Les Fausses Devotes La Bruyere

droit de respirer’…) - La polémique : (‘Voltaire était vraiment nul’). - Les anachronismes : ‘La Bruyère comptait parmi les auteurs des Lumières’. ‘Hugo s’est beaucoup inspiré de Malraux’, etc. - Les platitudes : ‘La Fontaine écrivait vraiment bien’. ‘Ce texte est un livre’, ‘Ce roman est écrit par un écrivain’, etc. - La familiarité : ‘Ce personnage est franchement débile’. - La fausse science : ‘l’art narratif des romanciers français de la première moitié du XIXe siècle a été très marqué

d’avoir à l’esprit ce contexte d’une littérature de moralistes :voir J. Lafond, dir. de l’édition des Moralistes du XVIIe siècle (Laffont, Bouquins) : il rappelle l’existence d’un champ littéraire propre (Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère) : La Bruyère, par exemple, se place explicitement dans la lignée d’une œuvre comme les Pensées. C’est dire que l’œuvre de Pascal est comprise comme telle au 17e siècle, c’est-à-dire, notamment comme s’inscrivant dans une tradition littéraire et mondaine

avait promis au début de la pièce ; tous acceptent et le remercient avec ferveur. Les caractères - ou Les moeurs de ce siècle [pic] LA BRUYERE, Jean de, Résumé: La Bruyère est l'homme d'un seul livre et le créateur du genre qu'il perfectionne sans cesse. Il commence à travailler aux Caractères dès 1670 ; la première édition, en 1688, est anonyme : La Bruyère ne signe pas son livre mais le place sous le patronage du philosophe grec Théophraste, disciple d'Aristote, dont il traduit les caractères

ange. Les dernières années du règne de Louis XIV sont marquées par un contrôle strict de la conscience des sujets du royaume (contrôle policier des opinions, censure stricte des publications, imposition à tous d’un catholicisme de plus en plus dévot et intolérant, persécution active de tous les insoumis, avec quelques grandes dates sombres dans l’histoire de la France : * 1685 édit de Fontainebleau qui révoque l’Edit de Nantes, édit de tolérance qui avait été signé par son grand-père Henri

! Résumé On est au XVIIe siècle dans le salon du bourgeois Orgon. Madame Pernelle, sa mère, s'apprête à quitter la maison et reproche à sa belle-fille et à ses petits-enfants leurs habitudes mondaines, alors qu'Orgon a accueilli chez lui un dévot personnage du nom de Tartuffe, dont, prétend-elle, tous feraient bien de suivre l'exemple. Chacun s'indigne de ces propos : Tartuffe est un hypocrite, un misérable aventurier, qui, sous prétexte de religion, exerce un pouvoir tyrannique sur la maison

plus développés pourraient faire penser au Boileau de la Satire X ou aux Caractères de La Bruyère. On distingue : a) – le mari qui travaille pour les amants de sa femme. b) – le mari bête , content des cadeaux que l’on fait à sa femme. c) – le mari furieux  mais dont l’agitation est vaine. d) – le mari complaisant prenant les choses comme elles sont . e) – le mari naïf se laissant tromper par les fausses confidences. f)  - le mari aussi naïf , attribuant au jeu les gains de sa femme. Matière 

comédiens-auteurs n’écrivent pas des pièces dont le style et la thématique empruntent et ressemblent à celles de l’auteur le plus original et le plus puissant de leur temps. Lorsqu’il n’écrit pas du « galimatias » (Fénelon), des « barbarismes » (La Bruyère), des « obscurités » (Emile Faguet), des « redites » (Edmond Scherer), des « cacophonies » (René Bray) Molière a un style qui s’apparente tellement à celui de Pierre Corneille que les spécialistes en restent interloqués. : pourquoi Pierre Corneille

Château-Thierry » Jean-Baptiste Oudry, Le Singe et le Léopard, Planche 2, gravure 18e siècle. « © Musée Jean de La Fontaine, Château-Thierry » La Fontaine n’est pas le seul auteur du XVIIe siècle à critiquer les comportements des grands : La Bruyère s’est aussi livré à une critique acerbe, par le biais de portraits, d’attitudes en société qui confinent au ridicule. Exercice autocorrectif n° 2 Le portrait critique d’un convive insupportable… Lisez maintenant le texte suivant, extrait du chapitre

Château-Thierry » Jean-Baptiste Oudry, Le Singe et le Léopard, Planche 2, gravure 18e siècle. « © Musée Jean de La Fontaine, Château-Thierry » La Fontaine n’est pas le seul auteur du XVIIe siècle à critiquer les comportements des grands : La Bruyère s’est aussi livré à une critique acerbe, par le biais de portraits, d’attitudes en société qui confinent au ridicule. Exercice autocorrectif n°  2 Le portrait critique d’un convive insupportable… Lisez maintenant le texte suivant, extrait du

Château-Thierry » Jean-Baptiste Oudry, Le Singe et le Léopard, Planche 2, gravure 18e siècle. « © Musée Jean de La Fontaine, Château-Thierry » La Fontaine n’est pas le seul auteur du XVIIe siècle à critiquer les comportements des grands : La Bruyère s’est aussi livré à une critique acerbe, par le biais de portraits, d’attitudes en société qui confinent au ridicule. Exercice autocorrectif n° 2 Le portrait critique d’un convive insupportable… Lisez maintenant le texte suivant, extrait du chapitre