Les Femmes de l'ombre

agents de liaison étaient des filles, des femmes ou des sœurs de résistants. Parfois, on y trouvait des étudiantes.(ex :Mélanie, Agent de liaison du Front national puis du maquis de Kerfot, elle se trouvait en première ligne au mois d’août 1944). Les opérateurs radio : Les opérateurs radio qui assuraient les communications entre la France et Londres puis Alger. Leurs aventures demeurent encore souvent méconnues du grand public, car ces héros de l’ombre, formés à œuvrer dans la solitude, ont gardé

...............................................................................56 XXXII ...................................................................................................................................................57 XXXIII. L'OMBRE ..............................................................................................................................57 XXXIV. TRISTESSE D'OLYMPIO ..........................................................................................

d'ébène, Belles comme les beaux soirs, Riaient de se voir à peine Dans le cuivre des miroirs ; D'autres, joyeuses comme elles, Faisaient jaillir des mamelles De leurs dociles chamelles Un lait blanc sous leurs doigts noirs. Les hommes, les femmes nues Se baignaient au gouffre amer. - Ces peuplades inconnues, Où passaient-elles hier ? - La voix grêle des cymbales, Qui fait hennir les cavales, Se mêlait par intervalles Aux bruits de la grande mer. La nuée un moment hésita dans l'espace

Commentaire composé L’Ecole des femmes Acte I, scène 1 En 1662, Molière a composé « L’Ecole des femmes » lorsqu’il travaillait pour Louis XIV. Le Roi, encore jeune, souhaitait des spectacles différents de l’époque. Molière, dans cette pièce comique,  fait donc passer par Arnolphe (le personnage principal), la misogynie exagérée des hommes au XVIIème siècle. Dans scène d’exposition de l’acte I scène 1,  Arnolphe fait le portrait de la femme idéale selon lui tout en gardant un esprit comique

lequel il est torse nu. Nous apercevons également qu'il porte une alliance, il est donc marié. Situé au centre de l'image il en occupe environ un tiers. Le fait qu'il y ai une profondeur de champ le rend flou car la mise au point est faite sur les deux femmes. Bien qu'il soit de dos, il semble apaisé et heureux, nous devinons d'ailleurs un sourire par le creux de sa joue. Il regarde en direction de la péniche, plus précisément de la femme de droite portant le bébé, fort probablement son enfant. Au deuxième

dans les maisons, on leur y donnait à manger; mais ce n'est pas à une collation légère que se borne ici la civilité des maîtres de maisons; ils leur offraient des jeunes filles; la case se remplissait à l'instant d'une foule curieuse d'hommes et de femmes qui faisaient un cercle autour de l'hôte et de la jeune victime du devoir hospitalier; la terre se jonchait de feuillage et de fleurs, et des musiciens chantaient aux accords de la flûte un hymne de jouissance. Vénus est ici la déesse de l'hospitalité

charmant jeune homme nommé George Duroy. Venant d'un milieu pauvre et né de parents paysans. Après avoir finit son devoir de sous officier en Algérie il décide d'aménager à Paris pour faire fortune. N'ayant que pour interêt lui même, il se sert des femmes pour parvenir à la gloire et devenir un homme du monde. Tout au long du récit il se montre comme un homme sans pitîer, prêt a tout pour devenir riche et puissant, il ne laisse pas de place au sentiment, se moque de ce que ses proches peuvent ressentir

INITIATION A LA LECTURE ANALYTIQUE Quelles questions poser au texte ? LECTURE DU TEXTE ET DU PARATEXTE Premières impressions ? Première hypothèses ? - en faveur des femmes -lutte contre l’inégalité homme/femme Auteur ? Epoque ? Mouvement ? Olympe de Gouges. Révolution Française. Siècle des Lumières. Titre ? Genre ? Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Plaidoyer. Sujet du texte ? Inégalité homme/femme Comment ? (quels procédés sont utilisés ? Pourquoi 

la dir. de J. Levi-Valensi, « La Pléiade », Gallimard, 2006, p.285-286). Allégorie à plusieurs faces, mais qui désigne sa cible, l’ombre de la peste, mortelle et omniprésente, insaisissable et meurtrière, idéologiquement repérable ; et la lumière tamisée des dialogues et des délibérations, qui élaborent page après page une « pensée par temps de peste ». Dans l’ombre de la peste, et causés par elle, nous le savons, des gouffres immenses, avec notamment la Shoah ; et Auschwitz, qui en est le symbole

du thème de la mort. Si elle plane sur Ulysse tout au long du voyage, elle trouve son point culminant au chant XI. Elle se matérialise dans les enfers. Elle n’est pas qu’une abstraction, elle prend corps. Symbolique de la mort. Tirésias/Anticlée/Femmes anciennement aimées par un dieu/Héros de Troie/Minos/Suppliciés : Tytios, Tantale, Sysiphe et Hercule. Un rapport complexe entre la mort et Ulysse. Ulysse est en surcis dans un univers tendu où il risque souvent sa vie. Cette peut de la mort atteint