parait-il, expression qui résonne comme une promotion : Des couleurs sinistres " grisâtres " (ligne 7) et "blanchissantes ", telles sont les vraies couleurs de la guerre. Et des couleurs de fête diabolique que la candeur des hommes simples transforme en émerveillement " Oh ! Une rouge… Oh ! Une Verte… " (ligne 38). La peinture qu'Henri Barbusse fait de cet épisode est poignante. Toute la symbolique est contenue entre les soldats épuisés qui souffrent

contient 4 séquences et 10 lectures analytiques Séquence 1 : Dom Juan, Molière Objets d’étude Le théâtre : texte et représentation Problématique : Comment représenter sur scène la figure diabolique de Dom Juan ? Lectures analytiques : Acte I, scène 1, tirade de Sganarelle Acte III, scène 2, la scène du pauvre Acte V, scènes 5 et 6 le dénouement Lectures complémentaires Acte II, scène 2, l'éloge de l'inconstance Activités

organisations criminelles clandestines dont les activités se propagent dans les milieux sociaux et politiques influents pour prendre le contrôle de secteurs lucratifs de plus en plus divers comme ceux du spectacle ou des médias. L’engrenage diabolique du système est que les mesures prisent pour freiner le trafic de drogue (on en saisit environ 10% par an) font augmenter le prix de la drogue et donc les profits des trafiquants. • La légalisation de l’usage des stupéfiant est donc étudiée dans

mais aussi l’enchainement inéluctable des événements dans lesquelles les dieux interviennent tjrs mais sont associées à des actions cruelles • les dieux finalement sont comparé à une machine infernale dans l’oxymore « dieux infernaux » : dieux diaboliques, comme la machine : dépourvus de toute humanité : réseaux sémantique de l’anéantissement « peste , fléau, infecter le pays , anéantissement mathématique d’un mortel » • Machine métaphore de la vie symboliser par la métaphore du piège qui se referme

jusqu'au début de la guerre entre les Goa'uld et les Réplicateurs. Conscient qu'il n'arriverait jamais à contrôler la galaxie comme il le souhaitait, alors que les Réplicateurs avaient presque envahi tout l'empire Goa'uld, il mit au point un plan diabolique : annihiler toute vie dans la galaxie pour en recréer une selon ses souhaits. Pour cela, il avait besoin de l'arme des Anciens cachée sur la planète Dakara et du virus des portes des étoiles détenu par Ba'al qui permet d'ouvrir toutes les portes

effroi : il est littéralement choqué . Il est d'autant plus surpris qu'Hitler est représenté dans un moment d'intimité religieuse ; cette surprise est renforcée par l’hyperréalisme de la sculpture. Avec cette oeuvre, Cattelan met en avant le côté diabolique de l'homme au pouvoir et rappelle donc de manière violente que le bien peut côtoyer le mal à des degrés différents, incitant le spectateur à se méfier des apparences . Par cette oeuvre, l’artiste bouscule les consciences afin qu’elles n’oublient

corps et de son esprit pouvaient être condamnées pour sorcellerie * la femme à cette époque devait obéir aux hommes, donc il était nullement question d’une liberté d’expression ou de sexualité de la femme * la sexualité féminine étant vue comme diabolique, la femme vendant ses charmes ou voulant pratiquer une autre position que celle dite du missionnaire était considérée comme une sorcière car sortante de son rang de femme soumise la femme « intelligente » (qui osait répondre à un homme ou alors

la grandeur recèle toujours quelque tentation diabolique, quelque vertige fatal ? Non seulement on comprend mieux aujourd’hui, que l’homme n’écarte pas si facilement de sa vie le mal ou l’erreur, mais on sait parfaitement désormais que ses plus beaux élans et ses pouvoirs démesurément accrus restent foncièrement ambigus… Le XXe siècle a été la démonstration pratique que l’enfer était le plus souvent pavé des meilleures intentions ! Le pacte diabolique garde donc sa valeur symbolique. En fait, il