Les Fenêtres Allitération

la personnalité de la protagoniste. Il met en scène une héroïne: Jeanne, âgée de 17 ans qui vient de sortir du couvent est conduite dans la campagne normande par son père. C'est avec joie qu'elle redécouvre la demeure familiale et le soir, à la fenêtre, elle se met à rêver d'un futur prochain, d'un amour qu'elle désire connaître. Nous allons tenter de comprendre en quoi ce passage participe à la construction du personnage de l'héroïne (?)  I) La satire indirecte d'une jeune femme 1) Les

Introduction Amorce : La poésie s'inspire souvent de thèmes de la vie quotidienne à fort potentiel symbolitique : le foyer, l'horloge, la rose. Les fenêtres font partie de ces sources d'inspiration. Reverdy, proche des artistes surréalistes et notamment des peintres cubistes… Le texte : … évoque dans son recueil La Lucarne ovale, la séparation d'un couple dont la fenêtre ouverte est témoin. Annonce des axes : 1. Le cadre lugubre personnifié ; 2. d'une séparation amoureuse. I. Le cadre « lugubre » personnifié…

(Candide est chassé du château) *Son registre est entièrement satirique. I) satire des aristocrates II) satire des philosophes I) Satire des aristocrates : Le nom des lieux, des personnages : => le nom du château "thunder-ten-tronckh" (allitération en t) discrédite le baron car difficilement prononçable donc c'est une moquerie des aristocrates => Candide : Il est dit dans le texte que son nom n’a pas été choisi au hasard, c’est un personnage simplet et pourtant noble => critique de l’aristocratie

qui se répète partout l’œuvre. Il personnifié la pensée et la folie en utilisant des majuscules. Maupassant aussi répète (tête, pensée / Pensée et yeux) parfois comme une métaphore de la tête pour ce qui contiens les pensées et des yeux pour une fenêtre à ça. La seule description physique du personnage principal, le fou, est dans l’incipit (fort maigre, joues crouses, cheveux presque blancs, vêtements trop larges, membres secs, poitrine rétrécie, ventre creux). Encore Maupassant emploie un vocabulaire

séance 1 : A partir du poème "Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx" de Stéphane Mallarmé, les élèves indiquent le nombre de strophes, leur nom, le type de vers employés, les scandent, indiquent les césures, relèvent les rimes, assonances et allitérations. [Expliquer aux élèves la raison du choix de ce poème très difficile, en leur précisant de ne pas s'attacher à la lettre du texte, mais de bien se concentrer sur les phénomènes rythmiques et phoniques ; le professeur lit le poème deux fois avant

puis encore avoir de belles années. Le bonheur rajeunit, et je veux connaître le bonheur. J’ai fait des projets délicieux, nous les laisserons à Clochegourde et nous irons ensemble en Italie. Des pleurs humectèrent mes yeux, je me tournai vers la fenêtre comme pour regarder les fleurs ; l’abbé Birotteau vint à moi précipitamment, et se pencha vers le bouquet : — Pas de larmes ! me dit-il à l’oreille. — Henriette, vous n’aimez donc plus notre chère vallée ? lui répondis-je afin de justifier mon

deux strophes. C'est une comparaison romantique où l'on a une extériorisation de l'état intérieur. Ce stéréotype romantique subit une modification car il est modernisé. Il passe de la nature à la ville. C'est probablement le paysage qu'il voit de sa fenêtre de prison. S3 et S4: l'extérieur disparaît, le poète est entièrement tourné sur lui-même. B- La fusion de la pluie et des larmes Cette fusion est faite au niveau de l'image. Elle est métaphorique (tournure impersonnelle) caractétistique typique de

conte : « Il y avait » variante de « Il était une fois ». Voltaire emploie l’imparfait, temps du conte tout le long du texte : « avait » , « enseignait » , « écoutait »… Le décor du château est emprunté au conte : « son château avait une porte et des fenêtres. ». La récurrence de superlatifs est un élément du conte, elle définit l’univers de Candide comme idyllique : « les mœurs les plus douces » , « le plus beau des châteaux » , « le plus grand philosophe de la province ». Une vision optimiste du monde

poétesse introduit la première perception du temps qui décrit une annonce du futur monotone et morne, elle est suivit d’une PSR « ...qui viennent seront... »qui insiste quant a elle sur le défilement du temps de la vie humaine accentuer par les allitérations en [s] avec « succession/strapontins/ salles » . Cet pluralité des mots appuie sur le temps a l’échelle d’une vie « Une succession d’ horaires » mais aussi V2 « de bagages,de salles et de strapontins » faisant penser à une certaine attente comme

répétition- affection pour J- bcp de doutev 14 - si · plutôt que - conjonction du sub- remet en condition- condit°, hypothèse, autre solution- remise en contexte, exposit° faitsv 15 - la force [...] toi-même· te tuer toi-même- voc masculin- allitération- express° qualités masculines a J- en T donc dur = forte idée suicidev 16 - probable· tu · entreprendras · alors- voc du doute- 2ème pers. du singulier - vrb au futur- adverbe marque la conclusion- idée de doute qui persiste- la met seul face