Les Enfers Latin

grandes thematiques de la litterature du Mogen Âge. Le XII siecle en France, en matiere de litterature, fut en siecle de decouverte relative : le Moyen Âge ignore Homère ou les tragiques grecs, mais dispose d'adaptations latines. Les romans dits “antiques” s’inspirent de ces sources latines en les transposant de façon très libre. On apelle « La Triade Antique » a trois de cettes adaptations au roman : • Le Roman de Thèbes qui est la traduction adaptée pour le public français de la Thébaïde de Stace

HADES DIEU DES ENFERS SOMMAIRE Introduction-----------------------------------------------------------------------------------------------3 I/ La filiation d’Hadès et sa vie intime---------------------------------------------------------------4 I/A) Une Divine famille------------------------------------------------------------------------5 Arbre généalogique simplifié d’Hadès-----------------------------------------------5 I/B) Ses amours----------------------------------------------------------------------------------6

Celui-ci narre la vision de Gautier, alors dans un cimetière, sur ce lieu lugubre et sur un cadavre en particulier. Mais il s'agit en réalité d’une référence à Dante, d'une réécriture de la Divine Comédie, où le poète latin Virgile, guide de l'auteur lors de sa descente aux Enfers, est ici remplacé par la jeune morte. A la lumière de ce texte, nous nous demanderons comment et pourquoi Gautier évoque-t-il la mort et le corps mort. De facto, nous nous attacherons à traiter dans un premier temps de

dieu de la vigne et du vin, mais aussi du théâtre et de la tragédie. Il est né à Thèbes, en Grèce. Ces attributs sont la thyrse et la grappe de raisin. (La thyrse est un grand bâton évoquant un sceptre). On entend souvent parler de lui sous son nom latin, Bacchus. Il est le fils de la mortelle Sémélé et de Zeus. C'est d'ailleurs le seul Dieu né d'une mortelle. Dionysos est membre des Olympiens, même si il ne vit pas sur le mont Olympe : c'est un Dieu errant. Il a été bannit par Héra, jalouse. Dionysos

bacchante peut aussi s'employer pour une femme sans pudeur.) L'adjectif boréal (qui signifie "du Nord") vient de Borée, fils d'un Titan et de l'Aurore, divinité grec du Vent du Nord. Le mot cerbère vient du CERBÈRE, chien à à trois tête, gardien des Enfers. (un cerbère désigne un gardien intraitable) Le mot céréale vient de CÉRÈS, déesse romaine des Récoltes. Le mot chimère vient du grec KHIMAIRA "chimère", monstre à tête de lion, au corps de chèvre et à la queue de dragon. (Chimère peut désigner

raconté pour la première fois par Ovide dans ses Métamorphoses. Publius Ovidius Naso est un poète latin dont la vie est traditionnellement comprise entre -43 et 18 après Jésus Christ. Auteur favori de la société mondaine du début de l’Empire, il mourra pourtant en exil. Les Métamorphoses comportent deux cents trente fables réparties dans quinze livres qui reprennent la plupart des mythes grecs et latins de l’Antiquité, tel que celui d’Orphée. Il existe de très nombreuses versions du mythe d’Orphée ;

Irminsul *– symbole* de la Connaissance – marquée sur ses pieds palmés (!) et qui tient un Irminsul quadri directionnel (ou en 3-D). (PS : Celui qui pourra me donner la traduction de la devise latine nous aidera à parfaire ce décryptage ! Qu’il en soit remercié d’avance…) Étymologie* : les racines grecques, latine ago donnent “conduire, amener, guider” (esp. et occ. agolar “amener”) et pes en occitan – la langue des retrouveurs/ Trouvadous /Troubadours* – “pieds” : c’est donc un personnage du genre

des dieux : "Enéas doit laisser ceux qui étaient fatigués ici et partir affronter en Lombardie de nouvelles épreuves dont il sortira victorieux. Ses descendants futurs rayonneront sur le monde. Mais il faut se rendre à Cumes afin de descendre aux enfers avec l'aide de la Sibylle pour rejoindre son père qui doit lui révéler d'autres choses." Afin d'affermir sa décision, Enéas convoqua le matin même quelques-uns de ses hommes pour leur faire part de ces paroles divines. Sur leur conseil, Enéas obéit

dieu de la guerre Hadès : dieu des enfers Frère de Zeus, Hadès est le souverain du monde souterrain et du royaume des morts. Les hommes le craignent tellement qu’ils ne prononcent jamais son nom, mais il peut pourtant se montrer bon et juste avec les hommes. Dieu des métaux enfouis dans la terre, il est très riche. Il porte un casque qui le rend invisible. Son animal : le Cerbère, un chien à trois têtes et à queue de dragon qui garde la porte des Enfers. Héphaïstos : dieu du feu et des métaux

de débauche Styx : fleuve qui fait neuf fois le tour des Enfers Mégère : une des Furies, qui venge les crimes impunis Proserpine : reine des Enfers Commentaire littéraire : Sed non satiata fait partie du cycle de Jeanne Duval. Le thème de la belle noire reprend une tradition du poème baroque datant du XVIIème siècle. Baudelaire a voulu en faire un poème moderne. Le titre « Sed non satiata » vient d’un poème satirique latin : « Juvénal ». Le contenu faisait allusion à la débauche d’une