Les Ippj

jeunesse, à la prise en charge des mineurs ayant commis un fait qualifié infraction et à la réparation du dommage causé par ce fait). Celles-ci ne constituent pas de peines. Ces mesures de garde etc. vont de la réprimande à la mise du jeune en IPPJ. Il faut prendre en considération le degré de mineur, son contexte, du la gravité du fait. Il tiendra compte aussi des dommages causés à la victime. Il regardera aussi le dossier du mineur. Il se peut que le mineur veuille participer à une

centre d’orientation et d’observation (COO) pour une durée de trois mois. Placement dans un service d’aide et d’accueil éducatif (SAAE). Placement chez une personne de confiance. Placement dans une institution publique de protection judiciaire (IPPJ). Placement au centre de détention d’Everberg. Les ordonnances du JJ sont susceptibles d’appel. Phase de jugement : A la fin de la phase préparatoire, le JJ transmet le dossier « à toutes fins » au parquet. Le substitut du procureur du Roi

contrainte (art. 52 al. 6 et 7). Le juge doit préciser la durée maximale de la mesure (art. 37§2 al. 7). Il nous semble opportun de signaler les deux types de mesures provisoires de placements en régime éducatif fermé : en IPPJ section fermée ou en centre fédéral fermé. Le placement en IPPJ section fermée exige au provisoire le respect de conditions supplémentaires visées à l’article 52quater al. 2 de la loi de 1965. Le placement en centre fédéral fermé ne peut quant à lui être ordonné que lors de cette

changements profonds qu’a provoqué en elles l’arrivée de leur enfant. 40 « Il a changé ma vie en bien, il a changé mon caractère. J’ai des responsabilités maintenant. Je ne peux plus agir come je le faisais quand j’étais adolescente. Sans lui je serais en IPPJ à l’heure qu’il est. » « J’ai grandi, surtout dans ma tête. Avant je pensais comme une gamine. Maintenant je suis vraiment responsable, je pense comme une maman. » « Avant j’étais vraiment folle, je me battais tout le temps et maintenant je ne me bats

public a lui ses propres modalités de relations collectives. les lieux de trAvAil Sont majoritairement associatifs (asbl reconnues et subventionnées à divers degrés), mais aussi publics (services or- ganisés par les provinces, les communes ou CPAS, IPPJ, ainsi que dans le milieu scolaire, quel que soit le réseau…). Des employeurs sont également des sociétés commerciales comme des maisons de repos, certains milieux d’accueil de personnes handicapées adultes… une typologie La typologie des métiers

nos services fon face mais aussi surtout ceux des victimes de la délinquance juvénile. Pour ce qui est de la jeunesse en générale le manque de moyen à tous les niveaux que ce soit au parquet, en nos services, dans les institutions d’accueil ( IPPJ ou autres ) provoque d’une part frustrations chez les différents acteurs concernés et d’autre part un sentiment d’impunité chez certains des auteurs auxquels nous sommes confrontés. Ce sentiment d’impunité qui croit au fur et à mesure que le jeune