Les Femmes Dans Au Bonheur Des Dames

Critiques de l’intolérance dans Les lettres Persanes de Montesquieu, satire des guerres absurdes et de l’inquisition dans Candide de Voltaire… Les philosophes des lumières croient au progrès humain, et aspirent à de nouvelles valeurs : * Le bonheur, fondé sur une harmonie individuel et collective, comme celle de l’Eldorado du chapitre 18 de Candide. * La liberté, contre l’oppression politique et religieuse, la censure. * L’égalité, contre toute forme d’exploitation, comme l’esclavage

elle faite surtout d'ignorance »p.37)et non part sa vertu enseignée par les Dames du Sacré-cœur (p.37) d'après Thérèse. Cette innocence est associée à son jeune âge (« Les êtres les plus purs...pas d'enfants » p.33). Elle renvoie une image de petite fille modèle, joyeuse(« d'où lui venait ce bonheur ? »p.43), loin de la réalité de la vie connue de Thérèse (« toi chérie tu ne connais pas la vie » p.37). Les deux jeunes femmes vont petit à petit s'éloigner, à la suite du mariage entre Thérèse et Bernard

(exemple : seul contre trois).  Malgré son mariage, il est un séducteur né et il veut posséder toutes les femmes : dames, damoiselles, paysannes. Elles sont toutes à son goût et « s’il fallait dresser la liste de toutes celles qu’il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusqu’au soir ». En effet, il trouve agréable de se marier tous les mois. Il est jaloux du bonheur que les femmes qu’il désire construisent avec leur fiancé ou époux. Sa conception de l’amour est assez étrange : pour

d’emblée l’incipit dans une perspective réaliste, ce que ne démentent pas les dialogues qui suivent. Il s'agit d'une scène légèrement comique: le père obsédé par la pêche, ses deux fils se moquant gentiment de lui, devant la vague indifférence des dames. Le narrateur omniscient présente les cinq principaux personnages, donne les indications qui les identifient les uns par rapport aux autres, esquisse un décor et une situation narrative initiale, enfin donne des indices sur l’action à venir. I-

Paris 1874 : La conquête de Plassans 1875 : La faute de l’abbé Mouret 1876 : Son excellence Eugène Rougon 1877 : l’Assommoir 1878 : Une page d’amour 1880 : Nana et les soirées de Medan 1882 : Pot bouille et le capitaine Burle 1883 : Au bonheur des dames 1884 : Naïs Micoulin et la joie de vivre 1885 : Germinal 1886 : L’œuvre 1887 : La terre 1888 : Le rêve 1890 : La bête humaine 1891 : L’argent 1892 : la Débâcle 1893 : Docteur Pascal, dernier volume des Rougons Macquart 1894 : Lourdes

Il y a une volonté de peindre un tableau serein, calme, et harmonieux ainsi que les femmes soient destinées à faire le bonheur des habitants de Thélème, nous pouvons le constater notamment grâce à une phrase longue, une amplitude qui contraste avec le début du paragraphe, de nombreux compléments descriptifs, et une vision idéaliste de la femme : « Si c’était pour chasser au col ou à courre, les dames montées sur de belles haquenées, avec leur fer palefroi, portaient chacune sur leur poing joliment

propagent dans l’Europe entière. Le Second Empire est synonyme d’un éclat exceptionnel de la vie et d’un raffinement suprême de l’élégance féminine. La crinoline est représentative de cette époque, bien qu’elle soit apparue quelques années auparavant. Les femmes après le règne terne de Louis-Philippe et les révolutions de 1848 (février et juin) sont avides de luxe, de plaisir et de toilettes. Le costume en France :  Le costume féminin La crinoline domine l’histoire de la mode féminine pendant

LINA, fille de Madame Sorbin. PERSINET, jeune homme du peuple, amant de Lina. HERMOCRATE. Troupe de femmes, tant nobles que du peuple. La scène est dans une île où sont abordés tous les acteurs. - 4 -SCÈNE PREMIÈRE. Arthénice, Madame Sorbin. ARTHÉNICE. Ah çà ! Madame Sorbin, ou plutôt ma compagne, car vous l'êtes, puisque les femmes de votre état viennent de vous revêtir du même pouvoir dont les femmes nobles m'ont revêtue moi-même, donnons-nous la main, unissons-nous et n'ayons qu'un même esprit toutes

ville : Les 5 sens sont en éveil, et y prennent plaisir : - Odorat : odeur de girofle et de cannelle [L100] - Vue : « Colonnes élevés jusqu’aux nues » [L 96], « fontaine d’eau rose » [L 97] - Gout : « Liqueur de canne » : [L 97] * Bonheur/Bien-être de visiter cette ville, où tous les sens sont sollicités. Autant d’éléments grotesques qui surchargent la description et qui font que le lecteur refuse cette fiction. + Naïveté de Candide et de Cacambo : L’auteur se moque et

assis sous quelque fauteuil, ou derrière un meuble. Ce facétieux personnage ne se cachait pas que sous les meubles il avait imaginé d'autres abris plus agréables : on le retrouvait quelquefois paisiblement installé sous les paniers des dames, si bien que les femmes de la cour craignaient toujours d'écraser le petit personnage. Stanislas était un joueur de tric-trac acharné ; or, Bébé détestait ce jeu : le bruit des jetons et du cornet blessait sa sensibilité. Dès qu'on commençait à jouer, il faisait