Les Guerres Puniques

d’entamer des conquêtes. La conquête romaine des territoires voisins débute dans les derniers tiers du Ve siècle av. J-C. Rome, avec les autres peuples latins, entre en lutte contre la cité étrusque de Véies de l’autre côté du Tibre. Ils entament une guerre impitoyable, avec un siège de dix ans, qui s’achève par la destruction totale de la ville et qui permet à Rome de s’étendre sur la rive droite du Tibre. Il s’agit de la première expansion romaine ; le territoire de Véies devient une nouvelle propriété

origine dans le cadre de la cité ou « polis » de la Grèce antique, fondée sur l'égalité de ceux qui ont le statut de citoyens. Contrairement aux métèques ou aux esclaves, les citoyens participaient aux débats dans l'agora et aux décisions (lois, guerres, justice, administration) et pouvaient posséder la terre. Ainsi, le citoyen (homme libre) se distingue du barbare, de l’esclave ou du métèque.  C'est une notion « ethnique » : Pour devenir citoyen grec, il faut être né de père et de grand-père

seulement un "détour"). On sait que 70 des 142 livres étaient consacrés à l'hist récente et contemporaine: de la guerre sociale (-91) à la mort de Drusus. TL a eu tendance à dilater son récit à mesure qu'il rapprochait de son tps. Ex: tte l'époque royale ds livre I; pour années rép (509-27) livres 2 à 234. Manquent livres 11 à 20=derniers livres sur conquêtes de l'It+ 16 à 20=récit 1e guerre punique. Manquent aussi les livres 46 à 134: fin conquête Orient méditerranéen+ tte période crises de la rép (= a

donnée à l’ouvrage entier le titre d’Origines. Les 4e et 5e livres étaient l’histoire de la première et de la seconde guerre punique. Dans les derniers livres, il racontait les autres guerres des Romains, et surtout celles d’Espagne. -De la vieillesse : Cicéron, Caton l'Ancien, De la vieillesse, ce texte se présente comme un dialogue fictif entre les héros des guerres puniques, Scipio Aemilianus et C. Laelius. -Praecepta ad filium Indépendamment de ces ouvrages, Caton avait écrit et publié, pour

le lien entre la Grèce et Rome. Plus tardivement nous parvient la vie de Romulus de Plutarque, il compare avec des grands noms grecques. Aux origines de Rome pour un certains nombres d’auteurs il y a la ville de Troie qui a été le berceau d’une guerre entre grec et troyen, qu’on situe aux alentours de 1200 AVJC. Paris fils de Priam a enlevé Hélène femme du roi de Spartes, les grecques se coalisent sous le commandement d’Agamemnon, et c’est grâce à Ulysse que les grecques s’emparent de Troie. Peu

d'histoire, UNIVERSITÉ LAVAL, 2011 GRIMAL (P.), Tite-Live (~59 env.-17) dans Encyclopædia universalis, Paris, Encyclopædia Universalis, 2008, consultation en ligne. GRIMAL (P.), Le siècle des Scipions : Rome et l'Hellénisme au temps des Guerres puniques, Paris, Aubier, 1953, p. 231 - 234. DUMONT (J.-C.), Bacchus et Bacchanales, dans Encyclopædia universalis, Paris, Encyclopædia Universalis, 2008, consultation en ligne. TITE-LIVE, XXXIX, 8, 1-3 ----------------------- [1] M. Le Glay

493 qui développèrent un véritable système dualiste plaçant les romains et les ostrogoths sur le même plan égalitaire mais strictement séparé. Cela se traduisit par l’établissement de deux administrations parallèles. Malheureusement, l’effroyable guerre de reconquête de la péninsule menée par l’empereur d’Orient Justinien Ier fut paradoxalement la principale cause de l’agonie de la civilisation romaine qui fut finalement achevée par l’invasion des Lombards. L’Italie ne s’en remits que très difficilement

du viiie siècle av. J.-C Après la victoire de Rome contre Carthage lors de lapremière Guerre punique, les principales îles de la Méditerranée occidentale passèrent également sous le contrôle de Rome. Les deuxième et troisième guerres puniques lui assurèrent le contrôle de tout le pourtour du bassin occidental de la Méditerranée.   après la mort de Jules César, le 15 mars 44, la république sombre dans la guerre civile. Son successeur Octave (futur empereur Auguste) après avoir vaincu Marc-Antoine

d’une traduction punique que nous comprenons, mais dans ce cas les réalités religieuses dont elles peuvent témoigner sont largement influencées par la religion punique. Il existe aussi des stèles figurées d’époque préromaine ou romaine dont la datation n’est pas toujours aisée et dont l’interprétation reste très discutée. Il en va de même pour les divinités qui apparaissent sur les monnaies des cités de Numidie. Les lieux de culte, sanctuaires ruraux très marqués par l’influence punique ou simples lieux

main de son jumeau. Romulus accompagne ce meurtre de la phrase : « Ainsi périsse quiconque, à l’avenir, franchira mes murailles ! » Ce geste fratricide, que le poète Horace, sous Auguste, ne manquera pas de rappeler à la lumière contemporaine de la guerre civile, s’explique par la nécessité de préserver les forces magiques et mystiques mises en œuvre par le fondateur pour assurer la préservation de la future Rome3. 3. LE REGNE DE ROMULUS. Afin de peupler sa Cité, Romulus ne se montre guère délicat