Les Enfers Latin

Les différentes rubriques seront centrées chaque fois sur un enjeu littéraire fondamental, pour faire apparaître les Métamorphoses comme « grand modèle antique », mais aussi comme tributaires elles-mêmes et à leur tour de grands modèles grecs et latins : les Métamorphoses ont ceci de tout particulièrement mobilisateur de susciter d’amples mises en perspective. Texte séduisant, qui glorifie souvent « l’amour vainqueur » et le pouvoir de la beauté, apparemment limpide, puisque c’est une

mondialisation et au monde communautaire. La religion a été définie pour la première fois par Cicéron comme « le fait de s'occuper d'une nature supérieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte ». Dans les langues où le terme est issu du latin religio, la religion est le plus souvent envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. La religion se définit en deux sens : elle est un ensemble de croyances et de pratiques qui lie, premièrement, chaque croyant à Dieu (monothéisme)

esclave à Rome, sans qu'on sache dans quelles circonstances, peut-être encore tout jeune : les manuscrits le disent Augusti libertus (« affranchi d'Auguste »). Il eut en tout cas le moyen d'assurer sa propre formation intellectuelle, et bientôt le latin devient sa seconde langue maternelle. Sous le principat de Tibère, il publia ses deux premiers livres de Fables, mais sans doute donna-t-on à certaines d'entre elles une interprétation satirique sur l'actualité, ce qui eut pour conséquence d'attirer

humaniste français (1522-1560). • né à Liré, un village en Anjou • ami de Ronsard • 1549 : Publication d´œuvres importantes: • - rédigea le manifeste de la Pléiade intitulé Défense et illustration de la langue française = un recueil, inspiré par le poète latin Horace • - L´Olive à la manière du Canzoniere de Pétrarque   • Faits culturels importants   • 1534 : publication de Gargantua de François Rabelais • 1539 : l'ordonnance de Villers-Cotterêts impose le français comme langue administrative et judiciaire

formulat° accentue condamnat°, DJ perso très malveillant. -Enumérat° « un enragé, un chien, un diable » → hyperbole, disqualificat° maître associé au Mal : Le diable. Aussi mention diable l.74 créer new degré explorat° âme malveillante DJ pire que mâitre enfers. c) Libertin d'esprit -« un Turc, un hérétique qui ne croit ni Ciel ni Enfer » H croit pas Dieu, athée (très rare au XVIIè s, et condamné par peine de mort) -Blasphémateur « traite de billevesées tt ce que nous croyons » c'est-à-dire tourne en

un personnage mythologique durement châtié par Zeus et condamnés aux enfers à un supplice éternel et cruel qui consiste à rouler un rocher au sommet d’une montagne sans y parvenir puisqu’à chaque fois, au moment d’aboutir, le rocher dévale la pente, obligeant ainsi Sisyphe à recommencer éternellement cette tâche. Le poème « Don Juan aux Enfers » est un personnage connu pour être un séducteur. Dans ce poème il se retrouve aux Enfers. On y trouve quand même des mots a connotation de mort « l’onde souterraine »

ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal. Amen. 3 Le Je Vous Salue Marie (latin et français) « Quand on dit Marie, elle répond Jésus » saint Louis Marie Grignion de Montfort. Ave Maria, gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieri­bus, et benedictus fructus ventris tui, Jesus. Sancta Maria mater Dei, ora

Introduction à la culture antique Guerre et paix “polemos” = la guerre (mot masculin) Loi physique -nom d’un dieu En latin la guerre se dit “bellum, i,n” et la paix se dit “pax,is, f”= une divinité, fille de Zeus. En latin la guerre est neutre : la guerre est de l’ordre de l’utile donc la guerre est un instrument : ce n’est pas une puissance contre laquelle on ne peut rien. (// des grecs) La paix est féminine : elle est l’objet du désir des hommes, ce vers quoi les hommes se projettent

de l’alexandrin, est unique et bien défini et pourtant il concentre en lui-même tout le mal du roi : l’ennui, la maladie, le spleen lui-même, qu’il faudrait pouvoir « extirper », verbe qui renvoie au langage chirurgical, on extirpe une tumeur, du latin « extirpare » de « stirps » qui sont les racines : arracher avec la racine. Ce mal est intérieur et enraciné. · La métaphore finale du dernier vers aboutit à cette alchimie à l’envers : il y a bien un échange quasi magique, mais il fait une place entière

jalousie. 4ème mouvement : vers 46 à 59, v. 1264 à 1277 : prise de conscience du personnage, moment de lucidité. 5ème mouvement : vers 60 à la fin, v. 1278 à 1294 : peur du jugement de son père qui se matérialise à travers une vision horrifiée des enfers. Problématique / parcours de lecture : En quoi cette scène rend-elle compte des désordres intimes liés à la jalousie ? Comment se manifeste la jalousie de Phèdre ? la fureur des passions ? En quoi ce passage met-il en scène le basculement dans