Les Fluctuations De La Croissance 1850 1945

notamment les nobles. Dans ce contexte propice apparaissent de nombreux progrès techniques : - l’imprimerie par Gutenberg donne naissance à l’industrie du livre - l’invention de la boussole amplifie l’expansion maritime et stimule la croissance des industries de luxe - le commerce industriel profite de l’extension du travail mécanique Peu à peu s’opère alors une symbiose entre commerce, argent et technique : les conditions du capitalisme. 2/ les idées mercantilistes Le mercantiliste

1919 et 1926, l’économie française connaît dans les années 1920 une croissance remarquable pendant laquelle cependant alternent des périodes d’expansion rapide et des phases plus délicates (1921-1922, 1925-1927) et qui concerne principalement l’industrie. En effet, en 1929, le secteur secondaire (activités extractives et BTP inclus) compte pour 45% du PIB, contre 25% pour l’agriculture et 30% pour les services. A Une croissance exceptionnelle. Quelques chiffres en témoignent : Revenu national : 1922=1913

Angleterre au XVIe la proto-industrie représente déjà 50% de la production industrielle ; l'expansion se fait au XVIIIe ds les autres pays d'Europe. Les avantages sont multiples : salaires plus bas, pas d'investissement, amortissement rapide de la fluctuation du marché : ("ce moule ds le cadre d'une économie domestique en économisant la nécessité des concentrations industrielles […] ce qui maintient les rapports traditionnels de dépendance et les valeurs de la société rurale". (p196) ; les campagnes

Depuis un siècle et demi, un processus de dématérialisation de la monnaie voir livre page 225 s’est affirmé et la monétarisation des économies a imposé la création d’une banque centrale chargée de réguler, par le biais de la politique monétaire, la croissance de la masse monétaire. La banque centrale est le pivot de l’organisation monétaire et ses décisions ont des conséquences sur les marchés financiers mais aussi sur l’activité économique dans son ensemble. L’actualité économique et financière

nature de la richesse des nations 2. La mesure de la richesse : la théorie de la valeur travail 11 Le libéralisme économique des classiques 1. Une recherche sur les causes de la richesse des nations 2. Main invisible et libre-échange 12 Croissance et répartition chez les classiques 1. Une recherche sur les mécanismes de répartition de la richesse des nations 2. Une recherche sur la dynamique de l’accumulation des richesses 39 39 40 43 43 45 47 47 48 Pour aller plus loin

unitaire 100 60 40 20 5 Production Prod cum 5000 6000 22000 20000 11500 5000 11000 33000 53000 64500 Rdt moyen 50,0 73,3 47,1 31,2 16,1 • La croissance zéro : la conséquence principale des rendements décroissants est qu’il y a donc un état de production maximum dans l’économie, au-delà duquel on ne peut progresser donc à terme la croissance sera de zéro. • La dichotomie monétaire : la sphère financière n’est que la contrepartie de la sphère réelle. Au sein du courant classique on trouve

des nations 2. La mesure de la richesse : la théorie de la valeur travail 39 39 40 11 Le libéralisme économique des classiques 1. Une recherche sur les causes de la richesse des nations 2. Main invisible et libre-échange 43 43 45 12 Croissance et répartition chez les classiques 1. Une recherche sur les mécanismes de répartition de la richesse des nations 2. Une recherche sur la dynamique de l’accumulation des richesses 47 47 48 Pour aller plus loin : un auteur, une œuvre 13

.... 85 La contrainte démographique ..................................................................................................... 85 Le vieillissement des populations : facteur de déséquilibres .............................. 90 Une croissance démographique encore très forte au niveau mondial ........ 92 Les incertitudes environnementales ...................................................................................... 93 L’eau ...............................................

criquets pèlerins atteint, à la mi-septembre, les régions agricoles du Centre et du Sud. Le 27 janvier 1994, le F.M.I. accorde un prêt de 23 millions de dollars pour aider le gouvernement à réaliser son programme économique pour 1994 : taux de croissance de 4,3 p. 100, baisse de 3 p. 100 du taux d'inflation et réduction du déficit. En 1995, les mesures de rigueur adoptées par le gouvernement – renforcement du système fiscal et, notamment, introduction de la T.V.A. – provoquent des émeutes, mais

l’assure chômage = négociation avec des représentants car ce n’est pas géré par l’Etat (gestion tripartite : salarié, employeur et Etat), ou encore sur la réforme des retraites car ce n’est pas géré par l’Etat mais la CNAV Sécurité sociale (SS) en 1945 avec : la CNAM (maladie), CNAV (retraite), accidents du travail, CAF (allocations familiales) et de l’autre côté on a UNEDIC (1958) pour le chômage : Dans chacun de ses secteurs on a des représentants des salariés. Ces salariés ne sont pas des fonctionnaires