Les Fenêtres Allitération

poète sont mises en évidence par l’ennui profond qu’il ressent en France. On le retrouve avec un champ lexical de la tristesse et de la solitude (« seul » (v. 4), « rouillé » (v. 6), « décline » (v. 5)). Ce sentiment est mis en évidence par deux allitérations. La première est l’allitération en [l] des mots « laissez », « l’heure » et « l’horizon » (v.1), « inégal » (v.2), ou encore « la colline » (v. 5). L' insistance de cette sonorité reflète l’état du poète qui est bercé par la nature et l’écoulement

La scène se situe dans un cadre ou tout semble aller pour le mieux depuis toujours. Voltaire a recours au nom portrait en utilisant un nom éponyme, ce surnom est relié à son caractère. TTT : les sons sont durs, germaniques. En allitération en [t]=idée de cacophonie. Thunder=tonnerre. Pangloss est construit à partir de 2 mot grec , Pan=Tout et Gloss=Langue. Il parle toute les langues. Réduction de la barronne à son poids. Un monde idyllique et idéal et présenté

« Any where out of the world » N’importe où hors du monde Texte : Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait à côté de la fenêtre. Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme. « Dis-moi mon âme, pauvre âme refroidie, que penserais-tu d’habiter Lisbonne ? Il doit y faire

génère une distance : dans la strophe 2, le symbole de la distance est la fenêtre qui permet d’élaborer une image lointaine, une coupure avec un autre espace : il faut imaginer un homme frappé par une image vite disparue (l’opposition « apparaître » / « s’évanouit »). La notion de « silhouette » renforce l’incapacité à approfondir cette vision, d’autant que ce terme rime avec « fluette » (un corps fragile). La fenêtre est un espace d’intimité observée. dans la strophe 3, le symbole de la distance

de la maison, fenêtre laide/ femme belle…) + rôle du hasard (l.11) • personnages : Lucien isolé du groupe, femme à l’écart, spectatrice • événements : ennui (énumération l.9, allitération en « s »), « idées tristes » abolies en un instant, comme par enchantement (« lorsque » l.5) : effet « coup de foudre . Sens de « ranimée ». Écho : « toutes les idées » // « tout disparut » 2) L’apparition féminine • tradition issue de l’amour courtois : motif de la « dame » (21) à la fenêtre, en hauteur,

pièce : " table placée devant une des fenêtres " II - La vision de Paris Paris est comparé à un océan : - réseau lexical du comparant : " flots ", "bleuâtre", "lac", "fonds", "rive" - immensité de Paris fait penser à un océan. Immensité et multitude et traduite par "océan de toits bleuâtres", "pareil à des flots pressés", "emplissent l'immense horizon" - utilisation des pluriels : " pressés ", " emplissent " - procédés de sonorité ; allitération en [s], qui donne une impression de saturation

pour les détourner. En effet, le cadre spatio-temporel est exagéré. Tout d’abord la langue allemande est exagérée avec une allitération en T pour montrer que c’est une langue dure. Ensuite le château est un paradis fictif. Voltaire oppose le superlatif « un des plus puissants » à des détails qui montre que le château n’est pas si puissant : « car […] une porte et des fenêtres » Pour finir, la présentation des personnages n’est pas si féérique. Par exemple l’énumération pour décrire Cunégonde n’est

l'eau et la musique du poème. 1. Le personnage d'Ondine Ondine est une créature mythologique qui fait une apparition fugitive, elle disparaît aussi vite qu'elle apparaît. Elle apparaît à la fenêtre du poète la nuit « c'est moi, Ondine qui frôle de ces gouttes d'eau les losanges sonores de ta fenêtre », « rayons de la lune ». Elle disparaît « s'évanouit en giboulées qui ruisselèrent blanches le long de mes vitraux bleus ». Entre cette entrée et cette sortie, rien ne laisse supposer qu'elle ait

pas du même milieu. 2) Le Baron Cette présentation s’effectue par de petites « Touches ». Ce personnage a du tonnerre dans son nom, il semble rude avec cette allitération en « T ». Il reviendra ligne 12, la description est axée sur le pouvoir « puissant seigneur » mais aussi sur l’aspect extérieur « Tapisserie », « Meute », « Fenêtres », « Porte », « Une grande salle », « Grand Aumônier »… Les apparences sont celles de la richesse, de la puissance du Baron, Il y a tout de même des distorsions

technique cinématographique. Mais la vue n’est pas le seul sens que sollicite le port : la prose poétique de Baudelaire cherche à nous sensibiliser à une certaine musicalité : présence d'allitérations : « prisme […] propre à amuser les yeux », allitération [k] et assonances [ou] : « contempler couché […] ou accoudé ». Liens sonores entre "les lasser" suivi de "élancées". Triple répétition rythmant la fin du poème : "de ceux qui […] de ceux qui […] de ceux qui". Le port ainsi décrit par Baudelaire