Les Fausses Innocences

- impératif « écarte ton vaisseaux » l.11 - fausse déférence dans l’appellatif l.11 « chef » ce qui relève de l’ironie car il est suivi du com. « des brigands » - qualifications dépréciatives : « ambitieux, méchants l.2 », « féroce l.16 »

nouvelle intrigue : l’affaire de la fausse monnaie et du réseau de prostitution organisé par des enfants. Leur fonction dans le roman : Des personnage secondaires mais indispensable puisqu’ils sont les auteurs de plusieurs intrigues, et le ciment des différentes relations : -La fausse monnaie -La « déviance des enfants » Ils permettent à Gide plusieurs critiques de la société : -la fausse monnaie bourgeoise, monde d’apparence et d’hypocrisie -la fausse monnaie de justice, le mensonge

jeune fille trop transparente dans ses lettres et trop immature, et aussi son professeur de libertinage, elle lui apprend la manipulation avec les hommes. Cécile est le fruit d’une vertu pervertie. Son innocence favorise cette perversion et elle est transformée en « femme facile ». Elle incarne la fausse vertu basée sur l’ignorance, elle est gouvernée par sa nature et ses pulsions. Dans le personnage de Cécile nous remarquons l’aspect comique de ce dernier, tout d’abord avec l’effet de contraste

soleil, si plein de coquetterie. (Intensif et mélioratif) Tout ce premier paragraphe est lié à la condition sociale de l’enfant riche. « Si, jolie,… » Intensif. Généralisation de la beauté des enfants riche. Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité. L’antithèse est la figure centrale de ce poème. Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les 2 mondes. Pauvre = Mauvaise pâte

n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire qui a déjà été informé de l'affaire par le marchand marseillais Dominique Audibert[3]. Le philosophe croit d'abord l'accusation fondée et rédige dans un premier temps une lettre incendiaire sur Jean Calas. Mais, convaincu par Pierre de son innocence, il forme par la suite

miroir dans lequel il déforme sa propre image, se considérant comme un être « obscur et haïssable » . Cette idée de morale chrétienne est donc basée sur de fausses idées pècheresses, elle est « le malaise physiologique empoisonné par le ver rongeur de la conscience » , et c’est pour cette raison que l’homme devra tuer Dieu pour retrouver son innocence… 2. Les implications de la mort de Dieu a. Retrouver l’innocence de l’homme « Désormais, c’est notre goût qui condamne le christianisme, non plus

d’un faux », « C’était le docteur qui avait porté plainte ». On apprend aussi que le mari n’est pas mort « Il n’y a pas eu de victime ». Un coup monté de la famille : lecteur suppose que T. est en fait coupable mais qu’elle a été couverte par de fausses déclarations de la famille pour ne pas porter atteindre sa réputation : Le mari a couvert sa femme par un faux-témoignage : réplique de T. : « Après la déclaration de mon mari, c’était couru ». II. Le portrait de Thérèse A. Un point de vue interne

d'origine sur lequel il base son étonnement (« paris est aussi grande qu'Ispahan, leurs maison sont si haute qu'on jurerait qu'elles sont habitées par des astrologues », « je n'ai encore vu marcher personne »). Montesquieu se sert de cette fausse naïveté, cette « innocence » pour tourner en ridicule les mœurs françaises (« Il n'y a point de gens au monde qui tirent mieux parti de leur machines que les français », « je n'ai pas fait cent pas que je suis plus brisé comme si j'avais fait cent lieues »

monde et le langage est faussé lorsque qu'il y a médiation, c'est-à-dire lorsque la littérature tente de représenter le réel. Ainsi, il présente le « jeu de masque » des conventions littéraires comme le passé simple ou la troisième personne du singulier qui mettent en valeur cette fausseté, la prétention de l'écriture à dépeindre le monde. Des auteurs comme Balzac qui se rependent en description pour ajouter de la crédibilité à leur œuvre la rendent finalement plus fausse. « Son choix est un choix

s'ensuive.), il n’avoue rien, et clame son innocence. Il sera alors brûlé et étranglé deux heures plus tard. Son autre fils, Pierre, lui est exilé, et se rend dans une ville de Genève, ou il va rencontrer Voltaire, déjà un peu informé sur l’affaire judiciaire en cours. Dans un premier temps, celui-ci va croire l’accusation fondée, et va donc rédiger une lettre incendiaire sur jean Calas. Mais, peu de temps après, après avoir été convaincu par Pierre de son innocence, il forme alors un groupe avec ses amis