Les Fleurs Du Mal Mélancolie Et Nostalgie

vanité de l'homme, folie, règne du hasard et de la fortune, jeu de l'illusion ( interventions du monde onirique, jeux de miroir, personnages déguisés, métamorphoses...) , illustration de la précarité de la vie (éléments naturels éphémères : bulles, fleurs, fumées...), eau, et la mort. On remarque différentes formes et procédés, que constitue les poèmes Baroque. On distingue dans ces poèmes en vers des métaphores, des antithèses, des hyperboles et des paradoxes, qui se succèdent afin de surprendre

mort, fascination pour la nuit; obscur, les ténèbres on en revient a la mort et aussi pour les questions d’ordre religieuses et métaphysique; qui avaient disparues ). On valorise, dans les écrits, les sentiments comme les larmes, la douleur, la nostalgie, les regrets qui sont associés aux temps. -Premier Auteur, Edward Young, pensée nocturne sur la vie, la mort et l’immortalité ( texte connu sous le nom de Les nuits ). Texte sur papier. Première parution 1742 cette œuvre est une attaque contre le

rêver, à avoir des espoirs de changement... Ils commencent donc à parler d'eux-mêmes dans leurs œuvres: c'est le début du romantisme. La littérature romantique consistait en de nouvelles idées et de nouveaux thèmes à exploiter, comme : La nostalgie du passé: Le temps est un grand thème du romantisme, c'est un sentiment de déclin de « finitude » (idée de la fin des choses). La fuite du temps est inexorable, on retrouve par conséquent l'idée de fatalité. Le temps est une complaisance à la douleur

« Quel beau bulletin »/ « Quel accueil »/ « Quel est belle » La litote ou euphémisme : Figure de style qui consiste à dire moins pour suggérer d’avantage c.à.d. laissez sous entendre plus que ce que l’on ne dit. Exemple : « J.H, je ne joue pas trop mal au tennis »/ « ce petit vin n’est pas mauvais du tout »/ chômeur= demandeur d’emploi. L’hyperbole : Figure qui consiste a exagérer l’expression d’une idée ou d’une réalité a fin de mettre en relief (évidence) Exemple : Je meurs de soif/ Ce type

blanc qui fait triompher le bien et le romanesque noir dans lequel ce n’est plus le bien qui est valorisé mais le mal. Il arrive souvent qu’ils s’inversent au cours du récit. Du romanesque blanc l’auteur passe au romanesque noir car l’être humain aime ce combat entre le bien et le mal. De plus, l’homme a une perception ambigüe du romanesque noir : assister à une représentation du mal permet de libérer le lecteur de ses pensées négatives et agit comme une modélisation pulsionnelle. Dans le récit

beauté». L’autre ne la refuse pas, mais la voudrait soumise à une haute exigence : il faudrait qu’elle soit «déesse et immortelle», ce qui est quelque peu redondant, mais correspond bien à l’idéal que Baudelaire avait défini dans son poème des ‘’Fleurs du mal’’ ‘’La Beauté’’ («Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre […] Je trône dans l’azur») ou dans le poème en prose ‘’Le fou et la Vénus’’ («l’immortelle Déesse […] l’immortelle Beauté !»). Mais «je l'aimerais», qui est accentué par l'adverbe

5. 2. Jean –Pierre Richard 5 2. LES OEUVRES ETUDIEES 6 2. 1. Charles Baudelaire: Les Fleurs du Mal 6 2. 2. Gérard de Nerval 6 PREMIERE PARTIE: POETIQUE DU PAYSAGE

modernes. […] La connaissance est la seule morale du roman. » Don Quichotte ? critique rationaliste de l’idéalisme fumeux ou exaltation de cet idéalisme. Non, pas de parti pris moral à la base de l’œuvre. L’homme souhaite un monde où le bien et le mal dont nettement discernables. Désir de juger avant de comprendre. Or ; la sagesse du roman, de l’incertitude, est ainsi difficile à accepter et à comprendre. Premiers romans européens : voyages. Plus vague, Jacques le Fataliste, les héros sont surpris

étrange semble pourtant fasciner totalement le poète et incarner paradoxalement l'idéal qui le comble et le sauve Résumé du commentaire de texte Dans l’œuvre de Baudelaire, Les Fleurs du mal, publiée pour la première fois en 1857, l’évocation de l’idéal, de la quête du beau, alterne souvent avec celle d’une mélancolie à laquelle le poète donnera le nom de « spleen ». Si au fil de la partie justement intitulée « Spleen et Idéal », le spleen semble finalement devoir l’emporter, c’est cependant à

s’en va dans les champs ; il admire… 15 5 10 15 20 II Le poète s’en va dans les champs ; il admire, Il adore ; il écoute en lui-même une lyre1 ; Et le voyant venir, les fleurs, toutes les fleurs, Celles qui des rubis font pâlir les couleurs, Celles qui des paons même éclipseraient les queues, Les petites fleurs d’or, les petites fleurs bleues, Prennent, pour l’accueillir agitant leurs bouquets, De petits airs penchés ou de grands airs coquets, Et, familièrement, car cela sied aux belles : – Tiens !