Les Ingénus Verlaine

des arguments aux accents pathétiques et satiriques, se référent à des personnalités et coutumes contemporaines. [pic]U 19ème siècle, la Commedia dell'arte disparaît littéralement de la scène. Seuls quelques écrivains y feront référence, tel Paul Verlaine dans "Les Fêtes Galantes", se disant sensibles à ces personnages, "masques et bergamasques jouant du luth et dansant". Théophile Gautier, dans "Capitaine Fracasse", raconte également la vie d'une troupe de comédiens, traversant la France en interprétant

un moment admiré les travaux de Maupertuis, s’est lié d’amitié avec lui avant de se brouiller. c. Critique des historiens (73). 1) Le narrateur donne une méthode d’analyse historique mais remanie celle qu’il raconte. Voltaire s’amuse en se montrant ingénu. 2) Ironie à la l.73. II. Un texte scientifique. a. La découverte du microscope par hasard (39-41) b. La démarche scientifique. 1) Refus de se laisser abuser par les sens (5) 2) La science de l’observation (46) 3) Procéder à un constat (53)

Paul Verlaine les fetes galantes CLAIR DE LUNE      Votre âme est un paysage choisi      Que vont charmant masques et bergamasques      Jouant du luth et dansant et quasi      Tristes sous leurs déguisements fantasques.  5  Tout en chantant sur le mode mineur      L’amour vainqueur et la vie opportune,      Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur      Et leur chanson se mêle au clair de lune,      Au calme clair de lune triste et beau, 10 Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres

Rimbaud, annoncent qu'il faut être « résolument moderne », tandis que la quête mallarméenne de l'Azur édifie un nouveau langage poétique. Le mouvement symbolique confirme plus tard la nouvelle conception, avec des textes de plus en plus ambitieux. Verlaine prétend « tordre le cou » à l'éloquence dans l'Art poétique, ouvrage qui semble théoriser le mouvement, alors en pleine essor : « De la musique avant toute chose, / Et pour cela préfère l'Impair / Plus vague et plus soluble dans l'air, / Sans rien

Bonnes scène 1 de CLAIRE.- Disposez mes toilettes. » à « Oh, mais, jamais je n'ai... » Lectures complémentaires : comment évolue le rôle du valet de l'Antiquité à nos jours ? → Maîtres et valets dans la comédie classique : le valet rusé et le valet ingénu *Molière, Les Fourberies de Scapin, III,2 ; Dom Juan I,1, III,1, V,2 et 6 → La comédie du XVIIIe s., jeu de rôles entre maîtres et valets *Marivaux, Les Fausses Confidences, I,14 et III,12; Le Jeu de l’amour et du hasard, I,7 ; L’Île aux esclaves

caractère prophétique. Son style halluciné est moderne et le distingue de ses pairs bien que ses thèmes soient classiques. Ce poème intitulé « Invocation » est de Jean René de Chateaubriand, écrit à l’âge de 16ans : Je voudrais célébrer dans des vers ingénus Les plantes, leurs amours, leurs penchants inconnus, L'humble mousse attachée aux voûtes des fontaines, L'herbe qui d'un tapis couvre les vertes plaines, Sur ces monts exaltés le cèdre précieux Qui parfume les airs, et s'approche des cieux

traverse toute son œuvre poétique. Cette édition généreusement illustrée reproduit les trois recueils en intégralité. Le dossier complète la lecture par des écrits théoriques de Verlaine. Il consacre un groupement de textes à la correspondance des arts (Baudelaire, Rimbaud, Proust, Mallarmé…) montrant l’influence qu’a exercée Verlaine sur le mouvement symboliste. Édition de François-Xavier Hervouët. Texte intégral / Lycée général 9782081219724 3,30 € • 224 pages. VERNE Voir RISQUE ET PROGRÈS, p. 52

de multiples textes. Sommaire -La beauté p4 à p9 : Hymne a la beauté de Charles Baudelaire-p5 A Vénus de Joachim Du Bellay-p6 J’aime une amie entièrement parfaite de Marguerite de Navarre-p7 Beauté des femmes … de Paul Verlaine -p7 A Cassandre de Pierre de Ronsard-p8 Sonnet pour un cheval de Winston Perez -p8 Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse de Pierre de Ronsard -p9 -L’amour p12 à p16 : Cet amour de Jacques Prévert -p12 Le tendre et dangereux visage de

baron pour une soirée : la joie est au rendez-vous. Ainsi, en échange de son hospitalité, les jeunes comédiens lui offrent le dîner. Le jeune baron fait la connaissance de toute la troupe, composée de l’adorable Isabelle, une actrice quelque peu ingénue, de Sérafina, de Dame Léonarde, mais encore des hommes : le Pédant, le Léandre, le Scapin, le Tyran tragique, le Tranche-montagne et le Matamore. Les conversations vont bon train sur des sujets concernant le théâtre et l’on fait honneur au vin : «

tremblant Pour prendre une mûre aux branches ; Je ne vis pas son bras blanc. Une eau courait, fraîche et creuse, Sur les mousses de velours ; Et la nature amoureuse Dormait dans les grands bois sourds. Rose défit sa chaussure, Et mit, d’un air ingénu, Son petit pied dans l’eau pure ; Je ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire ; Je la suivais dans le bois, La voyant parfois sourire Et soupirer quelquefois. Je ne vis qu’elle était belle Qu’en sortant des grands bois sourds