Les Fables Sont Elle Divertissantes

Les Apparence Trompeuses et la Figure du Roi Dans les Fables de Jean de la Fontaine Cette anthologie regroupe une dizaine de fables de Jean de La Fontaine, ayant pour thèmes communs les apparences trompeuse et la figure du Roi à travers le Lion. En effet, lorsque La Fontaine écrit ces fables, Louis XIV règne alors en monarque absolu. Celui-ci donne des pensions aux poètes, sculpteurs, peintres ou musiciens qui font son éloge et travaillent à sa gloire. Pour que rien ne nuise à sa Majesté

notamment par La Fontaine, poète et fabuliste français. Il utilisait ce procédé pour critiquer la société de 17eme, comme dans l'une de ses fables, L’âne et ses maîtres, où on assiste à un échange entre le Destin, et l'âne lui même qui manifeste son perpétuel mécontentement face à son rôle quotidien. Cette fable nous présente un récit plaisant et divertissant mais elle nous propose également une réflexion personnelle sur la critique du mécontentement perpétuel de l'homme. PREMIÈRE PARTIE l'âne

LES ILLUSTRATIONS des « Fables » de la Fontaine Lors de la séquence « la justice sociale dans les fables de la Fontaine », nous avons vu en classe que les fables ont un pouvoir divertissant, une fonction didactique et une fonction critique. On remarque qu’à travers des illustrations des fables de Jean de La Fontaine, le pouvoir divertissant et les fonctions de ces apologues sont présents. En effet certains peintres ou illustrateurs comme jean Baptiste Oudry, Chagall ou bien encore Grandville ont

Ainsi que L’essai polémique et provocateur de Simone de Beauvoir publié en 1949 sur la condition des femmes, Le Deuxième Sexe. Mais le rôle de la littérature n'est-il pas plutôt de détourner les hommes des grands problèmes de la vie en les divertissant ? II- Divertir : Cependant, force est de reconnaître qu’existe une littérature dont l’objectif n’est autre que de donner du plaisir à ses lecteurs grâce à l’humour ou encore parce qu’elle met en place des processus d’identification faits

 Question de corpus : Dans le texte A, une préface écrite par Jean de La Fontaine pour un recueil intitulé « Les Fables », on apprend que, par les fables, de prime abord créées pour les enfants, permettent a ceux-ci d’apprendre de grandes leçons, de grands raisonnements. C’est par ces leçons que l’enfant «  se rend capable de grandes choses » (l. 26) La Fontaine justifie cette affirmation par deux arguments : tout d’abord, il exprime une certaine légitimité, donnée par Platon, philosophe grecque

intellectuel. Ainsi, l’argumentation directe et les œuvres uniquement de réflexion qui la traduisent ne touche une part que très restreinte de la communauté des lecteurs et reflètent une image parfois austère de la littérature. Dans Le pouvoir des fables de Jean de la Fontaine, un orateur tente en vain de discourir avec le peuple athénien d’un sujet important à l’aide d’une violente argumentation directe. Mais voyant que personne ne l’écoute, il commence à conter une fable, le public lui accorde alors

serait à même de saisir le sens implicite de ses fables. La fable 14 du livre VIII intitulée "Les obsèques de la Lionne" appartient au second recueil. On remarque que La Fontaine comme dans toutes ses fables suit son schéma habituel et confère à la fable l'esthétique poétique ainsi que la hargne de sa pensée, qu'il nous présente, ici, sous forme d'une pièce de théâtre. C'est de ce fait que nous analyserons dans quelle mesure l'aspect divertissant, d'un côté, et l'aspect moral, de l'autre, tendent

ce travail développera une première partie consacré à l’apologue divertissant et une seconde traitera de l’apologue amenant à la réflexion. L’apologue a pour principal objectif de divertir le lecteur. C’est un récit facile à lire, qui traite parfois avec humour et légèreté des sujets auxquels beaucoup de lecteur peuvent s’identifier. Ceci rend alors l’apologue, qu’il soit sous la forme de conte, de conte philosophique ou de fables accessible à beaucoup de lecteurs qui cherche à se divertir. En

lecteur • L’Ingénu de Voltaire, conflit franco-anglais de 1689 Objectif = donner une leçon philosophique à travers un témoignage historique assez plaisant pour intéresser un large public. « S’il nous faut des fables que ces fables soient du moins l’emblème de la vérité ! J’aime les fables des philosophes, je ris de celles des imposteurs » chapitre 16 • Critique contemporain G. Lanson « Tout le conte, actions, caractères épisodes, dialogues mots d’esprit, digressions même, tout s’ordonne en vue

Louise Grolleau 2nd7 DissertationSi nous connaissons les fables de Jean de La Fontaine, souvent grâce aux lectures de ses écrits les plus célèbres. Pourtant une majeure partie des gens n’en savent que peu sur cet auteur. Jean de La Fontaine, écrivain et fabuliste français du XVIIe siècle, appartient au mouvement du Classicisme qui succède au mouvement Baroque. Le Classicisme consiste en l’écriture d’ouvrages reprenant esthétiquement celles d’auteurs de l’Antiquité greco-romaine, comme d’Esope, Sophocle