Les Inégalités Face Au Risques Naturels

ECONOMIQUES ET SOCIALES – REGARDS CROISES QUELLES INEGALITES SONT COMPATIBLES AVEC LES DIFFERENTES CONCEPTIONS DE LA JUSTICE SOCIALE ? Objectifs Je sais définir… - Justice sociale, égalité, équité, discrimination, protection sociale, redistribution, prestations et cotisations sociales, services collectifs, fiscalité. Je sais distinguer… - Les différentes formes d'égalité (des droits, des chances et des situations) - Egalité et équité - Inégalité et discrimination - Discrimination et discrimination

L’environnement naturel, défini comme « l’ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins » (Larousse), constitue cependant le champ d’application privilégié de la notion de BCM. La notion de BCM est ainsi utilisée en économie de l’environnement pour appréhender certains risques environnementaux globaux, indépendants des frontières. On se limite à l’environnement naturel ici. Compte tenu

principales: La santé est un facteur essentiel au développement humain Il y a des inégalités dans les systèmes de santé. Il faut un organisme d’alerte et de coordination Idées secondaires: Difficultés d’action sur des terrains politiques variés et variables Disparité des problèmes de santé Rapidité de propagation des virus Les financement privés source de conflits d’intérêt? La mondialisation, facteur de risque? Développement: Les grandes épidémies, comme la peste, le choléra ou encore

Toutefois la conciliation entre ville durable et ville performante semble difficile A/ La ville : un terrain d’application privilégié du développement durable Face aux changements climatiques, à la raréfaction des ressources naturelles, aux écarts entre territoires, à la sécurité alimentaire, à la perte de biodiversité, aux catastrophes naturelles et industrielles, le développement durable est une réponse de tous les acteurs ( Etats , collectivités locales, citoyens etc.). L’objectif du développement

Monnaie scripturale Les sommes inscrites sur les comptes en banque Unité de compte : elle permet de mesurer et comparer la valeur des biens en les évaluant par rapport à un étalon Réserve de valeur : la monnaie peut être conservée afin de faire face à des besoins dans le temps Les fonctions de la monnaie Moyen de paiement : permet les échanges de biens hétérogènes et autorise les échanges multilatéraux ACV, Économie, BTS 1, Synthèse annuelle ED + Fonctions socio-économiques : instrument d’ordre

contraintes de la géographie physique  Le monde est constitué d’espaces très contrastés du point de vue du relief, du climat, de la végétation et des ressources naturelles ; cela présente donc des enjeux économiques, politiques et sociaux. Les climats Les risques naturels 2) Accès aux ressources stratégiques Les ressources naturelles (eau, espèces végétales ou animales, richesses du sous sol en pétrole, gaz et minerai) sont décisives sur la puissance d’un pays ou au contraire à sa dépendance

avec les outils économiques classiques. Valorisation monétaire du patrimoine naturel, application des outils traditionnels. Cela fonctionne grâce à des mécanismes d’incitations (permis à polluer, bonus-malus). Confiance dans la capacité d’innovation du capitalisme Rapport Stern de 2006. Ecole hétérodoxe : On ne peut pas donner de valeurs à certains biens naturels, il faut donc s’abstenir d’exploiter ce capital naturel, et préserver un minimum vital. Elle rejette la théorie de la substituabilité

Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 La pensée de Tocqueville 2.1 La démocratie pour Tocqueville 2.1.1 L'égalisation des conditions 2.1.2 Les caractéristiques de la société démocratique 2.1.3 Les dynamiques de la société démocratique 2.1.4 Les risques de la société démocratique 2.1.5 Le changement social selon Tocqueville[26] 2.2 Révolution française : rupture ou continuité institutionnelle ? 3 Réception de l'œuvre de Tocqueville 4 Œuvres 4.1 Travail éditorial 5 Notes, sources et références

relative, et la satisfaction des besoins — au moins ceux de base ? Doit-on défendre une distribution minimale qui ne vise que le surplus de ce qu’on possède ? Méritons-nous de nos talents et de nos qualités naturelles inégaux ? Autrement dit, est-ce que les autres ont-ils droit aux avantages naturels aux quels je ne mérite pas forcement ? Ou doit-on abandonner l’idée de la distribution parce qu’il est illégitime de contraindre les individus de partager leurs biens qui n’appartiennent qu’à eux-mêmes

automobiles et aériens, le commerce international, l'usage des ressources fossiles, de l'eau et des matières premières, la consommation de viande bovine, etc. Mais pour enclencher cette grande bifurcation post-croissance, une forte réduction des inégalités sociales est absolument décisive, dans le monde et dans chaque pays. Sinon on ne réussira pas. Un régime post-croissance dans une société soutenable est incompatible avec le capitalisme financier encore dominant. Première partie : la croissance