Les Furies

journaliste va visiter l’asile de Mr.Manikoff. Le livre avance et le journaliste visite différents asiles sans forcement être invité. On apprend que certain asiles son gardés par des bonnes sœurs. Le journaliste mange dans un asile réservé aux filles, les furies ce précipite sur les plats et font différente bêtises. Les asiles sont des fois spécialisées dans certain cas comme les fous persécutés, les fous qui ce pensent riches ou encore les fous assassins. Au milieu du livre le journaliste visite le laboratoire

Oreste part alors dans une folie qui le pousse a vouloir se tuer: « Et parce qu'elle meurt, faut-il que vous mouriez ? ». Pylade, son ami, essaye de le raisonner mais Oreste accablé ne fais pas attention a lui et sombre dans la démence. Il voit les furies venir le chercher et leur dit de laisser Hermione le tuer car elle seule peut le détruire définitivement : « Mais non, retirez-vous, laissez faire Hermione / L'ingrate mieux que vous saura me déchirer ». Il fait appel au divinités : « grâce aux dieux

échange de quoi, elle accepterait ses avances. Oreste accepte et assassine donc Pyrrhus. Cependant, une fois la nouvelle apprise, Hermione repousse Oreste et se tue sur le cadavre de Pyrrhus. Oreste éperdu, se sent en proie à son tour à toutes les furies vengeresses.

Clytemnestre. Pour ces actes Orestre fut condamné par le tribunal de l'Aréopage et Electre fut épargné par Cupidon. Profitant de sa liberté Electre protégea son frère des Erinyes. Les Erinyes sont les déesses de la vengeance du crime, ce sont les Furies chez les romains. Giraudoux : Jean Giraudoux naît en 1882 à Bellac en Haute Vienne. Il fréquente le lycée de Châteauroux (Indre), un lycée de la ville porte d’ailleurs maintenant son nom, c’était un excellent élève, puis celui de Lakanal à Sceaux

prendre des copies, Un nez qui au mois d’août distille les roupies, Un ris sardonien à charmer les lutins, Une bouche en triangle, où comme à ces mâtins Hors œuvre on voit pousser de longues dents pourries, Une lèvre chancreuse à baiser les furies, Un front plâtré de fard, un boisseau de tétins, Sont tes rares beautés, exécrable Thessale. Et tu veux que je t’aime, et la flamme loyale De ma belle maîtresse en ton sein étouffer ? Non, non, dans le bordeau va jouer de ton reste ;

successeur.) Le mot érotisme vient d'ÉROS, divinité grec de l'Amour. Le mot faune vient de FAUNUS, dieu romain des Champs et des Bergers. Le mot flore vient de FLORA, déesse romaine de la Végétation et des Fleurs. Le mot furie vient des FURIES, divinités des Enfers. Le mot géant vient des GIGAS, monstres gigantesques que Zeus dut vaincre pour être le maître des Dieux. Le mot griffon vient du GRIFFON, animal à tête et serres d'aigle et corps de lion. (Un griffon désigne une race de

incensa, diversa per aequora vectae, Stirpis Achilleae fastus juvenemque superbum, Servitio enixae, tulimus, qui deinde secutus Ledaeam Hermionem, Lacedoemoniosque hymenaeos... Ast illum, ereptae magno inflammatus amore Conjugis, et scelerum Furiis agitatus, Orestes Excipit incautum, patriasque obtruncat ad aras». Voilà, en peu de vers, tout le sujet de cette tragédie. Voilà le lieu de la scène, l'action qui s'y passe, les quatre principaux acteurs, et même leurs caractères. Excepté celui

faire un contre-exemple/dégrader l’aristocratie) • Aristocratie → succès est hérité par les générations précédentes • Faute envers les dieux et vengeance des dieux • Funeste → les Dieux ont décidés mon malheur (colère incontrôlable) ➢ Fureur → furies (déesses de vengeances) • Intervention divine ➢ Un dilemme ➢ Aristocrates/haut-rangs ➢ Dimension amoureuse ➢ Mort/folie/perte à l’arrivée • Les aristocrates → condamnés par les Dieux ➢ Ils se prennent pour des Dieux eux-mêmes → les D n’acceptent

la tragédie qui consiste à animer des objets, à faire parler des morts… symbole de la démesure, de la folie du personnage ici → mise en place grâce au présent de l’indicatif, aux apostrophes + image des serpents d’Hermione qui se métamorphosent en Furies : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » = les sons se confondent autant que les sens d’Oreste…)   2) Pylade, l’idéal de l’honnête homme ? Interlocuteur privilégié du public : une sorte de chœur antique, qui accompagne le spectateur

j’avais comprises et devinées par une funeste intelligence,la débauche enfin,le mépris de l’amour,l’abus de tout,voila ce que j’avais dans le coeur sans m’en douter encore,et au moment ou je croyais renaitre à l’esperance et a la vie,toutes les furies engourdies me prenaient a la gorge et me criaient qu’elles etaient là » Sa rencontre avec Brigitte lui a redonnée de l’espoir,l’envie de vivre,mais depuis qu’ils sont amants un nouvel état d’Octave se déclare : la jalousie.Octave devient jaloux