Les Femmes Savantes Personnage

Littérature Les femmes dans les contes de Perrault et les illustrations de Doré Perrault, dans ses Contes, a accordé une grande place aux femmes, qu’elles soient les héroïnes, les destinataires ou les dédicataires. Doré a repris la perspective de Perrault dans ses illustrations des contes. On peut se demander quelle est la place des femmes dans les contes de Perrault et les illustrations par Doré. Nous verrons l’importance qu’occupent ces femmes chez ces deux artistes puis leurs fonctions et

modérés et donc n’ont pas besoin de contraintes: ils ont reçus une éducation parfaite. -Education aussi bien adaptée pour les hommes que pour les femmes. -Tout semble être fait aisément : le vocabulaire de l'effort est totalement absent du texte → Les thélémites ne semblent pas éprouver de difficulté à cultiver leur esprit. -Et pourtant, tous sont des savants dans de nombreux domaines : L23-38 ( première moitiés du dernier paragraphe) → sont très complets (maîtrisant les savoirs et les savoirs faire)

un souhait très développé de liberté. Le libertin est celui qui se libère des contraintes religieuses et philosophiques. Il a donc un esprit de contestation qui se développe chez les écrivains, les savants, les médecins et les philosophes. On parle alors de libre penseur. Un libertinage savant s’est développé en réaction contre l'austérité et le pouvoir des religions : les libertins étaient avant tout des philosophes, des scientifiques, des érudits, des esprits ouverts et curieux, désireux de

retrouve face à une situation très embarassante, les deux femmes qu'il courtise se retrouvant dans la même pièce. Don Juan joue un double jeu, coupant la parole aux deux jeunes femmes leur faisant entendre à chacune que cette situation n'est qu'un malheureux malentendu. Il est aussi présent dans le quatrième texte, où le médecin va voir Argan pour lui dire qu'il abandonne son suivi médical. S'ensuit une dispute entre les deux personnages, où Argan n'arrive pas a se justfier. Une éxagération des mots

D’autre part, un personnage peut entrer en conflit contre lui même, il s’agit alors d’un monologue. L’affrontement peut même être à l’origine d’une pièce : par exemple dans Tartuffe dès l’acte 1 scène 1, Molière a décidé de commencé sa pièce par l’affrontement entre Mme Pernelle et les autres membres de la famille d’Orgon. En effet, souvent le conflit reste récurrent, il montre un désaccord qui peut se régler aussi bien au début qu’à la fin de la pièce comme dans « Les femmes savantes ». Ainsi, le

Les intentions de Molière Molière entretient l'ambiguïté sur ses intentions en décrivant un personnage qui n'est pas totalement noir. Il est intelligent et courageux. Dans ses duels verbaux contre Sganarelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre pensée, mais respecte les convictions religieuses

donne son premier grand chef-d'oeuvre: L'École des femmes est une réussite prodigieuse. Mais les dévots, considérant Molière comme un libertin et craignant son influence sur le roi, condamnent L'École des femmes comme une pièce obscène et irréligieuse. Par ailleurs, la protection du roi suscite des jalousies de la part de troupes de comédiens. L’année suivante, Molière réplique en ridiculisant ses adversaires dans La Critique de l'école des femmes et L’Impromptu de Versailles. Vers le soir de la

psychologiques comme L'École des femmes (1662) ou L'Avare (1668), des comédies-ballets comme Le Bourgeois gentilhomme en 1670 ou Le malade imaginaire en 1673, des pièces plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière

• Un sujet emprunté à la vie quotidienne. • Des personnages ordinaires. • Une action vive et rythmée aux nombreuses péripéties. • Une structure classique : trois ou cinq actes ; exposition, nœud, dénouement. • Une attention portée aux jeux de scènes comiques. • Elle se donne pour but de divertir par la peinture de la société, et de dénoncer les vices et corriger les mœurs (castigat ridendo mores, le rire corrige les mœurs). Les Femmes savantes (1672) de Molière sont une satire des milieux intellectuels

fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) CONDORCET, Cinq Mémoires sur l'Instruction publique (1791), I, 4, "Il est nécessaire... crainte est fondée." SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) LA FONTAINE, Fables (1668-1693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I