Les Évadés

prises de position de l’écrivain grâce à la fiction qui permet de les illustrer sans les imposer. Cependant, s’il propose une interprétation du monde, le roman peut aussi nous permettre d’échapper à la réalité Le genre romanesque nous permet de nous évader, de nous plonger dans des univers nouveaux, de nous éloigner de notre vie quotidienne. Cet éloignement peut paraître réel car le roman nous permet de parcourir le monde en pensée et de découvrir de nouvelles sociétés sans avoir à nous déplacer. Ainsi

mourants. En apprenant ça, des Grieux est hors de lui, et cherche un plan pour s'évader. Le frère de Manon lui procure une arme, qui lui sert à intimider les gardes, pour le laisser sortir. Il tue le portier par accident. Il réussit ensuite à faire évader Manon, mais son frère, qui est reconnu par une victime de ses tricheries, est abattu dans la rue pendant la fuite. Le couple se cache en banlieue en attendant que les choses se calment. Des Grieux s'établit avec Manon, envisage de reprendre ses

evoluer la société afin que celle-ci s’améliore. II) Le roman n'a toutefois pas pour seule vocation d'agir sur la société En effet, il permet de faire oublier ou de déformer la réalité ; de nous évader dans un monde idéal, nouveau, voire radicalement opposé au nôtre. Les romans concernés sont les romans de science-fiction, les romans policiers. En effet en gardant le suspens, un monde idéal, nouveau et mystérieux est inventé comme par exemple "Harry

long du poème. En effet, il n’y a aucune trace de sonorités brusques comme le « s », « r » … De plus, l’absence de lien avec le lieu où l’on est, le temps et tous les sens étant inclus dans le lieu (vue, odorat, ouïe, toucher) nous permet de nous évader sans que rien ne nous raccroche à la réalité. Le poème de Victor Hugo, est plus classique : il est écrit en alexandrins comme le montre le premier vers : « elle avait pris ce pli dans son âge enfantin ». Empreint de réalisme, on peut facilement

telles que la terreur ou la pitié, particulièrement lors des tragédies. Par exemple, dans Oedipe Roi de Sophocle, on a pitié d'Oedipe qui se crève les yeux lorsqu'il apprend qu'il a tué son père et épousé sa mère. Enfin, le théâtre nous permet de nous évader. En effet, on se sent transporté dans d'autres villes, d'autres pays.. grâce aux décors, au jeu des acteurs qui nous emmènent dans leur univers. Mais mis à part le divertissement, on peut aussi réfléchir et apprendre à mieux se connaître. Effectivement

tristesse, la solitude et le désarroi donc il y a un contraste entre le paysage extérieur et ce mur. Le soldat a été peint en noir, le noir a de nombreuses symboliques, ici il symbolise la révolte, ce soldat transgresse les lois de sa société pour faire évader des palestiniens. Branksy leur montre qu’avec beaucoup d’espoir, d’effort et une grande coalition, le mur peu être détruit et la liberté peu leur être rendu. Branksy a fait de cette œuvre un art engagé en nous en dénonçant les aspects inhumain

le Paris des années 30 mais aussi l'atmosphère de l'exposition coloniale et la volonté des autorités françaises d'imprimer dans l'esprit de leurs concitoyens l'image du noir cannibale et arriéré alors que le commun des Parisiens ne retient de ces évadés noirs que l'étrangeté de leur peau quand ce n'est pas l'indifférence qu’il leur témoigne. 3) Il raconte cette histoire car il est Intrigués de voir un « Kanak ». Il a vécu l’exposition coloniale de 1931. COMPÉTENCES D’ÉCRITURE : P.38 Oui ont peut

robotisée, et à chaque fois qu'Eléa prononce un mot qui semble avoir un sens fort elle n'arrive pas à le traduire dans les langues universelles. thèse 1 :Je ne suis pas d'accord avec vous sur ce point. Par ailleurs, Les livres nous permettent de nous évader dans d'autres mondes avec leurs qualités et leurs défauts. Par exemple, au début, l'économie de Gontawa semble parfaite, il n'y a ni pauvre ni riche et personne ne souffre de famine. Cependant la guerre ressort beaucoup dans ce roman car Barjavel

spécifiques, notamment en science. Le sujet, « L’art nous détourne t-il du réel » nous montre la relation que les deux termes peuvent avoir. Est-ce que l’art nous détourne t-il de la réalité, nous offre une réalité plus proche, et nous permet de nous évader grâce à une œuvre, une technique, ou est-ce que l’art nous rapproche du monde dans lequel nous vivons, comme un reflet de notre société ? Nous répondrons par un premier point, où l’art peut nous faire penser à un idéal rêvé. Et en deuxième partie :

sans cesse. À travers cette figure absurde , l’auteur fait sortir une morale : l’homme mène une vie répétitive et inutile, mais quand il en prend conscience il ne doit pas s’abandonner au désespoir ou évader à travers le suicide (thème fondamental), mais plutôt il doit accepter sa condition et la surmonter en se révoltant intérieurement. Tout cela est approfondi ultérieurement dans «L’Étranger»