Les Idiots

manœuvre subtile du montagnard. A. Un policier idiot et orgueilleux : inanité, bêtise des questions, lourdeur de la manœuvre… L’interjection initiale « bon ! » marque ici la suffisance du chef, qui est satisfait de sa personne et croit pouvoir « manœuvrer » « avec les contorsions de la couleuvre ». Des trois mêmes questions idiotes autour des récoltes du village, pour être « amical » (notez l’ironie du narrateur… le chef en plus d’être idiot n’a pas de cœur) : « La récolte a été bonne cette

catastrophe, impossible, colère, combattue, idiot ». Cette gradation dans le désespoir, liée à la perte du cyanure, décrivent l’immersion de Katow dans un monde refermé, celui de son être. Cependant, Katow se doit de la surmonter. Il tente ainsi de communiquer quand il sent cette solitude trop pesante et quand il ne peut plus supporter sa condition d’humain. Lorsque Souen perds le cyanure, il y a un décalage entre les pensées de Katow (« que cet idiot le perdit ») et ce qu’il dit : « quand

danger de mort, poursuivi par son peuple, séparé de ses parents. Il est seul au monde. L'auteur met en place des personnages extraordinaires. Tobie est un personnage qui m'a touché. Il est courageux, gentil et rempli d'humour mais il est loin d'être idiot. La mère de Tobie est la fille d'une riche femme sans pitié qui l'a reniée le jour où elle s'est mariée avec Tom Lolness (le père de Tobie) car il ne faisait pas partie de la haute société. Sim est très attachant, c'est un personnage très maladroit

l’auteur du crime. Flaubert joue avec l’opposition de la structure et livre un passage très ironique. Flaubert dénonce ce crime atroce en se servant d’une ironie et presque noire. Il dresse le portait du criminel, le père Roque, un personnage sombre, idiot et lâche. L’extrait commence par « Le père Roque était devenu très brave, presque téméraire. »l.1997. Le verbe « devenu » sous entend qu’il ne l’était pas auparavant, avec le modalisateur « presque », l’auteur se moque du personnage. De plus, le

familiaux...) – Quel est le métier du personnage ou quelles sont les activités qu'il fait souvent ? – Quelle est la personnalité du personnage ? (Décris la personnalité du personnage avec des adjectifs qualificatifs ; sérieux, malhonnête, curieux, idiot, intelligent, débrouillard, fainéant…) – Cite une phrase du personnage (ou à propos de lui) qui t'as marqué et explique pourquoi. – Quel est ton avis sur le personnage ? (Aimerais-tu être son ami dans la vraie vie ? Pourquoi ? As-tu hâte de découvrir

son apprentissage est révolu et que désormais elle est passée à une autre situation, dans laquelle elle applique ce qu'elle a appris. Mais en réalité, dès son plus jeune âge, la jeune fille n'a reçu qu'une éducation sommaire, "pour la rendre aussi idiote qu'il se pourrait" (v. 138), afin qu'elle ne puisse pas tromper Arnolphe. Elle est ainsi élevée dans un couvent, dans lequel, contrainte de suivre les règles, elle n'apprend que la soumission et l'obéissance absolues, ce qui limite son intelligence

quand on regarde la ligne 14, on retrouve le ton véhément de Créon grâce à la ponctuation : « Mais bon Dieu ! Essaie […] petite idiote ! ». Les points d’exclamation et le juron « bon Dieu », mais aussi l’expression « petite idiote » montrent que Créon parle dans le but de briser la résistance d’Antigone, en lui faisant peur pour qu’elle cède. Les mots « petite idiote » rabaissent Antigone, font d’elle une enfant face au roi, ce qui peut l’intimider. La dernière phrase du passage va dans le même

RIMBAUD => Poème étudié : A moi. L’histoire d’une de mes folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne. J’aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures popu- -laires ; la littérature démodée, latin d’église, livres éro- -tiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l’enfance, opéras

avec sa dégradation mentale : « devenait idiote » (signifiant qu'elle est atteinte d'idiotie (médical : arriération mentale profonde). Sa mort est lente, on le sait par l'emploi de l'imparfait, soulignant une action qui dure « dégringolait » l.1, « claquait du bec » l.8, « devenait » l.9... A cela s'ajoute le champ lexical des termes scientifiques pour décrire les étapes précédents et suivants sa mort, propre au style naturaliste : « os glacés » l.8, « idiote » l.9, « sentait mauvais » l.14, « verte »

pantoute: Expression qui veut dire non ou pas du tout. Il est familier. nounoune: c'est un dialectalisme signifiant idiote qui est utilisé dans le language populaire québécois. piasses: (ou piastre) C’est un archaïsme qui est utilisé dans le language populaire québécois. Il signifie monnaie, dollar canadien selon le Multi Dictionnaire. 2- Extrait modifié    «C’est pas un idiot, vous saurez! Ah ben, j’arrive pas à y croire! Je savais que t’étais bête, mais pas à ce point-là! Tu ne t’es pas encore