Les Gens de la pluie

Et lui aussi suait sang et eau. Il suffisait d’un rien, il suffirait de peu Pour que la journée finisse par un drame Comme on en voyait alors : supplice, sévices, crime. QUESTION DE DIFFERENCE Quelle différence entre nous, Sous le soleil, sous la pluie, Devant le jour qui s’enfuit Sous la chandelle qui luit Le babillard des criquets fous, Face aux maringouins piquant partout ? Quelle différence entre des cœurs Exilés du pays natal, peinant dans l’aridité, Sous la terreur du désir, de la haine,

* Il n'y as personne qui soit né sous une mauvaise étoiles, il y a seulement des gens qui ne savent pas lire le ciel.. * Mieux vaut être entouré par peu de gens qui t’aiment que par beaucoup de gens qui te le font croire * Parfois, les questions sont compliquées et les réponses sont simples * S’excuser ne veut pas toujours dire que tu as tort et que l’autre a raison * Le temps ne te fait pas perdre tes amis; il te fait comprendre qui sont les vrais * Le temps guérit presque tout

hommes, avec toutes les femmes. Ne chemine près de personne. Ne te penche sur aucune douleur. Ne participe à aucune fête. Quand tu chancelles sous le poids de la douleur, Quand tu n'as plus de larmes, pense à la verdure qui miroite après la pluie. Quand la splendeur du jour t'exaspère, Quand tu souhaites qu'une nuit définitive s'abatte sur le monde, pense au réveil d'un enfant. En ce monde, contente-toi d'avoir peu d'amis. Ne cherche pas à rendre durable la sympathie que tu peux éprouver

fer, je sentis tout de suite l’odeur d’urine fraîche qui m’écœure toujours autant que le premier jour. Je sortais enfin de cette porte pour m’allumer une cigarette, j’ai dû m’abriter sous un toit, car comme tous les matins de mars, il pleuvait. Une pluie froide, qui me frôlait le corps et me faisait frissonner d’effroi. J’écoutais le bruit des gouttes d’eau sur les petits toits de tôle, je contemplais les graffitis sur les murs de briques, j’admirais les escaliers en spirales qui semblent monter éternellement

à celles de l'Anydre. Cette source, qui est quelque peu en dehors de la cité, les gens d'Amaurote l'ont entourée de remparts et incorporée à la forteresse, afin qu'en cas d'invasion elle ne puisse être ni coupée ni empoisonnée. De là, des canaux en terre cuite amènent ses eaux dans les différentes parties de la ville basse. Partout où le terrain les empêche d'arriver, de vastes citernes recueillent l'eau de pluie et rendent le même service. Un rempart haut et large ferme l'enceinte, coupé

brumeux" (v4); il instaure un certain recul vis à vis de "ce monde", la vision d'une atmosphère sinistre dégagée dans ce texte est on ne peut plus explicite. Tout ce qu'il voit n'a pas d’intérêt plaisant, tout est sobre, tout est obsolète : la pluie, la cloche de sa ville, son chat.... Baudelaire emploie un vocabulaire extrêmement pessimiste pour nous traduire son ressenti : "ténébreux/triste/lamenter/sinistrement" . C'est cette manière radicale de consigner sa perception réfléchie du monde qui

portes mais aucunes n’étaient ouvertes. Trop tard la pluie s’abattait sur le secteur et anastacia se retrouva toute mouillé, ses vêtements lui collaient à la peau, ses cheveux ruisselaient lorsqu’elle aperçue une lumière dans le couloir. Elle n’arrivait pas à distinguer la personne il faisait trop sombre, elle cria pour qu’on lui ouvre mais la lumière au contraire était entrain de s’éloigner. Désespérée et aussi très énervée car elle détestait la pluie, elle observa autour d’elle et remarqua qu’il y avait

résoudre à une évidence: l’intelligence et l’intérêt pour les grandes questions philosophiques et des loisirs exigeants (échecs, ethnologie, littérature, etc.), ça use, ça isole et ça rend finalement profondément malheureux. «Je connais des tas de gens idiots, inconscients, confis de certitudes et de préjugés, des imbéciles parfaits, et qui sont heureux, constate Antoine. Moi, je vais avoir un ulcère, j’ai déjà quelques cheveux blancs... Je ne veux plus vivre comme ça, je ne peux plus. Après une

s’est réveiller sur un lit, un vrai avec de vrai draps et de vrai oreiller. Une femme prénommée Victoria arrive pour voir comment Anna se porte et lui explique qu’elle se trouve dans la résidence Woburn. Un espèce de centre hospitalier qui aide les gens a obtenir un peut d’espoir. Cette résidence à été créer par le père de victoria qui étai médecin et quand il est mort victoria a pris la relève. Ces deux lieux sont pour elle une sécurité car elle vas y trouver des personne qui l’aiderons à survivre

n’apprécie pas plus que ça et vivre cette vie qui n’en vaut pas la peine. J’ai beaucoup de regrets, des poids avec lesquelles je devrais vivre toute ma vie. Mais bon je pense qu’on vit tous avec des regrets, certaines s’en servent pour devenir d’honnêtes gens et devenir meilleurs. Moi ces poids ne font que peser très lourd sur mes épaules, jusqu’à que je n’en puisse plus, que je m’écrase, laisse tomber l’envie de me battre et de devenir meilleur. Vivre dans la médiocrité, c’est ne pas avoir de buts, de