Les Differences Citoyenneté Romaine Et Athénienne

est encore plus vrai pour la participation à la gestion publique. Le respect de l’autorité institutionnelle et l’acceptation de la parole politique sont considérés comme traditionnels, comme hérités du passé, alors que la critique sociale et la citoyenneté active seraient des marqueurs du temps présent. Les limites de la participation publique sont incertaines. Elle est parfois réduite à du partenariat classique. Elle est également confondue avec les démarches de consultation, de concertation, voire

l'occident d'imposer ses rapports sociaux. Document 3: ouverture vers autre chose que l'occident. Document 4: de Michel ville. Séance 2: différentes sources historiques. Séance 3: sources internationales, gros plan sur l'Europe. Faire attention à la différence de nature entre les documents. Attention 2 textes n'émanent pas de la même Europe, l'Europe du conseil de l'Europe, et l'Europe de l'union européenne. Séance 4: source nationale des libertés publiques Séance 5: séance importante parce que les

Organisation de l’enseignement : TD 1h30 / semaine 35 UE HG1.4 : DOCUMENTATION UE HG1.4 Semestre 1 Licence 1 Documentation Contenu : Ce module est essentiellement axé sur la recherche documentaire et a pour but de savoir distinguer les différences sources d’information, de savoir utiliser différents outils de recherche, de connaître les ressources proposées par la BU et de mieux utiliser internet. Les séances porteront sur : - la recherche documentaire (rappels, utilisation du portail

Le devoir 13.1 Les diverses formes de devoir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13.1.1 Le devoir moral se distingue-t-il toujours de l’obligation juridique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13.1.2 Quelle est la différence entre le devoir moral et le devoir religieux ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13.2 Le devoir moral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13.2.1 Le devoir moral est-il d’origine sociale ? . . . . .

d’autres termes, la globalisation porte le contraire absolu de ce que suggérait la mondialisation dans la perspective de l’universalité des droits de l’homme. Initialement, il s’agit d’un respect des différences alors que la globalisation laisse entrevoir un nivellement et donc une éradication des différences. Certains aspects de la crise actuelle mondiale, ne sont pas étrangers à cet aspect des choses. L’OMC est a priori un instrument de l’uniformisation. Voilà quelques années que l’on peut entendre

d'ordonner nos vies collectivement. Hannah Arendt nous rappelle que cela, en retour, dépend de notre capacité à interagir et à communiquer avec les autres. En tant que membre de l'espèce Homo sapiens, je désire communiquer avec d'autres, malgré les différences culturelles, religieuses et politiques ainsi que les préjugés. L'ère de l'information et des communications nous a donné les moyens de réaliser cette communication et, ce qui est plus important, a réduit la portée des frontières. J'ai récemment

en système idéologique ou en régime constitutionnel. Les lois de causalité expliquent les phénomènes dans leur enchaînement. Ainsi Montesquieu a-t-il établi des lois de succession quand il a étudié les Causes de la grandeur et de la décadence des Romains et des lois de coexistence dans L'Esprit des lois, lorsqu'il a établi les conditions des régimes de liberté. Ayant pour objet exclusif la constatation de l'existant, c'est-à-dire la détermination du réel, la science politique implique une « neutralité

sa probité est bien supérieure à celle d'un vulgaire médecin de cour. J’aurai pour lot d'être le plus soigné des malades. Mais nul ne peut dépasser les limites prescrites ; mes jambes enflées ne me soutiennent plus pendant les longues cérémonies romaines ; je suffoque ; et j'ai soixante ans. Ne t'y trompe pas : je ne suis pas encore assez faible pour céder aux imaginations de la peur, presque aussi absurdes que celles de l'espérance, et assurément beaucoup plus pénibles. S'il fallait m'abuser, j'aimerais

phénomènes sans gravité apparente constitue pour les pulsions et les désirs une occasion de se manifester à notre insu. Qu’est-ce que la maladie ? La différence entre le normal et le pathologique est ainsi déplacée par Freud : classiquement, elle était qualitative, la maladie étant autre que la santé. Avec la psychanalyse, il apparaît que la différence n’est plus que quantitative : il y a, de la santé à la maladie (mentale), continuité et franchissement d’un simple seuil de développement au-delà duquel

constitutionnel classique. Le droit est l’expression d’une culture, d’un pays, d’une société. Notre culture est marquée par l’individu lui-même avec le libre arbitre, la liberté, l’égalité, des idées que l’on retrouve chez les penseurs grecs, chez les romains, et au Moyen-Âge. On fait confiance à l’individu dans ces choix, chacun est titulaire du droit de vote, ce droit est individuel. C) La diffusion du constitutionnalisme - Ce concept s’est répandue dans le monde entier, on peut parler de constitutionalisme