Les Déterminants Du Taux De Change Du Dollar

LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE Équilibre de long terme, dynamique et hystérèse Antoine Bouveret Doctorant à l’OFCE Henri Sterdyniak Directeur du Département économie de la mondialisation de l’OFCE Professeur associé à l’Université Paris IX-Dauphine La prévision de l’évolution du taux de change reste un point faible de l’analyse macroéconomique. Malgré leur cohérence théorique, les modèles macroéconomiques échouent à faire mieux que la marche au hasard. Les anticipations des marchés n’ont

chiffre d'affaires global d'un peu plus de 340 milliards de dollars (9). Le tableau 1 donne une idée de la forte implantation européenne dans l'indus trie américaine. H Tableau n° 1 Investissements directs américains à l'étranger dans l'industrie 1987 — Stocks en milliards de dollars et °7o mds °7o 126,6 104,8 67,5 64,9 °Io du total 100,00 82,8 53,3 51,3 Investissements directs aux États-Unis dans l'industrie 1987 — Stocks en milliards de dollars et °7o mds$ Monde 91,0 Pays développés 86,4 Europe 70

+ Prévisions de croissance pour 2007 en France + Quelles solutions au pétrole : la menace du charbon ? + Rien n’a changé. + Stagnation à l’horizon + Un petit coup d’inflation + - Archives 2007-2008 # 89 dollars le baril de pétrole # Accord "historique" à Montréal pour l’environnement # Asséché , l’Australie se convertit au dessalement

Léon Duguit - 33608 PESSAC - FRANCE Tel : +33 (0)5.56.84.25.75 - Fax : +33 (0)5.56.84.86.47 - www.gretha.fr Cahier du GREThA 2007 - 02 Attractivité comparée des territoires marocains et tunisiens au regard des IDE Résumé De nombreux déterminants des IDE ont été recensés dans la littérature comme la taille des marchés, les coûts de la main d’œuvre, les coûts de transports, le niveau de formation de la main d’œuvre… Or, la concurrence ou la complémentarité d’attractivité entre des pays proches

lui donne son identité particulière et sa place dans le marché. En effet, la force motrice d'une entreprise est la compétence de base et le métier que l'entreprise domine le mieux et qui lui procurent la réussite et un avantage concurrentiel déterminant. Beaucoup d’entreprises ont, en leur sein, de nombreuses activités qu'elles ont intégrées verticalement : la recherche et le développement, la production, le marketing, la vente, la distribution, etc. Dans chacune de ces activités, l'entreprise

inclure les décisions monétaires et fiscales). L’interdépendance des marchés amène les décideurs à prendre de plus en plus des décisions multiples. La BCE doit suivre la conjoncture pour maitriser l’inflation par exemple, ils vont regarder le taux de change, les prix à la production, les éventuelles tensions sur les capacités productives, les évolutions de salaires de la productivité… le but est de détecter les éventuelles tensions inflationnistes. Pour les gouvernements, l’utilité de la conjoncture

marchés financiers en Europe, qui permet aux Etats de financer sans difficultés leurs programmes de dette à des taux d'intérêt plus bas, pourrait laisser croire que la crise est finie, alors qu'en réalité la zone euro est entrée en récession. La récession est particulièrement sévère dans les pays d'Europe du Sud (on entre dans la quatrième année de contraction du PIB en Grèce). Le taux de chômage progresse presque partout en Europe, atteignant 10% en moyenne et plus de 20% en Espagne. La Grande Récession

Glorieuses. A partir du milieu des années 70, le taux de chômage se développe et la croissance diminue. C’est l’échec des thèses Keynésiennes, et cela va conduire au renouveau de l’école néo-classique. L’intervention publique va donc être jugée inefficace et pour passer cette crise des 70’s (choc pétrolier etc.…) l’idée est de libérer le marché de l’Etat. Les leviers d’actions de la politique économique vont changer et ces objectifs vont aussi changer : accroitre la vitesse d’adaptation des économies

marché local [modifier] Se rapprocher des marchés de consommation, S'affranchir des diverses entraves à l'exportation (quotas, taxes douanières...) des pays émergents, S'affranchir de la variation des taux de change, par exemple produire en zone "dollar" car selon les périodes économiques l'euro est un frein à l'exportation. Ce fut le cas lorsque Renault a créé une nouvelle unité de production en Roumanie pour fabriquer la Dacia Logan. En effet, au départ, il n’était

Émergence d'une profonde crise économique Forte réduction de la croissance économique en 2001 : taux de croissance de 1,1%, a été inférieur de 2,7 points à l'année 2000. Contraction du commerce mondial de 14 points (de 13,8% en 2000 à -0,8% en 2001). Reprise mondiale en 2003 de 2,6% et 4% en 2004 = nouvelle dynamique des marchés (influence du cycle de l'investissement, favorisé par la baisse des taux d'intérêt). Léger fléchissement de la croissance -3,2% en 2005. En 2006, croissance du PIB mondial