Les Fourberies De Scapin

personnages. Nous allons étudier La scène XII de l’acte III du malade imaginaire de Molière. Molière est un dramaturge et auteur du XVIIsiècle qui est l’auteur de nombreuses pièces de théâtre dont Les femmes savantes, l’avare, Tartuffe, les fourberies de Scapin et bien d’autres. Dans cette scène, Argan, en proie au doute, sous les conseilsde Toinette, fait le mort. Toinette se lamente, quand arrive Béline son épouse. Cette dernière, à la nouvelle de la mort de son époux, ne cache pas sa satisfaction

une image tragique de l’homme qui est voué à la solitude et qui est confronté à un univers dépourvu de sens. Dans la littérature, il existe également des stéréotypes de personnages comme au théâtre par exemple l’esclave malice Scapin dans les Fourberies de Scapin de Molière. Ces personnages familiers de tous permettent aux lecteurs de s’identifier à ceux-ci soit par distanciation ou par imprégnation. Les défauts des personnages par exemple ne sont pas si loin des personnes dans la réalité et

Dorante remet en doute l’honnêteté de Arlequin «  Quelles sortent d’histoire me raconte tu la ? »  « Elle consent a t’épouser ? » «  Tu est un fourbe ». On retrouve en Arlequin les aptitudes et le comportement de Scapin, persoonage de la pièce de Molière, Les fourberies de Scapin. Tout comme Molière, Marivaux met en lumière la ruse et l’intelligence des serviteurs. C’est à travers l’art du langage, les quiproquos et les rebondissements que la pièce en vient à captiver l’attention du public

nous même comme nous montre le dessin de Geluck, nous associons des faits réels à des faits divertissants. 3èrme sous-partie : rire et liberté ▪ idée : le rire n’a pas de classe social ▪ exemples : Dans l’extrait des Fourberie de Scapin, Scapin imite des brigands et frappe avec un bâton dans le sac pour se venger de la maltraitance de son maitre Géronte entré dans le sac pour se cacher des soi-disant brigands. ▪ conclusion : Cette pièce de théatre montre que le rire n’a

devient auteur dramatique, il écrit « l’Etourdit » et « le Dépit amoureux ». Il écrira par la suite d’autres œuvres : Le Médecin volant – 1645 ; La Jalousie du barbouillé – 1650 ; Le Docteur amoureux – 1658 ; Le Médecin malgré lui – 1666 ; Les Fourberies de Scapin – 1671 ; Le Malade imaginaire - 1673 Il meurt le 17 février 1673 chez lui à l’âge de 51 ans après avoir eu un malaise sur la scène du Palais-Royal au cours d’une représentation du « Malade imaginaire »

lumières, etc. B) les jeux de décor (Changement de lumière, musique de fond accentuant le conflit) Dans la farce, on retrouve Les coups de bâton, bagarres (surtout au Moyen-Age) et dans certaines comédies. Par exemple dans « Les fourberies de Scapin » CONCLUSION : Contrairement au roman ou à la poésie, le théâtre est essentiellement visuel : le corps tout entier est mis à contribution pour traduire les émotions, dont le conflit
  Mais on peut dire aussi que, sauf peut-être ds la farce

le dérèglement social. Le comique des personnages : Chez F on retrouve du Scapin, son ancêtre auquel il doit sûrement la terminaison de son nom. Tous deux cherchent à tromper leur maître par leurs ruses. Les fourberies de F sont mises en évidence « je les gagnerais bien sur l'équipage », par sa finesse « homme d’esprit », et non plus sur les procédés de la farce et de coups de bâtons. Mais le mobile est différent : Scapin se vengeait d'un maître trop autoritaire, F lui, veut une revanche sociale

mimiques qui échappent aux lecteurs mais qui amusent le spectateur. D’une manière similaire, les Fourberies de Scapin n’est-elle pas une comédie à mettre en œuvre de part l’utilisation du comique de mots, soutenu par le phrasé et le ton donné par l’acteur, par le comique de situation et de gestes, lorsque Scapin bat son maître en se faisant passer pour un autre, et que celui-ci sort la tête du sac et que Scapin se fait surprendre ; ne sont-ce pas là des éléments qui sont ravivés et exaltés par le jeu et

chef de famille. Elmire, épouse d'Orgon invite alors son marie à se cacher sous une table et ainsi assister aux avances que Tartuffe fait à l'égard d'Elmire. Le spectateur ressent alors la même haine qu'Orgon.  Exemple 2 : Les fourberies de Scapin, Molière --> Scapin, valet rusé joue un tour à Géronte. Après l'avoir convaincu de se cacher dans un sac, il le roue de coups et l'accable d'insultes en se faisant passer pour de dangereux ennemis. Géronte ne se doute de rien, et le spectateur partage

tour puisque le lecteur comprend qu'il ne sait pas orthographier « Hébrides ». ( On peut parlerici de « l'arroseur arrosé »). => Voilà pourquoi de nombreuses scènes de comédie reposent sur le comique de gestes : ex. : scène du sac dans Les Fourberies de Scapin; gestuelle du professeur dans Laleçon, de Ionesco. B ) soulignent le ridicule ou les excès de certains personnages : Cf le comique de caractère : ex. L'Avare, de Molière, mais aussi presque tous les personnages de vieillards dansles comédies