Les Fantasmes

bien que ce qui est caché est toujours quelque peu inquiétant car ceci représente l’inconnu c’est-à-dire un des fantasmes les plus connus : l’angoisse humaine. En bas d’image, nous pouvons visualiser la laideur et la monstruosité de cette anatomie variée liant la beauté et la vénusté du reste du corps et en même temps faire un lien psychologique avec ce portrait car il évoque les fantasmes issus de l’inconscient comme par exemple l’horreur et la peur succèdent à l’attirance et au plaisir de voir.

limite de la caricature. La scène se déroule dans un décor brut, un espace vide: au premier plan, la table de réception et au second plan, une plate-forme faite de claies de bois ou se dérouleront des scènes surgies d’un rêve, d’un cauchemar, d’un fantasme, d’une peur. L'espace est donc desuet et devient alors disponible, et accessible aux spectateurs, c'est à eux de l'imaginer, de l'inventer. Les voies s'entremêlent, nous «faisons» part aux discussions, une illusion réaliste s'installe, cependant

continuité du passé.Donc s'il n'y a pas un passé, il n'y aura jamais un présent et un futur.Comment imaginer qu'un être humain puisse décider volontairement de nier tout ce qui le constitue comme sujet ? On comprend que tout le monde a envie, qu'on fantasme sur cette idée que nous nous débarrasserons instantanément, d'un coup de baguette magique, d'un passé douloureux.On ne peut pas oublier son passé, avoir un passé c'est essentiel pour avancer dans la vie. On a tous un passé et un présent et tout le

coup, lors de l’analyse doit être mis au compte des pensées du rêve » 7 Leclaire S. –Rompre les charmes 4 Non seulement il suit au plus près la démarche de Freud mais son génie c’est « d’aller au-delà ». Ce qu’il écrit « A propos d’un fantasme de Freud »8 : « Si le psychanalyste… devait se donner des lois, transgresser au sens de franchissement, passage au-delà serait son commandement premier, un acte fondamental et fondateur ». Pour poser ses hypothèses, il prend le parti de lire l’ensemble

théorie de la séduction n’abandonne pas l’idée qu’un premier traumatisme qui n’a pas pu être symbolisé vient se réactiver au moment d’un nouvel événement. Cependant, c’est l’idée du traumatisme qui est modifié : le traumatisme peut alors être un fantasme et non une scène réelle, la réalité psychique du sujet est prise en compte. Comme ce rêve s’est reproduit depuis peu, Freud fait associer Dora sur ce dernier, elle évoque une dispute récente entre ses parents à propos de la chambre de son frère

soumission. C’est sur cette structure sadomasochiste qu’est construite toute la relation amoureuse. Le « scénario pervers » Conchita laisse libre cours à son imaginaire sadique et n’hésite pas à recourir à de nombreux stratagèmes pour réaliser ses fantasmes. Ainsi, elle va jusqu’à mettre en scène une tromperie sous les yeux de Mateo, mêlant exhibition et sadisme, en feignant de s’unir au Morenito devant lui. La scène, organisée dans ses moindres détails, témoigne de la grande tendance à la théâtralité

leur accompagnement, F. Dolto aborde le sujet du suicide et de son fantasme. La pensée suicidaire, fréquente chez les adolescents, exprime que le sujet doit « mourir à l’enfance » : « Au secours, je veux naître. Puisque je veux naître, il faut que je meure ». C’est la vie, la mort, qui sont liées ensemble. « Je ne sais pas comment naître dans ce milieu où je vis » (p 121). L’accompagnement des adolescents rencontrant des fantasmes suicidaires a son importance au travers de la « médiation de la parole »

opposer un lien complexe, expression hyperbolique de l’unité et de revendications identitaires, d’immanence totale et immédiate et de transcendance grandiose et univoque. La pensée baroque, à l’image de saint Ignace de Loyola, va privilégier un univers fantasmé, imaginaire, qui sera l’extrapolation de ce conflit des contraires, mais qui portera en lui ce principe de convergence. L’art baroque va alors développer la brisure, la courbure, la tension et le nœud comme expressions figuratives les mieux appropriées

étoffe mais cette fois elle se presse le flanc de la main droite dans un mouvement de douleur En conclusion les artiste du 19e n'hésitent pas a se copier. Cleopatre est souvent représenter nue car elle est belle est séduisante, elle alimente les fantasmes masculins dès l'antiquité. C'est la première femme représenté nue cela est un privilège, J'ai choisie cette œuvre d'art car j'aime l'antiquité et Cleopatre Cleopatre 2

communauté qu’il juge supérieur et plus restreint. Le snobisme c’est l’attitude d’un individu à vouloir être dans le paraitre plus que dans « l’être ».En effet l’individu vit et se nourrit continuellement de rêve, de fantasme, de désirs. Il faut nécessairement qu’il comble ses rêves, ses fantasmes, ses désirs pour devenir supérieur. Personnellement je vois dans le snobisme un comportement « Bling Bling ». On est dans le voyeurisme. Ces individus consomment des produits comme chaque individu en les personnalisant