Les Guerres Puniques

Méditerranée mais aussi dans la zone occidentale de l'Angleterre. Ce rite se termina à Carthage à la fin du Vième siècle ap. Ch., avec la destruction du temple par les Vandales. 3-Symboles : Son symbole, qui a été trouvé dans beaucoup de colonies puniques, se décrit par la combinaison d'un triangle équilatéral, d'une ligne horizontale et d'un disque, comme pour représenter une grosse figure humaine. De Tanit, on a trouvé de nombreuses statuettes qui la montrent nue, les mains serrant les seins.

fit discréditer et perdit la citoyenneté romaine. 3)Scipion , dis Scipion l’Africain , est un général et homme d’état Romain , née en 235 av JC et mort en 183 av JC, très connu notamment pour être le vainqueur de Carthage durant la deuxième guerre punique (218-203 av JC ) avec notamment la prise de carthagène en 209 av JC. Il fut ensuite nommé censeur en 199 AVJC. 4:Le contexte 1) Gracchus a été « déchu de sa popularité L1) », en effet Caius Gracchus avais un objectif clair , il voulais

familles les plus en vue. Les sénateurs conservent pendant plusieurs siècles des attributions capitales : ils confirment les lois votées dans le cadre des Comices, adoptent des décisions parfois appliquées sans délai, décident d’une déclaration de guerre ou de la ratification d’un traité. Le peuple participe à la gestion des affaires publique mais Rome n’est pas pour autant une démocratie dans le sens où nous l’entendons. Les plus riches contrôlent les magistratures de l’Etat. Ce sont les patriciens

libérée de ses rois, mais affaiblie, doit résister aux attaques répétées de ses voisins immédiats. Rome installe ses colonies petit à petit : en -494. sortie de combat vainqueur, Rome doit faire face à d'autres difficultés. Suite aux nombreuses guerres, l'appauvrissement général rend plus aiguës les luttes sociales. Patricien = riches Plébéien = pauvres Les plébéiens oganisent alors une grève : ils refusent de défendre Rome plus longtemps. Les patriciens sont réduits à l'impuissance. Ils acceptent

Platon ou encore Aristote. On distingue deux grandes cités, Athènes (modèle politique et artistique) et Sparte. Cet âge est marqué par les guerres Médiques (les mèdes = les perses) comme par exemple, la bataille de Marathon en 490 avant JC, les Thermopyles, Salamine (bataille navale) qui voient une communauté Grecque s'opposer aux Perses. Après ces guerres, la ligue de Délos apparaît. Athènes est à son apogée et réunie près de 200 cités autour d'elle à qui elle assure une protection en échange

J-C. Longues conquêtes du Latium qui s'étend au Sud jusque la conquête de la Sicile . Conquêtes difficile de Carthage, empire carthaginois bien organisé d’où 3 GUERRES PUNIQUES : une guerre punique de 264 à 241 av JC 2ème guerre punique d’Hannibal ou Hannibal tente de prendre Rome , victoire de Zama sur Hannibal en 201 3ème guerre punique de 3 ans menée par des consuls dont Sipion l'Africain qui prononce «Carthage doit être détruit» Avec ses victoires Rome commence a dominer l'autre partie de

d’Homère  ; ❑ Est marqué par la figure d’Alexandre le Grand  ; ❑ Est le siècle de l’hégémonie d’Athènes sur les autres cités ; ❑ Est le siècle de l’avènement de la démocratie. 6) Les guerres puniques : ❑ Voient l’affrontement de Rome et de la Gaulle ; ❑ Voient l’affrontement de Rome et de Carthage ; ❑ Voient l’affrontement de Rome et de Constantinople ; ❑ Voient

217Tite-live, XXII, 6,1-12Seconde guerre punique, la guerre d’Hannibal (Polybe, Histoire, III)I/ Contexte historiqueHannibal né en 247 avant J.-C. : famille Barca, son père Amilcar conquête de l’Espagne mines d’argent= Carthagène, très tôt il va emmené son fils à la guerre à ses neuf ans et il jure à ce moment sur les autels des dieux : d’agir toujours contre Rome et de ne s’arrêter que lorsque Rome sera tombé. Pour certain auteur c’est ici que commence la 2nd guerre punique.En 228/229 : mort d’AmilcarSénat :

Revue internationale de la Croix-Rouge, 87, 2005. P. 81. 2 A. AYMARD, « Les otages barbares au début de l’empire » dans The Journal of Roman Studies, 51, 1 et 2, 1961, p. 136-142. A. AYMARD, « Les otages carthaginois à la fin de la deuxième guerre punique » Etudes d’histoire ancienne, Paris, 1967, p. 436-450.A. AYMARD, « Philippe de Macédoine otage à Thèbes » dans Etudes d’histoire ancienne, Paris, 1967, p. 418-435. 4 Raoul Lonis aborde quinze ans plus tard le même sujet en s’inspirant fidèlement

Guerre et razzias Il est fréquent au cours de l'Histoire que la réduction en esclavage soit le sort réservé aux prisonniers de guerre. Cette dernière est ainsi souvent un facteur de recrudescence de la pratique esclavagiste. En attestent l'afflux d'esclaves à Rome à la suite de ses différentes campagnes militaires victorieuses (guerres puniques, guerre des Cimbres, guerre des Gaules6) ou le maintien de l'esclavage dans la péninsule ibérique à la suite des luttes que se livrent Arabes et chrétiens