Les Illuminations

•Agrippa d’Aubigné est réputé être un poète écorché vif, très passionné. Dans notre extrait, il est question d’une illumination et le poète en est ravi. Nous sommes ici dans la préface (vers le milieu de celle-ci) des Tragiques : le poète pose sa voix avant de commencer. Il s’agit d’un récit de la vocation du poète. La préface se distingue sur le plan formel des sept Chants qui composent les Tragiques, lesquels sont constitués d’alexandrins. Agrippa d’Aubigné a écrit Les Tragiques entre 1577 et 1616

dans « Un coup de dés jamais n'abolira le hasard » mais aussi Apollinaire dans « Calligrammes ».Rimbaud de sont cotés refuse la tradition, il choisit d’écrire en prose et refuse l’emploi de « je » car « je »est un autre comme dans son recueil « Illumination ». Mais la poésie doit être aussi intemporelle, la poésie n'est pas chose du passé ou de l'avenir, elle reste et restera tant que le temps s’écoulera, elle est aussi la mémoire du passé. « Prince des poètes et poète des princes », Pierre de Ronsard

sens d'un texte (car l'hermétisme rimbaldien est généralement plus facétieux ou ludique que ne l'imaginent des lecteurs trop sérieux)... Bref, rien n'est plus périlleux que de prétendre commenter certains poèmes des années 71-72 ou proses des Illuminations, comme on va essayer de le faire ici.            En adressant l'un de ses poèmes à son ancien professeur Georges Izambard (Le Cœur supplicié, dans sa lettre du 13 mai 1871 dite "lettre du voyant"), Rimbaud le met en garde : "Ça ne veut pas rien

sujettes à caution, à débat, à évaluations. Une quête sans fin ? Ce sont des productions, de la poéisis. Dans quelles circonstances une philosophie est-elle produite ? On est renvoyé vers la question de l’interprétation adéquate. Soudain, une illumination. Au-delà des théories divergentes et contradictoires, au-delà des querelles entre idéalistes et empiristes, entre marxistes et libéraux, entre croyants et athées, on se rend compte que chaque question de la philosophie est liée à toutes les

peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. Je dis cela parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noel n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noel (je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire

tente de gagner Paris, mais se fait arrêter pour ne pas avoir payé un billet.Il se révolte donc contre la société, la religion, la guerre... Il s'entoure de poètes comme Verlaine. Il sombra dans un délire profond avec "une saison en enfer" et "les Illuminations". Après ce dernier, Rimbaud renonce à la poésie. Il voyage à travers l'Europe et en Afrique. Il ne regagnera la France qu'en 1891 pour y être amputé d'une jambe à Marseille et pour y mourir.Rêvé pour l'hiver est le premier sonnet écrit par Rimbaud

l’imperfection (forme ouverte, incomplète). C’est une mobilisation des ressources de l’esprit et de la nature, une distorsion du monde au profit du problème ; le découvreur déforme le monde, les êtres et les choses à son profit exclusif. iii) Illumination On aperçoit la solution, avec la certitude de l’exactitude de la découverte (la fermeture de la forme – Wertheimer). Une phase déterminante d’inspiration, d’orientation, de concentration. Avec parfois en parallèle la formulation précise du problème

yeux se rencontrèrent ». La rencontre s’accomplit également par la parole, L’intervention de Frédéric pour récupérer le châle de la jeune femme déclenche ces simples mots : « Je vous remercie, Monsieur ». Différents sens participent donc de cette illumination : la vue, l’ouïe et même le toucher grâce au châle qui apparaît comme un objet plein de sensualité : « Elle avait dû, bien des fois[…] en envelopper sa taille, s’en couvrir les pieds, dormir dedans ». T oucher ce châle revêt pour Frédéric une importance

ne fut qu'un » > tourment incessant. Termes violents : « tonnerre ». « pluie » : déchainement d'éléments. « brillants soleils » > alternance entre ombre et lumière . Continuité de l'ombre/discontinuité de la lumière : « traversées ça et la » > illumination rare et violente. Rare moment d'idéal. b. »automne des idées » préfiguration morbide de l'hiver « ravage » précédé d'un intensif : « un tel ». ravage énorme. Ne peut être réparé : « trous grands comme des tombeaux » après destruction par l'orage

137) 2) La palinodie de Socrate. (« Socrate. (…) Pour moi, je prétends montrer plus de sagesse que ces poètes (…) Phèdre. (…) tant que tu voudras. » 243b-e, pp.137-138) VII Conclusion : Dans ce passage, nous voyons que Socrate a une ‘illumination divine » lorsque Eros lui apparait et interrompt son discours pour le remettre le droit chemin. Il nous montre ainsi qu’il est preferable d’accorder ses faveurs à celui qui nous aime qu’à celui qui ne nous aime pas. Ici nous voyons bien que la