Les Femmes de l'ombre

dans ce chant. Développement : Après l’invasion de l’URSS par les nazis (1941), les communistes se rallient à la Résistance. L’occupation de la zone libre (novembre 1942) et le durcissement de la collaboration motivent les nouveaux résistants. Les femmes sont nombreuses à rejoindre le mouvement. Le refus du STO (Service du Travail Obligatoire) pousse les jeunes à gagner les maquis (refuges clandestins de résistants). La Résistance se renforce en 1943 ; grâce à l’action de Jean Moulin, elle s’unifie

Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève ! M’ont crié des enfants ; voilà tout ce que c’est. Et j’ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait. L’océan lui jetait l’écume de ses lames. - Voilà trois jours qu’il est ainsi, disaient des femmes, On a beau lui parler, il n’ouvre pas les yeux. - Son maître est un marin absent, disait un vieux. Un pilote, passant la tête à sa fenêtre, A repris : - Ce chien meurt de ne plus voir son maître. Justement le bateau vient d’entrer dans le port

illustration d’un jeune homme vêtu d’un costume et d’un chapeau haut-de-forme noir et de trois femmes qui l’observent d’un air sympathiques et malicieux. De cette illustration de Pablo Picasso, on remarque aussi que deux de ces femmes ont leurs seins nus et que le jeune dont le visage est orne d’une moustache regarde fixement droit devant lui. Ainsi, à mon humble avis, ce monsieur a un énorme succès auprès des femmes et est une personne qui se préoccupe beaucoup de son avenir. B/ L’histoire Cette oeuvre

Citation cheval: -Très loin, au plus profond du secret de notre âme, un cheval caracole... un cheval, le cheval ! Symbole de force déferlante, de la puissance du mouvement, de l'action. {David Herbert Lawrence} -Sur cette terre, comme l’ombre nous passons. Sortis de la poussière, nous y retournons. {Le Facteur Cheval} -Un moustique peut piquer et faire se cabrer un cheval, mais l'un demeure un insecte et l'autre est toujours un cheval. {Robert Dieudonée} -On éperonne toujours le cheval qui

de travail des jeunes enfants à travers une personnification : «Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement/Dans la même prison le même mouvement, /Accroupis sous les dents d’une machine sombre, /Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre ». Allitération en [r] amplifie la dévoration de la prison. Saint-Lazare pour la prison est une synecdoque. Personnification/animalisation d’un lieu qui tue. II- Un poème à dimension polémique a) Un appel au peuple inerte, impassible : prise

belles personnes" l.3 l'appartition de Mlle de Chartres provoque la surprise, l'étonnement : preuve de sa perfection "elle donna de l'admiration" l.2 Contraste entre la pureté de Mlle de Chartres qui s'oppose aux regards inquisiteurs (curieux) 3. L'ombre du malheur *La fragilité de l'héroïne : elle n'a que 16 ans "seizième année" l.24, "extrême jeunnesse" hyperbole l.22 *Elle est ici à la cour pour satisfaire l'ambition maternelle "Elle voulu la mener à la cour" l.24 *Mlle de Chartres n'a qu'une

électrocardiogramme – visuel qui incarne la puissance de la marque – visage dans l’ombre – rouge ( sang ) sous lui * la femme : elle est sereine , calme froide et rassurante, visage de la madone , inflexible femme fatale mais qui est sauveuse à la fois pouvoir PROBLEMATIQUE : * Comment faire évoluer l’image de Kookaï tout en concevant les valeurs acquises et défendus ? ou * Comment s’adresser à des femmes plus mure tout en gardant l’esprit rebelle moderne qui font le succès de Kookaï 

malignement son arc, Et dont l'aspect nous fit tant songer tout un jour ! Le vent de l'autre nuit l'a jeté bas ! Le marbre Au souffle du matin tournoie, épars. C'est triste De voir le piédestal, où le nom de l'artiste Se lit péniblement parmi l'ombre d'un arbre, Oh ! c'est triste de voir debout le piédestal Tout seul ! Et des pensers mélancoliques vont Et viennent dans mon rêve où le chagrin profond Évoque un avenir solitaire et fatal. Oh ! c'est triste ! - Et toi-même, est-ce pas

de contraste. Grâce au photomontage et au collage on peu associer des éléments imprimés à des éléments de dessins (ou même à des objets) cette œuvre à un niveau d'iconicité fort. Le personnage central est traité en plan américain, la silhouette de l'ombre traité avec le papier journal lui est en plan moyen-large et la femme au dessus de lui en plan rapproché poitrine, grâce a la libre association des images on peut créer des images complexes et pourtant assez réaliste. Dans cette œuvre il y a beaucoup

personnages Au théâtre, quand elle y est représentée, la femme apparait rarement en tant que personnages autonome, responsable de son destin, capable de décision et pourtant pouvant influencer l’action dramatique. Elle est presque toujours l’ombre d’un autre personnage et n’a de valeur qu’à cause des rapports qu’elle a avec ce dernier : le héros d’ordinaire. Sans celui-ci, sa présence sur la scène n’apporte rien car elle est dénuée de force intérieure et n’a d’utilité que dans la mesure où