Les Facteurs Autonomes De La Liquidité Bancaire

production correspond au « niveau de production de plein emploi », il n’est pas influencé par le niveau d’intérêt, expliquant la verticalité de la droite PE. Y : PIB⬄ niveau de production de $⬄revenu national La position de PE sur l’axe des Y dépend de 2 facteurs : -la productivité du travail -l’offre de travail ( la population ) -Lorsque la productivité du travail augmente, la droite de plein emploi se décale parallèlement vers la droite en raison de deux mécanismes : -l’augmentation de la productivité =>

PROJET PERSONNEL PROFESSIONNEL Partie 1 : Les caractéristiques des conditions de travail dans le secteur bancaire  Les salaires: En général : A conditions égales de travail, de qualification professionnelle et de rendement, le salaire est égal pour tous les travailleurs quels que soient leur origine, leur sexe, leur âge et leur statut. Dans le cas où le travailleur permanent qui n’est pas originaire du lieu d’emploi et n’y a pas sa résidence habituelle, ne peut, par ses propres moyens

Les sommes collectés sont constitués de dépôts obligatoires mais également de dépôts libres La caisse a ainsi pour mission prioritaire de canaliser et gérer les fonds d’épargne qui lui sont confiés, en veillant à leur assurer la protection, la liquidité et la rentabilité. Outre l’atout de la sécurité, la CDG privilégie une approche commerciale dynamique avec ses clients, en nouant avec eux de véritables relations de partenariat et en leur offrant une gestion ciblée de leur patrimoine. La CDG :

: les agents veulent avoir une réserve de monnaie D’autres biens ont une réserve de valeur : immobiliers, titres, tableaux… Mais la monnaie est le seul qui a la liquidité parfaite. La liquidité est la capacité d’un bi en à être disponible pour l’échange. (Les placements rémunérés sont peu liquides). Or la monnaie a la liquidité parfaite, c’est pour cela qu’elle n’est pas rémunérée. C. La monnaie comme étalon de valeur En sélectionnant un bien qui devient monnaie, cela permet de simplifier

elle est liée à la solvabilité de l’entreprise et donc à la capacité de gestion des dirigeants ( quel est le niveau d’endettement ? Y a-t-il plus ou moins de FP ?… Remarque : Est-on plus autonomes si le contrôle est exercé par les actionnaires ou par les banquiers ? On est plus autonomes avec les actionnaires surtout si l’actionnariat est disséminé, tandis que les banques font un suivi continuel même si elles disposent de garanties car elles ont une obligation d’être remboursées.

................................................................................... 11 2.1 - Définition du bilan ........................................................................................................11 2.2 - La solvabilité et liquidité...............................................................................................12 2.3 - Le Fond de Roulement ..................................................................................................14 2.4 - Le Besoin de Fond

collaboration entre le client et à la puissance des grands établissements. Elle incarne une forme de sa banque. contre-pouvoir bancaire à Genève. Autre paramètre, qui est incontestablement à l’avantage des entreprises genevoises: le renforcement de la pression concurentielle induite par la présence d’une banque cantonale puissante. L’existence d’un acteur bancaire aux racines genevoises exerce en effet une pression Blaise Goetschin vertueuse sur la qualité des prestations autant que sur les marges

LA SOCIÉTÉ 1.2 HISTORIQUE DE LA SOCIÉTÉ 1.3 CHOIX DU PEER GROUP 2. PARCOURS DES ETATS FINANCIERS 2.1 BILAN 2.1.1 Actif 2.1.2 Passif 2.2 COMPTES DE RÉSULTAT 3. ANALYSE DES RATIOS 3.1 ANALYSE DE LA LIQUIDITÉ DE L’ENTREPRISE 3.1.1 Ratio de liquidité au sens large ou « current ratio » 3.1.2 Ratio de liquidité au sens strict ou « acid test » 3.2 DÉLAIS DE PAIEMENT 3.2.1 Nombre de jours crédit client 3.2.2 Nombre de jours crédit fournisseurs 3.3 ANALYSE DES FONDS DE ROULEMENT ET TRÉSORERIE 3.3.1 Fonds de

market iii. La politique de réserves obligatoires B. Politique budgétaire : a. La politique de relance b. Politique de rigueur Cas du Maroc (Des politiques macroéconomiques autonomes (1960-1981) mais débouchant sur une croissance sans développement) VI. Conclusion VII. Bibliographie V. Les politiques macroéconomiques autonomes Le fonctionnement du marché ne permettant pas toujours d'aboutir à une situation d'équilibre satisfaisante, l'intervention de l'Etat devient alors nécessaire pour réguler

PERCEPTION DES SIGNES DE DEFAILLANCE ............................................................................ 4 1.1. QU’APPELLE-T-ON ENTREPRISE EN DEFAILLANCE? ................................................................................ 4 1.2. FACTEURS ANALYTIQUES DE DEFAILLANCE ........................................................................................... 4 1.2.1. Analyse économique de la défaillance ................................................................................