Les Fictions Doivent Nous Expliquer Par Nos Vertus Et Nos Sentiments Les Mystères De Notre Sort

supports d'autant de mémoires collectives Chapitre V. - La mémoire collective de la famille i Les cadres de la vie collective et les souvenirs de famille ii La famille et le groupe religieux. La famille et le groupe paysan. Nature spécifique des sentiments de famille iii Les rapports de parenté et l'histoire de la famille. Les prénoms iv La création de familles nouvelles. La famille et les autres groupes Maurice Halbwachs (1925), Les cadres sociaux de la mémoire. 4 Chapitre VI. - La mémoire

l’ensemble des comparaisons qui magnifie cette ardeur guerrière. En même temps il y a un accent mis sur la violence barbare. Réflexion sur l’excès. C’est ce qu’on appel l’hybris en latin. L’hybris, c’est quelque chose de très grec, c’est lorsque un homme sort de la mesure d’un homme. Dans l’Iliade il y a une réflexion sur cet excès inutile de violence barbare. C’est aussi une société très hiérarchisée. Dans ce monde on obéit à son père. Hiérarchie dans le monde des hommes et aussi des Dieux. Les valeurs

moment où est apparut le roman moderne. Définition de travail : C’est la représentation d’une personne dans une fiction. Ca veut dire que c’est un etre qui est crée artificiellement et la seule vérité est textuelle. On peut dire que le personnage est calqué sur la personne. Il y a une distinction fondamentale entre le personnage et la personne, c’est que le personnage c’est une fiction de la personne. C’est une sorte de calque. L’auteur va essayer de rapprocher le personnage de la personne avec l’illusion

tempêtes ». La poésie et la musique éclairent les autres arts par là. • Le sentiment esthétique pourrait bien être une fiction. Par la contemplation, nos sentiments, amour, ambition deviennent esthétiques. « on ne peut, à ce que je crois, ni admirer le beau, ni le créer, que si l’on se trouve pris d’abord dans un mouvement de malheur dont on attend quelque extrême terrible. ». il faut que le beau ait u contenu de sentiment. • Telle est la démarche d’admirer. Les larmes sont le signe du sublime

psychologie du siècle est influence par l’esthétique du style ou vice versa. Qui sait? Mais le fait est sur, le décor rococo par son instabilité, son caractère changeable qui provoque le regard de glisser d'un élément à l'autre est en harmonie avec les sentiments et les pensées de la société. Les mœurs sont aussi légères que l'art, et on essaye de prouver que les vices peuvent être de bon ton. Et la reine de cette société vicieuse et raffinée et la femme. La domination des femmes s'étende dans tous les domaines

Hugnet, Chirico, Sage 4. Desnos, Dalí • Évaluation Éluard, Man Ray ActIvItéS et rechercheS hIStOIre deS ArtS 37-38 39-40 Dalí, La Persistance de la mémoire Interrogation 3 Séquence A Le lecteur d’œuvres de fiction fuit-il la réalité ? 41-47 Lire de la fiction : est-ce fuir ? 1. Fred Boucher, Chririco, Schuiten et Peeters, Queneau 2. Manguel et Guadalupi, H. Pratt • Évaluation Calvino, Manguel et Guadalupi, Schuiten et Peeters Séquence b Le Cœur révélateur, d’E. A. Poe :

grandissant avec le temps. Aujourd’hui, au sens commun, il désigne « un ensemble imprécis de propositions qui s’opposent à la réalité »2 : ou bien, au sens le plus négatif, il renvoie à une affabulation ; ou bien, dans une acception positive, il renvoie au mystère entourant les personnages qui font flamber l’imagination collective : Marilyn Monroe ou Mikael Jackson sont ainsi devenus des « mythes ». A noter que la connotation de ce dernier emploi reste ambiguë : si Henri Meschonnic fait remarquer que l’usage

admet de ne plus exister (la salle est plongée dans le noir, le public garde le silence) et de ne pas intervenir dans l’action qui va être représentée (il oublie donc son identité). Il décide d’y « croire », tout en sachant que la pièce n’est que fiction ; voilà ce qui fait qu’il se laisse émouvoir, rit, pleure, compatit, … On notera que les applaudissements (ou les sifflets) marquent en quelque sorte une rupture de cette convention : le spectateur reprend son identité et juge l’acteur et non plus

Exemple : Le Parfum, de P. Süskind, publié en 1997, raconte l’histoire de Jean-Baptiste Grenouille, jeune homme parisien vivant à la fin du XVIIIe siècle, et doté d’un odorat hors du commun. Le tour de force du roman est de donner au lecteur le sentiment véritable de ressentir les odeurs en même temps que le personnage. L’intrigue elle-même insiste sur le pouvoir immense que peuvent avoir sur nous des perceptions dont nous n’avons pas conscience : Jean-Baptiste parvient en effet à manipuler ses semblables

dont la réflexion et les sentiments restent au niveau le plus fruste. Aucune analyse psychologique ne vient donc soutenir leur évolution. Chacun d’eux est le simple représentant d'une idée, d’une attitude qui s’expriment toujours dans les mêmes termes. C’est pourquoi il est relativement facile de les ramener à un rôle conventionnel : - La vieille est le personnage classique de l’entremetteuse. - Cunégonde est la jeune femme aimée de Candide, mais dont la beauté, la vertu et la fidélité sont sérieusement