Les Figures De Style Dans L Automne De Lamartine

dans la définition de la beauté. Les baroques (D'Aubigné, Du Bartas)portent les recettes de la Pléiade à un degré imprévu d'intensité, en renversant la perspective: lorsque d'Aubigné, dans Les Tragiques, se déclare en quête d'un "autre style", il multiplie les figures (répétitions, antithèses, métaphores, oxymores), dont Ronsard faisait un usage modéré, tout en prétendant produire, dans ce langage déchaîné, la vérité même, là où Ronsard ne cherchait qu'un plaisant "vraisemblable"...Car on peut cultiver

la sqce : Lamartine, « L’Automne » ; Nerval, « Fantaisie » ; Aloysius Bertrand, « Ondine » et « La ronde sous la cloche ». - Alphonse de Lamartine, « L’Automne » in Méditations poétiques (1820). - Bilan de la question de synthèse : Dans ces 4 poèmes, le narrateur utilise la 1° personne du singulier (« je », « me », « mon »). (Peut-être le poète lui-même ?) Il est au centre de son texte. 1° approche du registre lyrique = parler de soi. f - Lecture du texte de Lamartine puis lecture

versification, les sonorités, l’énonciation, | |les valeurs des temps et modes des verbes, les adjectifs antéposés | |et postposés, les adverbes, le champ lexical, champ sémantique, | |connotation, dénotation, la syntaxe, la ponctuation, les figures de | |style, le niveau de langue, les modalisateurs… | 1. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en

| | |Séance 2 (2h) |- Corpus de la sqce : |- Bilan de la question de synthèse : Dans ces 4 poèmes, le narrateur utilise la 1° |Pour la s. 3 / 4 : | | |Lamartine, « L’Automne » ; |personne du singulier (« je », « me », « mon »). (Peut-être le poète lui-même ?) Il |Rédiger l’introduction, | |[pic] Découvrir la |Nerval, « Fantaisie » ; |est au centre de son texte.

nommer ou décrire, importance des sensations, subjectivité de la connaissance A la fois un art et un mode de vie. Auteurs cherchent à dévoiler le surréel dans leur vie. Ecriture libre de toute règle Auteurs Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Alphonse de Lamartine Hérédia, Th. Gautier Verlaine, Rimbaud André Breton, Philippe Soupault, Louis Aragon Œuvres « Le dormeur du Val », « Le Lac » Vénus de Milo Brise Marine, Clair de lune « Le paysan de Paris », « Champs magnétiques » Poésie médiévale Introduction

français), le désir de connaissance ou la quête de Dieu (entre autres chez Lamartine). Enfin, si la passion ne peut être satisfaite, et chez les romantiques elle l'est rarement en dehors de la mort, le désenchantement apparaît. On parle alors de Mal du siècle, de nostalgie, de mélancolie. Il est en tout cas remarquable comme le romantisme relève souvent d'une esthétique du malheur: il a mis en scène d'éternels automnes, des soleils couchants toujours répétés et le suicide lui-même devient un thème

Fosteillion 2 Sommaire Guillaume Apollinaire, Le Point Mirabeau 4 Charles Baudelaire, L’Ennemi 23 Léo Ferré, Avec le temps 16-17 Théophile Gautier, La montre 7-8 Esther Granek, Vain débat 13 Louise Labé, Sonnet XVI 20 Alphonse de Lamartine, Le Lac 9-11 Jacques Prévert, Le Temps perdu 12 Pierre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle 19 Rutebeuf, a complainte de Rutebeuf 21-22 Emile Verhaeren, Vers le futur 14-15 Paul Verlaine, Chanson d’automne

difficile à | | |Le texte est parfaitement fluide, le |lit facilement. Les citations sont |bien. Les citations sont intégrées de |Le texte se lit bien. Les citations |suivre, et les citations sont mal | | |style est limpide. Les citations sont |intégrées de façon correcte et variée. |façon correcte, mais peu variée. |sont, la plupart du temps, intégrées de|intégrées. | | |intégrées de façon correcte et variée

repère les propositions subordonnées  (orthographe de la séquence 1) 8) Je dis un poème de façon expressive 9) J’écris un poème SEANCE 1 « Le Lac » Poème de Lamartine. Il a rencontré cette femme au bord du lac du Bourget dans une ville thermale : Aix les Bains. Eaux thermales = qui permettent de soigner. 19ème siècle. Lamartine a rencontré Julie Charles. Ils se sont donnés RDV un an plus tard mais elle ne sera pas là car elle est hospitalisée et décèdera plusieurs mois plus tard des causes

inconsolable " morne et seul ". Malgré sa résolution d'accepter son sort, il ne peut échapper au souvenir d'Elisa, aux merveilleux moments passés en sa compagnie au cœur de l'automne. Dans le poème précédent " trois ans après, il a éprouvé le besoin comme Lamartine dans Le lac de revenir sur les lieux de fréquentés ensemble. Le poème s'articule comme une promenade sentimentale à rebours, mais enchâssée dans le présent. Il apostrophe sa mémoire " que me veux-tu " et s'interroge avec inquiétude. La tournure "que