Les Fleurs Du Mal Corpus

constitués à la bibliothèque du lycée. • P-A de Beaumarchais, Le Barbier de Séville et La Mère coupable (édition de votre choix). • Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard (édition de votre choix). • -Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (édition de votre choix). • Anthologie de la poésie française du XIXè siècle, volume I De Chateaubriand à Baudelaire, édition de B. Leuilliot, Poésie/Gallimard, ISBN 2-07-032258-0 [lire aussi la remarquable préface] • Claude Simon, Discours

Dissertation Corpus structure et musicalité pantoum : genre d'origine malaise, écrit en quatrains ; le deuxième et le quatrième vers de chaque strophe se répètent au premier et au troisième vers de la strophe suivante prose : Le poème en prose est une forme hybride, ni nouvelle ou histoire brève, ni poème au sens traditionnel, ce qui complique toute tentative de définition. Suzanne Bernard, dans sa thèse Le Poème en prose de Baudelaire jusqu'à nos jours (Nizet, 1959) propose les

d’exprimer le moi intime ou si elle a d’autres fonctions. I. La poésie comme expression des sentiments 1. L’expression de sentiments exaltants, positifs La poésie exhale le je et célèbre le tu. De nombreux poèmes sont écrits à la 1re personne (exemples du corpus), dans un registre lyrique, pour exprimer les sentiments personnels du je. D’autres poèmes sont une célébration d’un être cher, à l’aide d’images (« ma femme aux doigts de hasard et d’as de cœur », « L’union libre » de Breton), souvent sous forme

HUGO, « L’Expiation », Les Châtiments » 1853 Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte 2 : Robert DESNOS, « Ce cœur qui haïssait la guerre » Destinée arbitraire,1975 (Lecture analytique) Documents complémentaires : 1) Corpus I : « La poésie lyrique et amoureuse »: RONSARD, Amours de Cassandre 1552

Objet d'étude : Le théâtre, texte et représentation. Corpus : Texte A : Molière, Dom Juan ou le festin de pierre (extrait), acte I, scène 1 (1665). - Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait) (1834). - Texte C : Jean Anouilh, Antigone (1944).- Texte D : Jean Genet, Les Bonnes (1947). Texte 1 : Molière, Dom Juan ou le festin de pierre (extrait), acte I, scène 1 (1665). ACTE I, Scène première SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE (…) Reprenons un peu notre discours

Dans ce corpus, 4 textes du 19° siècle sont soumis à notre étude . Le premier, Les luttes et les rêves, de Victor Hugo, est extrait des Contemplations, et a été écrit en, 1856 . Le second texte, Spleen et Ideal, extrait des Fleurs du mal, a été écrit par Baudelaire en 1857 . Le troisième texte, Ariettes oubliées, extrait de Romances sans paroles, a été écrit par Paul Verlaine en 1874 . Le quatrième et dernier texte est Invocations, extrait de Harmonies poétiques et religieuses . Il a été écrit

.......................................................................................................................................................... p. 103 Corpus BAC (séries générales) ................................................................................................................................. p. 107 Corpus BAC (séries technologiques) ...................................................................................................................... p. 111 Liste des

Découvrir notre langue : 1. Lis le corpus reproduit ci-dessous. Essaye de repérer la particularité des exemples présentés. a. Juliette, comme Martine, ne quittent pas leur chambre. b. Le nez de Cléopâtre, s’il eut été plus court, la face du monde aurait changé. (Pascal, Pensées) c. En attendant de vos nouvelles / dans l’attente de vos nouvelles, veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées. d. Dans cette atmosphère de calme et de bonheur semble rendre toute cette famille

comme les hautbois, verts comme les prairies,Et d’autres, corrompus, riches et triomphants,Ayant l’expansion des choses infinies,Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,Qui chantent les transports de l’esprit et des sens.Ch. Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857. | Chanson d’automneLes sanglots longsDes violonsDe l’automneBlessent mon coeurD’une langueurMonotone.Tout suffocantEt blême, quandSonne l’heure,Je me souviensDes jours anciensEt je pleure,Et je m’en vaisau vent mauvaisQui m’emporteDeçà

: Supports retenus : 1) « Caïn et Abel » (Genèse IV et Coran, sourate V). 2) Un corpus de trois poèmes : un poème Agrippa d’Aubigné, de V. Hugo et de Baudelaire. (Poésie lyrique et poésie engagée). 3) Lecture d’images : on mettra en parallèle le récit biblique et les représentations picturales qui s’en sont inspiré. Un choix de peintures allant de la plaque d’ivoire datant de 1084 (fresque jointe au corpus) à des tableaux plus contemporains comme celui de W. Blake. Le Corps d’Abel trouvé