Les Femmes de l'ombre

l'intermédiaire de La Vie Française et de son mari un plan d'attaque contre le ministère actuel. Que souligne cette scène d'intimité domestique? L'écriture de l'article met en valeur Madeleine Forestier, puissante femme de l'ombre, manipulant un George Duroy pantin, prétexte à ses ambitions de femmes libres. Il met également en lumière la jalousie naissante de Bel Ami, qui provoquera la perte de Madeleine. De plus, ce passage dénonce les liens entre le journalisme et la politique. I-Un homme « pantin », instrumentalisé

| |UN CHAMP DE BATAILLE | |LA GUERRE CIVILE | |IL PARLE DEVANT LUI DANS L’OMBRE | |MALÉDICTION ET BÉNÉDICTION | |EN VOYANT UN PETIT ENFANT | |UN ÉCHAFAUD

Jeanne était au pain sec... Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir, Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir, J'allai voir la proscrite en pleine forfaiture, Et lui glissai dans l'ombre un pot de confiture Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité, Repose le salut de la société, S'indignèrent, et Jeanne a dit d'une voix douce : - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ; Je ne me ferai plus griffer par le minet. Mais on s'est récrié : - Cette enfant vous connaît

mots dans le thème de la mort comme par exemple « Noir squelette » ou encore « le crépuscule » le crépuscule de la vie désigne le moment juste avant la mort. Dans le vers 4 « Dans l'ombre ou l'on dirait que tout tremble et recule » nous pouvons faire un rapprochement entre l'ombre et que tout tremble car dans l'ombre il fait plus froid donc les gens tremble, dans le vers suivant «  L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx » désigne le fait que les hommes regardais le mouvement de la faulx

Lieu d’exposition : Musée d’art moderne à New York depuis 1939 Personnages : 5 femmes, dénudé, deux d’entre elles, celle de gauche et de droite on le visage dans l’ombre et se regardent. Les regards forment une ellipse, elles regardent en diagonal ou vers le centre. Celle de droite de plus est de profil. Trois d’entre, celle assise de dos, et celles qui sont aux extrémités du tableau portent un masque. Les deux femmes du milieu ont des poses provocantes. Couleurs : Le tableau se base sur des couleurs

une impression de mort sur la toile mais aussi peut s’expliquer par l’utilisation de photo sans couleur pour peindre la scène. Sur cette œuvre on peut observer axe remarquable qui est verticale, qui partage la scène en deux parties : l’une dans l’ombre et l’autre dans la lumière. On peut observer aussi une construction pyramidale partant de la lampe à pétrole et ayant pour base le soldat mort en bas du tableau : la pyramide allant vers la lumière. Dans ce tableau la lumière à deux signification

sensuelle car surprises laisse libre cours aux fantasmes. La femme noire = chants d’ombre. Chez Senghor, l’évocation de la femme revient au clair obscur. La femme noire est à la fois obscurité et lumière. Jeux de lumière : « A l'ombre [...] s'éclaire »..., champs lexicaux de l'ombre et de la lumière dans tout le poème soulignant la complexité de la femme. b) Amour et élévation spirituelle L’image biblique : « Terre promise » Moïse découvre la terre promise. Milieu aride pourtant plein de promesses

mystérieux, suaire aux blanches moires, Frissonne ; au fond du bois, la clairière apparaît ; Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ?   Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ? Vous qui passez dans l’ombre, êtes-vous des amants ? Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines ; L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants.   Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe ? Aimez, vous qui vivez ! on a froid sous les ifs. Lèvre, cherche

même façon. Exemple : La mère universelle, dans toutes les cultures, nous avons une image sacrée féminine (la vierge Marie, Héra chez les Grecs, Guanyin en Chine, Shakti en Inde, Lila Wakan chez les amérindiens, les matriarches juives, les femmes du prophète dans l’islam…) Ce sont des structures vides, toujours présentent avec des formes différentes, une sorte de contenant. Marie, Guanyin et Shakti n’ont pas grand chose en commun, ce qui compte c’est l’archétype de la mère cosmique.

passion amoureuse était celle des femmes, qui se finissait toujours mal. Alors que les amours des troubadours sont plus masculins, liés a la chanson. Se développe une forme d'amour raffiné, élitiste... Dans notre œuvre, les chansons ne sont jamais en entièr, on en a quelques strophes. 16 chanson d'amour sont citées, 13 en langue d'oil, 3 en langue d'oc. On trouve aussi des chansons de femmes, ce dont en particulier des chansons de toile, chantées au moment ou les femmes tissent. On en trouve 6. Petits