Les Fables Les Allégories

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses

tradition orale). Héritage breton : les lais de Marie de France : On ne sait pas grand chose de Marie de France mais on sait qu'elle vit en Grande Bretagne et qu'elle était origine du continent. On conserve d'elle le plus ancien receuil de fables en français. On conserve aussi d'une adaptation en français d'un texte latin ; texte qui décrit la vision qu'un chevalier irlandais aurait eu de l'Enfer (= Purgatoire Saint Patrice). Marie de France aurait écrit 12 lais en vers. Dans ces lais

personnages apparaître. DJ qui sera punit pas le commandeur, Sganarelle qui avait prévenu DJ, le commandeur et une femme voilée qui est un spectre. - Le rôle du spectre et du commandeur. Le spectre apparaît comme une femme voilée qui se transforme en allégorie du temps, ce qui est le dernier avertissement adressé à DJ. Le commandeur représente lui les pêchés commis par DJ et décide donc de lui infliger un châtiment pour le punir de son inconstance : la mort. - Une scène surnaturelle et étrange. Durant

les genres de l’argumentation ................................ p. 248 Séquence 1 – Le projet de Michel de Montaigne : les Essais (1595) ............................................................. p. 251 Séquence 2 – La justice sociale dans les Fables de La Fontaine ................................................................... p. 264 Séquence 3 – La question de la femme au XVIIIe siècle ...................................................................................... p. 281 Séquence

Dans sa représentation, il a les yeux mi-clos car il les ouvre lors de la création du monde et les ferme pour mettre fin à l'univers et amorcer un nouveau cycle. Egalement dit « '"il intérieur » ou « '"il de l'âme », le troisième '"il est une allégorie qui désigne, au-delà des yeux physiques, un troisième regard, celui de la connaissance de soi. Il représente donc l'introspection et s'assimile avec ce qui rend un être unique et immortel : l'âme. [pic] Naît donc avec ces croyances, comme

parlant est Le bourgeois gentilhomme, dans lequel il critique la prétention nobiliaire des bourgeois, la place des femmes, et les mariages d'intérêt. La Fontaine quand à lui, amorce l engagement politique en critiquant la cour de Louis XIV, dans ses fables, La cour du lion entre autres. Certes, on ne peut parler de réel engagement au XVIème et XVIIème siècle. Cependant, il s agit d une esquisse dont l impact reste notoire, surtout en ce qui concerne Molière. Ses pièces ont conduit à une réelle prise

Objet d’étude : La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Michel de Montaigne, Essais I, « De l’amitié », chap. XXVIII. 2. Jean de La Fontaine, Fables, livre VIII, 11, « Les deux amis » 3. Molière, Le Misanthrope, Acte I, scène 1, vers 33-88 Documents complémentaires : Cicéron, Lélius ou l’Amitié, 44 av. J-C Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, cinquième partie, lettre IX. Histoire

Guillaume Apollinaire10 et Ricciotto Canudo11. Son art s’empreint d’onirisme mêlant les souvenirs au contemporain. Par sa vision, il détruit toute notion de temps et d’espace. Mais l’art de Chagall n’est pas fantastique, ses tableaux ne sont pas des fables pour enfants, une part de force démoniaque, de rébellion, de volonté l’amène à fouiller dans l’inconscient, à ouvrir les portes de l’inconnu. Sa valeur artistique lui est conférée par la force de son désir et sa puissance d’évocation. 9 Blaise

pensée logique. Pour Platon, les réalités concrètes ne sont que des images des idées pures. En littérature, le mot symbole synthétise les deux acceptions: comme en religion, c'est une transposition en une image concrète de réalités abstraites (allégorie). D'autre part, les mots du symbole littéraire sont des analogies de puissances, de vérités ou de mystères cachés. Baudelaire, par le biais de métaphores, rapproche des réalités séparées, des fragments pour leur donner du sens (cf. Correspondances)