Les Enfants Rats

moitié des décès enregistrés dans les villages les plus atteints. Cette épidémie semble avoir commencé au début du siècle pour atteindre son apogée dans les années 50. Elle touchait principalement les femmes adultes (près de 80 % des cas) et les enfants des deux sexes (un tiers des cas). L'instabilité était le premier signe observé et imposait rapidement l'appui sur un bâton. Des mouvements oculaires anormaux et de discrets tremblements complétaient le tableau. L'aggravation de ces signes coïncidait

Fontaine est issu de la moyenne bourgeoisie provinciale. Jean étudia au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième. En 1649, il décroche le diplôme d'avocat. En 1647, il est marié à Marie Héricart âgée de 14 ans par son père. Malgré la naissance d'un enfant, Jean de La Fontaine est réputé pour être un fonctionnaire négligent et un père indifférent. Avocat au Parlement, il ne plaide guère. En 1658, Il se sépare de sa femme qui lui reproche notamment ses infidélités. Il fréquente beaucoup la société libertine

impressionnistes refusaient les conventions classiques et la peinture d'atelier officielle. Ils peignaient en plein air et leurs sujets n'étaient ni mythologiques, ni historiques, ni religieux. Ils devinrent les peintres du quotidien, des canotiers, des petits rats de l'Opéra, des "impressions " de la nature. Et justement parce qu'ils peignaient en plein air et non en ateliers exposés à une froide lumière, leurs couleurs étaient plus vives, plus claires et lumineuses, les ombres elles-mêmes se coloraient, les

livre: La peste Albert Camus Les événements qui font le sujet de cette chronique sont passes dans les années 40 à Oran. Oran, c’est une préfecture française à la côte Algérienne. Un jour, le médecin Rieux, qui est le narrateur voit plusieurs rats qui sont morts dans la rue. Il sais qu’il est dangereux quand les rues d’Oran sont encrassés mais la municipalité dit qu’on contrôle la situation. Rieux envois sa femme qui est malade à une Sanatorium et quelques jours plus tard les officielles concèdent

Première Guerre Mondiale, qui ont été perdues ou censurées car elles contenaient des informations que personne ne devait savoir. Informations qui dénoncent les conditions de vie horribles des soldats au front dans les tranchées. Ils vivaient au milieu des rats, avec très peu de quoi boire et manger. Et tout cela était cacher aux autres. Cela nous apprend donc aussi beaucoup de choses sur la Première guerre mondiale et les soldats. Comme dit précédemment pour l'exemple de « Paroles de poilus » l'une

des cris du vent, gémissait alors comme une île malheureuse. » II. Les thèmes 1. La maladie et la souffrance • La maladie apparaît brutalement et se répand avec rapidité. Elle est décrite avec une précision toute médicale : sa transmission par les rats, la fièvre et les abcès, les difficultés respiratoires, certains détails réalistes étant presque insoutenables. L'épidémie s'amplifiant, des dispositions légales sont prises : isolement des malades (dans les hôpitaux puis dans les écoles), quarantaine

hache dans la glace des icebergs - à recommander à tous les grands enfants qui persistent à se nourrir du pain des songes. » (extrait de la présentation des éditions Phébus). « Nous sommes au large de la Terre de Feu à bord du Baquedano, une corvette blanche comme l’albatros, sur laquelle s’est embarqué un passager clandestin : Alexandro Silva un diablotin de 15 ans qu’un matelot finit par dénicher au fond de la soute, parmi les rats et les cordages. Après une rude semonce le fugueur sera vite adoubé

jeune âge. La seconde fable n’est pas moins confuse : on s’attend à la classique histoire du fort qui se doit de tenir le plus faible en haute estime, mais apparemment les mésaventures de ce genre des Lions peuvent être réduites à celles avec les rats, puisque ce thème a déjà été traité par le fabuliste avec une morale exemplaire du rat qui rend au roi de la forêt sa clémence en le sauvant plus tard. Dans cette fable-ci, le Lion est désagréable avec son plus petit prochain et le moustique ne manque

opinion) »). Il n’y a de philosophie que parce que le monde est remplie de contradictions que seule la raison permet de résoudre. ( Pavlov, avec son expérience sur des rats, a démontré que la contradiction est intenable pour n’importe quel être. Il envoyait une décharge électrique aux rats à chaque fois qu’ils devaient se nourrir : les rats, qui s’attendaient au plaisir de la satiété, souffraient et se trouvaient ainsi dans la contradiction. Ils devenaient fous. ) Les contradictions sont à ce point intenables

d'une première impression lors de la rencontre avec une personne ou un évènement. On distingue les différents facteurs influençant notre première impression : 1. L’apparence physique (l’effet de la beauté physique) La beauté améliore, chez des enfants, l’intelligence et le potentiel académique perçus par les professeurs. Il semble qu’être beau physiquement augmenterait les chances d’être embauché, d’être pris au sérieux. Néanmoins, la beauté ne fait pas nécessairement l’estime de soi. En effet