Les Fusillés De Chateaubriand

Desbordes-Valmore, « Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas, Névralgies, « Quand bien même » Prolongements Séquence 10 Romantisme et engagement F. de Goya, Le 2 mai 1808 V. Hugo

illustres : « En Russie, l’anti-héros de Gontcharov, Oblomov, paraît frappé d’une atonie totale ; au Portugal, la saudade paraît comme un sentiment national du vide ouvert sur une attente, une mélancolie sans but mais heureuse […]. L’œuvre de Chateaubriand illustre cette lassitude ontologique, ce dégoût de vivre venu de l’absence de motivations et de l’impuissance à se réaliser. Toute la littérature du temps s’inspire de l’ennui, qui trahit dès lors son potentiel sinon créatif du moins esthétique

mot tombé des lèvres d’un interlocuteur est le plus souvent destiné à définir un régime qui jouit de ses faveurs. Si l’on se reporte au vénérable Dictionnaire de la langue française d’Emile Littré (mon édition date de 1877), on découvre que pour Chateaubriand « le fédéralisme était une des formes politiques les plus communes employées par les sauvages » ; que pour Rivarol, « l’Europe du XVIIIe siècle présente une république p.044 fédérative composée d’empires et de royaumes » ; que selon l’abbé

assassiné c'est parce que le gouvernement libéral est trop gentil avec les criminels. En conséquence, ce gouvernement libéral incapable d'assurer la sécurité doit être remis en cause. b. La remise en cause du libéralisme Libéraux critiqués et Chateaubriand écrira : "le poignard qui a tué le duc de Berry est une idée libérale". Va s'instaurer une politique de réaction au libéralisme. Nouvelle loi électorale : la loi du double vote. L'assemblée comprend 430 députés, 258 sont élus par les électeurs

FS CA e iell sor sen P ion ITE cat édu és t d’ cap titu ndi Ins M yha pol s - IE ur nes jeu mote IME t our b. p icien D Eta déf SA our SES b. p P Eta MP tC Pe MS CA CHATENAY-MALABRY Centre éducatif Jacques Prévert APEI - La Nichée 20 rue Chateaubriand 92290 CHATENAY-MALABRY 01 46 61 14 30 cejp.itep@club-internet.fr Principaux handicaps accueillis : troubles du caractère et du comportement CHATENAY-MALABRY Institut médico éducatif APPEDIA 58 avenue Edouard Depreux 92290 CHATENAY-MALABRY 01 41

sous lesquels on peut parfois passer au sec (Berceau d’eau), en bouillons, en fleur de lys (Char d’Apollon). Ils la font même siffler à l’imitation des oiseaux (grotte de Téthys) ou tonner (aux Trois Fontaines, certains jets simulaient des coups de fusil par l’introduction d’air). À Versailles, plus qu’ailleurs, on contemple les jets pour eux-mêmes. Ces fontaines qui sont l’âme du jardin renaissent peu à peu au rythme des hautes charges de cour, les emplois de chambellans, de gentilshommes de la chambre

nous permettiez, madame, d’admirer à côté de vous, dit François Ier à la duchesse d’Étampes, qui sourit. Anne de Pisseleu, duchesse d’Étampes, qui, depuis le retour du roi de sa captivité d’Espagne, avait succédé dans sa faveur à la comtesse de Chateaubriand, était alors dans tout l’éclat d’une beauté véritablement royale. Droite et bien prise dans sa fine taille, elle portait sa charmante tête avec une dignité et une grâce féline qui tenait à la fois de la chatte et de la panthère, mais elle en avait

suivant un itinéraire. ᕣ Pourquoi le narrateur mentionne-t-il l’ « adresse incroyable » au fusil de Mateo Falcone ? ¨ Cela permet à l’auteur de mettre en place un élément qui sera utilisé par la suite du récit. Le lecteur ne sera pas surpris par un événement qui pourrait paraître peu vraisemblable. ¨ Le fait que le narrateur se présente comme un témoin donne de la vraisemblance à cette adresse au fusil de Mateo Falcone. Activité n°3 – Analyse Questions de lecture analytique ᕡ Quels détails

célibataires jette sa gourme ? Et qui trompe-t-on donc ici ? comme demande Figaro. Est-ce les gouvernants ou les gouvernés ? L’ordre social est-il comme ces petits garçons qui se bouchent les oreilles au spectacle pour ne pas entendre les coups de fusil ? A-t-il peur de sonder sa plaie ? ou serait-il reconnu que ce mal est sans remède et qu’il faut laisser aller les choses ? Mais il y a ici une question de législation, car il est impossible d’échapper au dilemme matériel et social qui résulte de ce

main que l’homme s’y ouvrirait un passage, et l’on voit des maquis si épais et si touffus, que les mouflons eux-mêmes ne peuvent y pénétrer. Si vous avez tué un homme, allez dans le maquis de PortoVecchio, et vous y vivrez en sûreté, avec un bon fusil, de la poudre et des balles, n’oubliez pas un manteau bien garni d’un capuchon, qui sert de couverture et de matelas. Les bergers vous donnent du lait, du fromage et des châtaignes, et vous n’aurez rien à craindre de la justice ou des parents du