Les Déterminants Du Pib

La croissance économique réduit-elle toujours le chômage ? Document 1 : Taux de croissance annuel moyen du PIB (en %), 1992-2005 Document 2 La première source d’explication de l’enrichissement de la croissance en emploi réside dans le développement du secteur tertiaire. […] La particularité du secteur tertiaire est que les gains de productivité y sont faibles comparés à ceux de l’industrie où l’innovation technologique améliore sensiblement la performance des machines utilisées et augmente ainsi

En France en 2008, le déficit était de 67 millions d’euros soit environ 6% du PIB. Dans le cadre du traité de Maastricht, il y a un pacte de stabilité qui indique que les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire doivent avoir un déficit budgétaire inférieur à 3% du PIB. • La dette publique est la somme des déficits budgétaires accumulés plus la charge d’intérêts. En France, elle correspond environ à 72% du PIB. Selon le Pacte de stabilité, les Etats membres doivent avoir une dette publique

| |Espérance de vie moyenne |73,7 années (71,5 ans pour les hommes, et 76.1 ans pour les femmes)[] | |PIB |239,7 milliards de dollars (2003) - estimation 2004 : 287,8 milliards de dollars | |PIB par habitant |9 400 dollars (2008) | |Inflation

finalités de la croissance L’amélioration du niveau de vie PIB, PIB marchand (et son calcul), PIB non marchand (et son calcul), PIB nominal, PIB réel, prix courants, prix constants, croissance, élasticité revenu, PIB / tête, revenu, besoins, niveau de vie, consommation, épargne Expliquer la contribution à la croissance du PIB des différents postes le composant 7 Le développement économique Bien être, développement, PNUD, externalités négatives, PIB en parité de pouvoir d’achat, indicateurs de développement

économique sur la croissance Les principaux déterminants de la croissance • L’accumulation de capital physique Capital physique : désigne tous les biens durables d’une entreprise qui aident à la production et à l’élaboration d’un produit commercial Ex : biens immobiliers, machines électroniques ou industrielles, matériels de production, ordinateurs - degré d’accumulation du capital physique représenté par la proportion de l’investissement dans le PIB Mise en place nouveau capital (Arrow, 1962)

sera très importante de 1980 à 2000 Elle bat actuellement tous les records mondiaux de croissance En seulement 25 ans, la chine devient une grande puissance économique avec un PIB de 5% au niveau mondial. Elle atteint la taille d’une grande puissance européenne. Mais elle est encore loin des Etas unis qui produisent 30% du PIB mondial, l’union européenne qui en produise 21% ou du japon avec 11%. Avec une croissance annuelle moyenne de 10% la chine est un des principaux moteurs de l’économie mondiale

(offre de fonds prêtables) est insuffisante pour financer |L'égalité épargne-investissement n'est donc pas forcément réalisée au départ | |l'investissement (demande de fonds prêtables), le taux d'intérêt va augmenter et|puisque les déterminants sont différents (revenu des ménages pour l'épargne, | |l'équilibre sera de nouveau réalisé. |taux d'intérêt pour les investissements des entreprises). | |Inversement, lorsque

.......................................... 49 A/ La mesure de la compétitivité- prix ........................................................ 49 B/Les déterminants de la compétitivité- prix .............................................. 49 SECTION II :...A LA COMPETITIVITE STRUCTURELLE ............................. 50 i A/ Les déterminants de la compétitivité structurelle ........................................ 50 B/ Grands choix économiques pour la compétitivité .........................

lʼinformatique peut être mobilisé : une connexion Internet très haut débit permet dʼeffectuer une tâche plus rapidement qu’ʼavec une connexion bas débit.. 4) Sur l a période 1998-2001, les courbes de la productivité horaire du travail et du PIB paraissent répétés : diminution, augmentation, diminution. On observe en revanche un décrochage dans la période suivante : la productivité prolonge, pratiquement à lʼidentique, son cycle alors que la croissance économique connaît une tendance à la baisse

lui est jugé néfaste. Cela est dans le cadre d’une orientation extravertie du développement qui place une tension supplémentaire sur le prix relatif en général et le taux de change réel en particulier (Dervis et Petri [1987]), en le considérant déterminant clé et critère de profitabilité à l’export. Cependant, très peu de travaux dans le cadre des approches de la croissance ont accordé une place à la formalisation théorique de la relation de long terme entre taux de change réel et croissance. Une