Les Guerriers du silence

douleur sans mesure, fait-elle spectacle ? Véronique Bouisson, dans une étude consacrée à « la folie de l’épée au service de la représentation de la chute du guerrier antique », part du postulat que « lorsque l’épée se retourne contre une victime sans défense ou contre soi-même, elle est l’expression de la fureur, de la folie du guerrier ». Elle prend à titre d’exemples le cas d’Ajax, dans la pièce éponyme de Sophocle, et celui d’Horace, respectivement dans les pièces de Pierre de Laudun d’Aigaliers

coeur brisé Un regard perçant, un sentiment fatal Un amour profond ça me devient vital Seigneur, Faites qu'elle me comprenne Cet ange je l'aime, je l'ai dans mes veines Coeur de soie, mots de poids Excuse-moi mais tu me rends fou de toi Un silence reigne, on joue de la trompête Comme c'est si calme ça arrive une tempête Armé par mon stylo je ne crains plus rien Pourtant mes mots ça va-et-vient Un genou à terre, elle le regard revolvers C'est pour elle que j'écris mes quelques vers Et

mais qu'elle combatte ; que, sans avoir la force de vaincre, elle ait celle de résister ; qu'elle savoure à loisir le sentiment de sa faiblesse, et soit contrainte d'avouer sa défaite", clame le vicomte, à travers la récurrence d'un vocabulaire guerrier, au sujet de la chaste madame de Tourvel. Mais derrière ces sinistres plans se dessine en fait un duel sans merci entre les deux protagonistes. Entre désir et vanité, le vicomte et la marquise se livrent bataille dans leurs échanges épistolaires

devaient pas s'aimer… Mais pourtant, lorsque le jeune soldat s'assoit à la table de la jeune fille qu'il surnomme "la Chinoise", ces deux êtres commencent à se connaitre au plus profond de leurs âmes à travers le jeu de go, tout en maintenant le silence. Entre ces parties de go, le soldat oublie son devoir d'infiltrer les résistants en se mêlant aux joueurs et n'arrive pas à empêcher les sentiments prendre le dessus sur son devoir de soldat. Tout risque de se compliquer lorsque la jeune mandchoue

premières oeuvres comme un volume de poésie intitulé « Les Musardises », écrit en 1890. Il écrit ensuite, sa pièce de théâtre pour laquelle il est le plus connu, « Cyrano de Bergerac » en 1897. II – Cyrano de Bergerac Cyrano est un célèbre guerrier au long nez connu pour son courage, ses vers improvisés et ses nombreux exploits au combat (il s'est battu seul contre cent hommes et en est sorti indemne). Très subtile et plein d'esprit, Cyrano est amoureux fou de la belle Roxane. Malheureusement

son disque au fond du soir, Contre un ciel d'étoiles rouges. Des glas de pas sont entendus Et de grands feux de toits tordus Echevèlent les capitales. Ceux qui ne peuvent plus avoir D'espoir que dans leur désespoir Sont descendus de leur silence. Dites, quoi donc s'entend venir Sur les chemins de l'avenir, De si tranquillement terrible ? La haine du monde est dans l'air Et des poings pour saisir l'éclair Sont tendus vers les nuées. C'est l'heure où les hallucinés Les gueux et

une clairière, un petit personnage terrifié est entouré par 15 orcs sales, écœurants, visqueux, répugnants, hideux... ZA : eh ben... des Orcs quoi ! NAR : euh… ah ouai ! ZA : Le mot « orc » se suffit à lui même… ! TRIchelieu : Comme Onan ?! (silence… « Hmmmm ? » général ! NDLR… car Onan se suffisait à lui même : cf. Onanisme ! lol) TRI : AHHHH ! Au SECOURS ! au Secours, à l’aide à l’aide ! Bruits d'orcs NAR : Et une féroce bataille s'engagea ! bruit du marteau qui vole, splitch... feu...

pour se saisir de l'objet. Le vieillard le retira rapidement et examina les hommes avec attention. Il remit alors l'outil à l'un d'eux, au regard un peu plus vif. Ce dernier s'en empara comme d'un précieux trésor, puis les hommes s'en allèrent en silence, comme ils étaient venus. Le vieillard lui non plus n'avait pas prononcé une seule parole. Lorsque le jour commença à décliner, plusieurs noirs se mirent en route pour aller chercher le repas dans l'agglomération. Ils revinrent chargés de pain, de

Première partie, une scène violente 1. Une ambiance inquiétante, révélatrice de la scène qui va se produire - Un décor rudimentaire : « simpliciter positae », « qualibet fronde ». La scène se passe dans un théâtre. - Contraste entre le silence des agresseurs « tacito » et le bruit de la scène : « clamore », « vocat », «  rudem praebente modum », « in medio plausu » ou l'agitation qui y règne « protinus exiliunt », « fugiunt ». 2. La brutalité du rapt, une scène de chasse - Comparaison

formes et tailles, fabriqués avec de la patience et des soins par les potiers de Ráquira, Tinjacá et Tocancipa dans des paniers de palme également tissés. Enfin le grand jour arriva. Le jeune héritier avec son entourage, composé de prêtres, de guerriers et de la noblesse, orchestrait la procession. Serein et majestueux, son corps a montré de fortes proportions harmonieuses de la guerre, sa peau cannelle a une certaine pâleur due au résultat du jeûne rigoureux qui avait été fait pour purifier votre