Les Gueules Cassées

représentaient pour les habitants des commune, la brutalité de la guerre de 14-18. En effet les soldats qui ont péris au front laissaient un sentiment de deuil dans les familles; La conséquence de cet acharnement présent à travers les mutilés, amputés et les gueules cassés dans la vie de tous les jours, raviviaient un souvenir douloureux de la premiere guerre mondiale. Une génération de jeunes hommes fut exterminée. Pour la population c'est un événement qu'il ne faut absolument pas oublier en mémoire de ceux

pénicilline. Beaucoup trop tard pour de nombreuses victimes de 14-18 !               6.2.2. La chirurgie dans l'urgence La guerre est la seule véritable école du chirurgien[15].                      6.2.2.1. Les blessés de la face : « les gueules cassées » En 1914, avec la modernisation de l'armement, les hommes sont confrontés à un nouveau type de conflit engendrant des mutilations jusqu'alors peu courantes comme celles de la face. Ainsi, on estime que 11 à 14% des blessés français de la Grande

les yeux sur le câble qui remontait. Etienne reprit :- Et quand ça casse ?- Ah! quand ça casse...Le mineur acheva d'un geste. Son tour était arrivé, la cage avait reparu, de son mouvement aisé et sans fatigue. Il s'y accroupit avec des camarades, elle replongea, puis jaillit de nouveau au bout de quatre minutes à peine, pour engloutir une autre charge d'hommes. Pendant une demi-heure, le puits en dévora de la sorte, d'une gueule plus ou moins gloutonne, selon la profondeur de l'accrochage où ils

par fierté et par devoir de mémoire. La laideur jusque-là caché par la censure a été récupéré par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Au congrès de Versailles en janvier 1919, Clémenceau fait aligner quelques  «  gueules-cassées » devant les délégués allemands pour montrer les conséquences humaines de la guerre et susciter on ne sentiment de culpabilité. 5) Description du tableau Premier plan : trois personnes jouant aux cartes, assis sur une table, le soir dans un

dévastée. L’inflation, la hausse des prix appauvrissement une partie de la population. LE retour des combattants à la vie civile est difficiles, ils bénéficient de la reconnaissance du peuple mais portent le poids de la défaite. Handicapés, gueules cassées ont du mal à se réinsérer dans la société. Le bilan de la guerre est donc très lourd, pertes humaines, ruine économique, déstabilisation de la société. Message : Pour finir, je vais expliquer le message de cette œuvre, Otto dix à voulu montré

ces conditions tragiques. Leurs témoignages évoquent surtout la camaraderie qui les unit dans les tranchées. Le traumatisme de la guerre reste bien présent après la guerre Elle reste visible par les blessures infligées au corps. Les mutilés et gueules cassées sont nombreux après la guerre à rappeler à la société retournée à la paix le souvenir de la Grande Guerre. Pour la première fois aussi, il s'agit d'une guerre de masse : 70 millions d'hommes sont passés sous les drapeaux entre 1914 et 1918. Les

grenades) produites en grande quantité à l’arrière : 3 900 canons en mai, et 50 millions d’obus tirés (4 tonnes au m²). Combien de victimes ? Pourquoi ? Nombre important de victimes : ≈ 300 000 morts (≈ 1 000 morts par jour), ≈ 400 000 blessés (« gueules cassées ») en raison de l’Utilisation massive d’armes très meur- trière : artillerie lourde et armes nouvelles (mitrailleuses, gaz, grenades) et de la durée de la bataille (10 mois). Quelles sont les différentes formes de violence ? Violences physiques

  Elles  gardèrent  en   vie  de  nombreuses  “gueules  cassées”.  Elles  permirent  à  de  nombreux  vétérans  de  continuer  leur  vie  de manière quasiment normale.                  e​ DESMAISON Philippe ­ TERRIEN Antonin ­ 1​ S2  TPE ­ Réparer le corps humain    Ces  hommes,  maintenus  en  vie  par  des  prothèses  peu  esthétiques,  furent  représentés   dans  l’art notamment en peinture comme en témoigne ce tableau.      Les gueules cassées,​  Otto Dix    Enfin,  de  1950  à   nos  jours

les injures, les insultes. On ne peut rester insensible devant une telle description d’intimidation : « Le grand aux cheveux roux a craché Prends ça dans ta gueule. Le crachat s’est écoulé lentement sur mon visage, jaune et épais… à l’odeur forte et nauséabonde. Les rires aigus, stridents, des deux garçons Regarde il en a plein la gueule ce fils de pute. Il s’écoule de mon œil jusqu’à mes lèvres, jusqu’à entrer dans ma bouche. » • Lieu (la demeure familiale) : Finalement, l’auteur décrit de

(« Petite-personne-dépourvue-de-manière-et-qui-a-besoin-d’être-fouettée »). La mère Teshumai Tewindrow (« la Dame-qui-fait-beaucoup-beaucoup-de-questions ») restait dans la grotte. Le père casse son harpon tandis qu’un étranger de la tribu des Tewaras passe dans le coin. Comme ce dernier ne parle pas leur langue, Taffy invente un message crée avec des dessins sur une écorce qui explique que le père a cassé son harpon et qu’il a besoin du harpon en bon état qui est dans la grotte. Elle donne le message à l’étranger qui doit l’apporter à sa mère