Les Faux Monnayeurs Bernard Profitendieu

Les Faux-monnayeurs Dossier de lecture I) L’auteur André Gide (1869-1951) est le fils de Paul Gide, professeur de droit à la faculté de Paris, et de Juliette Rondeaux. L'enfance de Gide est marquée par une alternance entre des séjours en Normandie – à Rouen, dans la famille Rondeaux, et à La Roque-Baignard (Calvados), propriété maternelle – et des séjours chez sa grand-mère paternelle, à Uzès, dont il aime passionnément les paysages. En 1887, il réintègre l'École alsacienne en rhétorique

|touchant et plus vivant. | | |En effet, de nombreux écrivains créent des |La lettre de Bernard Profitendieu à son « père » | | |lettres fictives, résultat d’un travail |dans Les Faux Monnayeurs est une écriture pensée et | | |réfléchi |travaillée par André Gide pour rendre compte de

Les Faux-Monnayeurs est le roman principal de l'oeuvre de l'auteur français André Gide. Il y raconte l'aventure d'une foule de personnages qui symbolisent tous tour à tour les différentes incarnations de l'auteur, il déclame des théories toutes philosophiques sur le roman et l'art et les relations humaines et les développe jusqu'à en convaincre le lecteur, juste avant de continuer dans un autre personnage(pris dans un nouveau contexte généralement) une idée qui a tout de contradictoire et qui nous

Les Faux-Monnayeurs : à la recherche de formes nouvelles Sabine Sellam À l’aube du XXe siècle, le roman, après avoir connu une ascension extraordinaire sous l’impulsion des Naturalistes, traverse une crise profonde1. Les Symbolistes puis les Surréalistes condamnent radicalement le genre, lui préférant la poésie. André Gide s’y essaye pourtant, mais dans une perspective déconstructiviste. Ce sont d’abord Les Cahiers d’André Walter (1891), Le Voyage d’Urien (1892), et Paludes (1895), puis Le

Lamartine, qui part s'isoler en Savoie, en automne, saison propice à la solitude. Cette decouverte du monde, est parfois cruelle. En effet, il faut parfois faire face a certaines vérités qui nous on été cachées. Ainsi, Dans Les faux monnayeurs, d'André Gide, Bérnard Profitendieu trouve la correspondance secrète de sa mère et découvre que l'homme qui l'a élévé n'est pas son vrai père. Cette découverte du monde entraine souvent un manque de confiance en soi. Cette découverte du monde s'accompgne aussi

STRUCTURES ROMANESQUES DANS LES FAUX-MONNAYEURS DE GIDE M SALETE V NEVES (LLE-UFSC) Pour etudier les structures romanesques dans Les Faux Monnayeurs un choix s'impose. Naus avons decide done de privilf gier la description illustree des techniques de presentation de la narration et l'analyse des personna ges. Le premier sujet sera traite en detail car il nous semble etTe la nouveaute formelle et technique de ce roman -re! ponsable par la place qu'il occupe dans la litterature fran~ai­ se des

l’auteur mêle ses propres souvenirs avec ceux de George Sand), Stendhal (La vie d’Henri Brulard) ; au XX° siècle – André Gide (Les cahiers d’André Walter), Marcel Proust (À la recherche du temps perdu). 2 André Gide – « L’immoraliste » et « Les faux monnayeurs » L'immoraliste « L'immoraliste » (écrit en 1902, Gide avait 33 ans) est la confession que fait Michel, le personnage principal, à ses amis, une nuit, devant le désert de Biskra. Michel, un grand intellectuel, historien spécialisé « en vieilles

transformation de tout son être qu'elle s'impose et à la « dépoétisation affreuse » de son visage, Jérôme ne reconnaît plus l’ancienne Alissa. Pour Gide, ce mysticisme et la seule solution pour Alissa et on peut le comprendre avec ce paragraphe tiré des Faux-Monnayeurs : « Les romanciers nous abusent lorsqu'ils développent l'individu sans tenir compte des compressions d'alentour. La forêt façonne l'arbre. À chacun si peu de place est laissée ! Que de bourgeons atrophiés ! Chacun lance où il peut sa ramure. La

le roman de Gide, Les Faux-Monnayeurs , monsieur Profitendieu est un homme trompé par sa femme, et d’ailleurs l’un des enfants de la famille n’est pas de lui mais de l’amant de son épouse. Cette aventure est restée secrète car le mari perdrait sûrement beaucoup en crédibilité envers les autres hommes et même les autres femmes de la société qui l’entourent. Par ailleurs, Bernard, le fils bâtard de la famille désigne monsieur Profitendieu comme le « cocu ». Et son épouse subirait

lettre. Mise en commun. Lecture à voix haute des trois autres parodies de lettres officielles. Cette lettre est naturellement à lire au second degré. Il s’agit d’une parodie de lettre officielle. La parodie (parodier : chanter à côté, chanter faux) est l’imitation amusante d’un modèle dont on accentue ou détourne le style et les caractéristiques dans un but comique. Dans cette lettre, l’émetteur dénonce le caractère froid et impersonnel de ce type de courrier. Il met également l’accent sur