Les hommes préfèrent les blondes

toute une physionomie ; il vit donc du premier coup d’œil que la femme était jeune et belle. Or cette beauté le frappa d’autant plus qu’elle était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres rosées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu. — Ainsi, Son Éminence m’ordonne… disait la dame. — De retourner

supra-culturels qui visent à éliminer des attributs culturels qui sont des partis pris et défavorables et en essayant d’éliminer cette sorte de culture, on ne crée pas de vide, on invente une nouvelle culture. Henri Meschonic dit que c’est parce que les hommes parlent des langues différentes que la traduction existe7. Et on peut y ajouter que c’est la différence entre la culture qui est, selon-moi, la raison derrière la manipulation de/dans la traduction et la manipulation de la traduction nous aide à l’émancipation

qu'on croit à la possibilité de voir ces forces se manifester visiblement dans l'espace européen et, cela, dans un temps relativement restreint.MAX BROD. M. HANS LEIP Je ne connais de Hans Leip qu'un seul livre : Die Blondjäger (les Chasseurs de blondes), lu dans le journal où il a paru en feuilleton. Un livre amusant, profond, qui dévoile audacieusement certains coins peu décoratifs de la très puritaine Amérique du Nord, où le Ku-Klux-Klan se mêle au trafic des blanches, à la religion, à la prohibition

grands coups d’un bras mécanique que je lui invente pour la circonstance. — Comment il l’a paumé, son vrai bras ? demande Jérémy aussi sec. — En Indochine, sur la route de Dalat, au kilomètre 317, une embuscade. Il était tellement aimé de ses hommes qu’ils ont décroché en l’abandonnant, lui et son bras, qui ne tenaient déjà plus ensemble. — Et comment il s’en est tiré ? — C’est le capitaine de sa compagnie qui est venu le rechercher tout seul, trois jour plus tard. Trois jours plus tard

à grands coups d’un bras mécanique que je lui invente pour la circonstance. — Comment il l’a paumé, son vrai bras ? demande Jérémy aussi sec. — En Indochine, sur la route de Dalat, au kilomètre 317, une embuscade. Il était tellement aimé de ses hommes qu’ils ont décroché en l’abandonnant, lui et son bras, qui ne tenaient déjà plus ensemble. — Et comment il s’en est tiré ? — C’est le capitaine de sa compagnie qui est venu le rechercher tout seul, trois jour plus tard. Trois jours plus tard !

Crevel ! Etudes de moeurs. 3e livre. Scènes de la vie parisienne. Les parents pauvres. 1. La cousine Bette 7 Les parents pauvres. 1. La cousine Bette En entendant ce nom, admirablement approprié à la tournure de celui qui le portait, une grande femme blonde, très−bien conservée, parut avoir reçu comme une commotion électrique et se leva. − Hortense, mon ange, va dans le jardin avec ta cousine Bette, dit−elle vivement à sa fille qui brodait à quelques pas d'elle. Après avoir gracieusement salué le capitaine

bon sens.» (Herman Melville) 4. «La guerre est un mal qui déshonore le genre humain.» (Fénelon) 5. Y a-t-il une violence légitime? 6. La guerre, civilisation ou barbarie? II. Individus et collectivités 7. La guerre sépare-t-elle ou unit-elle les hommes? 8. La guerre fait-elle de nous des soldats? 9. La guerre est-elle forcément totale? 10. L’ennemi 11. Le patriotisme 12. «Frères d’armes» III. L’écriture de la guerre 13. «Ce serait un crime de montrer les beaux côtés de la guerre, même s’il y en

indigène La scolarisation dans les territoires du sud Conclusion Page 1/68 Sommaire INTRODUCTION « On façonne les plantes par la culture et les hommes par l'Education. .. Tout ce que nous n'avons pas à notre naissance et dont nous avons besoin généralement est donné par l'Education. Cette Éducation nous vient de la nature, des hommes et des choses... » Emile Rousseau « Emile » Depuis la proclamation des lois sur l'obligation scolaire, jamais la France n'a connu un taux d'illettrisme

le doute est devenu pathologique et ça me bouffe la vie, en amitié, en amour et même dans le boulot. Je me prépare constamment à l’échec. Quand j’auditionne pour un rôle, je ne peux m’empêcher de penser qu’ils cherchent une actrice plus jeune, ou blonde, ou gauchère. Bref, n’importe qui, mais pas moi. Mais je tente quand même le coup et je me donne à fond. Je mène un combat silencieux contre moi-même et je fais de mon mieux pour donner le change. Jusqu’au moment où je craque. À l’époque du casting

Napoléon Bonaparte. Elle épouse en 1786 l’ambassadeur de Suède en France, le baron de Staël, de dix-sept ans son aîné, qu’elle quitte rapidement pour M. de Talleyrand, puis pour M. de Narbonne. Quand commence la Révolution, elle ouvre son salon à des hommes politiques de diverses tendances. Considérée comme suspecte par le Directoire, elle se réfugie dans son château à Coppet près de Genève. En 1794, elle rencontre Benjamin Constant avec qui elle a une liaison orageuse pendant quinze ans. Ses œuvres