Les Fleurs bleues

édition de 1861 1 1 Fleurs du mal Charles Baudelaire inkwatercolor.com inkwatercolor.com édition de 1861 Charles Baudelaire Fleurs du mal édition de 1861 édition de 1861 Fleurs du mal Vous êtes libres: • de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public • de modifier cette création Selon les conditions suivantes : • Paternité. Vous devez citer le nom de l'auteur original de la manière indiquée par l'auteur ("Charles Baudelaire / une édition illustrée par inkwatercolor

seul, à quoi sert-il ? Les ascenseurs, c'est pour grimper,Les Présidents, pour présider,Les montres pour se dépêcher,Les mercredis pour s'amuser. L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Il suffit de le demanderA l'oiseau qui chante à la cime. Les fleurs Des avalanches d'or du vieil azur, au jourPremier et de la neige éternelle des astresJadis tu détachas les grands calices pourLa terre jeune encore et vierge de désastres,Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,Et ce divin laurier des âmes exiléesVermeil

Nous poursuivrons notre étude avec "Brise Marine" de Mallarme extrait du recueil "Poésie" écrit en 1865. Mallarmé y décrit sont envie de partir pour développer son imagination. Ensuite nous étudirons "Elévation" de Baudelaire, extrait de "Les fleurs du mal", dans la section "Spleen et Idéal". Il date de 1857. Dans ce poème, le poête s'envole, au-dessus des hommes et de la société qu'il rejette, il fuit. Puis nous étudirons : "Equilibre fuyant" de Jules Delavigne extrait de "Conclusions" paru

colonne vertébrale. Cependant c’est un ronde bosse car quand on la voit de derrière on a l’impression que le manteau est tiré (il suit le mouvement des bras de la Vierge) car elle porte l’enfant. Les couleurs que l’on peut apercevoir : Rouge, bleu (bleu-vert) et du bronze vieillit. La vierge : • SON CORPS est placé de manière frontale tandis que sa tête est légèrement tournée vers sa gauche. A l’aide de son bras gauche, elle porte l’enfant et avec sa main droite : elle tient son drap à l’aide

vert et achille à droite porte un drapé rouge , chiron montre à achille comment se servir de l’arc en faisant la position qu’on doit faire avec les mains pour le maniement de l’arc , achille imite chiron son précepteur , paysage rocailleux , drapée bleu par terre sur lequel on aperçoit une lyre ,lion mort au sol , on peut apercevoir le carquois de fleche sur chiron. 1) J.L David Biographie : Jacques-Louis David, peintre français né le 30 août 1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles

moi son regard émouvant :  « Quel fut ton plus beau jour ! » fit sa voix d'or vivant Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.  Un sourire discret lui donna la réplique,  Et je baisai sa main blanche, dévotement. - Ah ! Les premières fleurs qu'elles sont parfumées  Et qu'il bruit avec un murmure charmant  Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées ! Nevermore Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne Faisait voler la grive à travers l'air atone, Et le soleil dardait

il dit que la Terre appartient au enfant : ''Que cette poupée là appartient aux enfant''. La poupée terre Si j'avais une poupée, je j'appellerais terre. Elle aurait des beaux yeux, des yeux bleus de rivière. Elle aurait un manteau de fleurs et de forêt. Où tous les animaux aimeraient se cacher. Elle aurait une robe de lacs et d'océan. Qui couvrirait ses pieds de vagues de diamant. Elle aurait des cheveux de brume et de nuages. Je la conseillerais et je dirais aux grands. Arrêtez

et la proclamait comme étant destinée au Beau et non à la Vérité. Auteur torturé, il n’a publié de son vivant qu’une seule oeuvre : «Les Fleurs du Mal». Ce recueil de poèmes a été condamné et censuré dès sa publication (1857), car il était considéré comme trop choquant pour la morale bourgeoise. «Le Parfum exotique» de Charles Baudelaire, tiré des «Fleurs du Mal», est un poème consacré à Jeanne Duval, sa maîtresse de l’époque. Au fur et à mesure que le poème avance, cette femme s’efface, du

Religion. En effet, depuis petit Rimbaud à une mauvaise image l’église car petit, il était forcé d’aller à la messe tous les dimanches. Il compare Le Mal (1870) « Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu (…) Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or » On retrouve également cette même satire dans Premières Communions(1871) et Accroupissements (1870-1871). G. Le renouveau poétique, de Rimbaud « La

nous sommes penchées sur le fossé que comblait un crépuscule violâtre fouetté de tourbillons blancs ; nous avons contemplé Levallois noir piqué de feux roses, derrière un voile chenillé de mille et mille mouches blanches vivantes, froides comme des fleurs effeuillées, fondantes sur les lèvres, sur les yeux, retenues un moment aux cils, au duvet des joues… Nous avons gratté de nos dix pattes une neige intacte, friable, qui fuyait sous notre poids avec un crissement caressant de taffetas. Loin de tous