Les Furies

prendre des copies, Un nez qui au mois d'août distille les roupies. Un rire sardonien à charmer les lutins ; Une bouche en triangle, où comme à ces matins Hors œuvre on voit pousser de longues dents pourries, Une lèvre chancreuse (*) à baiser les Furies, Un front plâtré de fard, un boisseau de tétins Sont tes rares beautés, exécrable Thessale ; Et tu veux que je t'aime, et la flamme loyale De ma belle maîtresse en ton sein étouffer ! Non, non, dans le bordeau (*) vas jouer de ton reste :

par ailleurs après cela que Corneille démissionne du groupe des « cinq auteurs ». Médée sera publié 4 ans après sa première représentation en 1639. Plan Procédés importants I) Un monologue furieux a) Un appel à la vengeance -adresse aux dieux, aux Furies et à Jason : -subjonctifs (prières, souhaits) -impératifs (ordre) -un champ lexical de la vengeance et de la trahison b) Un soliloque exprimant la souffrance -adresse à soi et question rhétoriques -le registre lyrique II) Un personnage

 mont  Arès),  est  placé  entre  Athéna  (à   gauche)  et  Apollon.  Les  Furies  cherchent  à  le   châtier  car  il  a  tué  sa  mère,  elle  même   meurtrière  de  son  mari  Agamemnon.            Document  2     Oreste,  poursuivi  par  les  Furies,  des  divinités  vengeresses,  se  réfugie  à  Athènes   dans  le  sanctuaire

loin dans la punition et vont le rendre fou. Il se voit alors, dans un décor sanguinolent, poursuivi par les " regards affreux " d’Hermione (v.56), par les serpent et les démons qui sont derrière elle (v.57), par les " Filles d’enfer " (59), (les Furies ou Erynies) tirant derrière elles un véhicule nautique certainement (" l’appareil ") destiné à l’emporter à tout jamais (v.60) sur le fleuve des Enfers. La fatalité, le " fatum " dispose ainsi de l’individu. Oreste sait qu’il n’est qu’un jouet entre

loin dans la punition et vont le rendre fou. Il se voit alors, dans un décor sanguinolent, poursuivi par les " regards affreux " d’Hermione (v.56), par les serpent et les démons qui sont derrière elle (v.57), par les " Filles d’enfer " (59), (les Furies ou Erynies) tirant derrière elles un véhicule nautique certainement (" l’appareil ") destiné à l’emporter à tout jamais (v.60) sur le fleuve des Enfers. La fatalité, le " fatum " dispose ainsi de l’individu. Oreste sait qu’il n’est qu’un jouet

loin dans la punition et vont le rendre fou. Il se voit alors, dans un décor sanguinolent, poursuivi par les " regards affreux " d’Hermione (v.56), par les serpent et les démons qui sont derrière elle (v.57), par les " Filles d’enfer " (59), (les Furies ou Erynies) tirant derrière elles un véhicule nautique certainement (" l’appareil ") destiné à l’emporter à tout jamais (v.60) sur le fleuve des Enfers. La fatalité, le " fatum " dispose ainsi de l’individu. Oreste sait qu’il n’est qu’un jouet

Médée de Corneille commentaire composée A: une sorcière 1) Sa famille - furies -soleil - filles de l'Achéron périphrases 2) Des pouvoirs magiques | B: une amoureuse éconduite 1) La trahison de Jason -étonnement questions rhétoriques 2) La séparation | C: Sa colère 1) La vengeance de Médée -Souhait de faire mal à Jason subjonctif -gradation du vocabulaire 2) Mettre en place sa violence | Le XVIIème siècle donne ses lettres de noblesses au théâtre. Corneille fait

meurtre : "tiens, tiens, voilà le coup que je t'ai réservé" vers 1632. Cette pensée lui vaut le comble de la persécution: une vision insoutenable pour lui provoquée par ses remords "A mes yeux Hermione l'embrasse" vers 1633 Il s'adresse aussi aux furies, les déesses de la vengeance qui le menacent: l'allitération en "s" vers 1638 est une harmonie imitative des serpents En outre, un champs lexical violent est employé : "fureurs" vers 1641, "me déchirer" vers 1643, "mon ceur à dévorer" vers 1644

voyant Oreste font de cette scène une scène typique de la tragédie classique. La folie par laquelle Oreste se retrouve pris dans les scènes qui suivent est illustrée par Bougereau, qui a peint Oreste poursuivi par les furies, un tableau sur lequel on voit Oreste tourmenté par trois furies qui lui crient dans les oreilles alors qu'il a tué sa mère Clytemnestre.

refusa que Ouranos enferma ses enfants dans les entrailles de la terre, mais elle a réussi à persuader le plus jeune (chronos) de castrer son père Ouranos. Chronos le fait et du sang d'Ouranos naîtra 3 races : les nymphes, les géants et les furies. Les furies sont des démons inférant dans le but de poursuivre les criminels et de les châtier. Aphrodite est née des organes génitaux d'Ouranos, qui, se retrouvant dans l'eau créent de l'écume blanche. Chronos voulant manger ses enfants pour éviter