Les Jacobins

les administrés de façon plus étroite aux décisions qui les concernent. Évolution de la décentralisation en France: En France, le pouvoir royal avait construit à la veille de la Révolution un Etat ultra centralisé que, curieusement, -Les Jacobins, la gauche de l’époque, devaient défendre et chercher à renforcer. -Les girondins, la droite, devaient au contraire se faire les avocats de la décentralisation jusqu’au jour ou celle-ci devint un des thermes favoris de la gauche. Une des

chrétiens[réf. nécessaire]. Il ne s'est jamais autodésigné ainsi, car ce terme, inventé par l'abbé Eckbert von Schönau (de) († 1184) pour désigner les « hérétiques », fut popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 dressé contre le centralisme jacobin[1]. Les guides religieux « cathares », en effet, se désignaient eux-mêmes comme « Bons Hommes », « Bonnes Dames » ou « Bons Chrétiens » et leurs ennemis contemporains les appelaient les « hérétiques albigeois ».La doctrine cathare, probablement influencée

d’une souveraineté populaire justifiant l’universalité du suffrage et justifiant une homogénéité du corps électoral. 1 - La souveraineté populaire fondant l’universalité du suffrage Cette théorie fut défendue par Robespierre et le mouvement jacobin lors de la Révolution française. Ce courant s’oppose aux révolutionnaires libéraux (en faveur de la souveraineté nationale). Les défenseurs de la souveraineté populaire la concrétiseront en 1793 dans la Constitution de la première République.

¤ D’assurer le règne de la liberté et l’égalité. Cette convention nationale se réunit le 20 septembre 1792. C’est la victoire de Valmy contre les troupes. La Révolution révolutionnaire l’emporte. C’est le prélude à la République jacobine. § 2  La République jacobine A. « Louis doit mourir… » Le régime qui débute : 20 septembre 1792 pour s’achever en juillet 1794 (mort de Robespierre + Fin de la terreur = Phase radicale de la Révolution). 21 septembre : La royauté est abolie en France et

= révolution bolchévique. Ils veulent voir dans la RF ce qui annonce la révolution bolchévique de 1917. Une filiation est établie entre 93 et 1917. Les bolchéviques eux-mêmes font le lien. Dans cet esprit, il y a une justification de la dictature jacobine (révolution radicale nécessaire), de la violence révolutionnaire. Pour que la révolution marche : Il y a une alliance entre élite intellectuelle et masse populaire, centralisation étatique, utilisation de la force sans pitié pour les adversaire et

la plus appropriée à une mobilisation des foules. De plus, la fête de l’Être suprême présente des moyens d’expression aisément compréhensibles par les masses populaires. Mais, comme elle doit aussi marquer la direction politique de la bourgeoisie jacobine sur la Révolution, il faut que soit bannie toute initiative populaire spontanée, comme nous nous en sommes aperçus précédemment. Ligne 8 : « La fille chérie » ; Ligne 9 : « Le fils au bras vigoureux » ; Ligne 10 : «  Le vieillard souriant de

à gauche. Au centre de l’assemblé on trouve une majorité de satisfait que l’on appel la plaine ou le marais, avec mépris les crapauds du marais. En haut à gauche, on va trouver des députés qui se réunissait dans les couvents des jacobins, vont prendre ce noms de jacobins. Il y aura aussi les monarchiens, les feuillants etc.. A cette époque ces typologies sont extrêmement mouvantes, il y a des déplacements car les théories politiques vont parfois plus vite que l’assemblée d’où des basculements extrêmement

d'assister aux débats de l'Assemblée, venant souvent avec leurs tricots et approuvant vertement les discours prononcés, comme Aimée de Coigny ou Madame de Beauvau[]. Exceptionnellement, Théroigne de Méricourt est invitée à s'exprimer au club des Jacobins. Elles n'en continuent pas moins à investir l'espace public, organisées en clubs mixtes (comme celui de Claude Dansart[24]) ou féminins et en sociétés d’entraide et de bienfaisance, et participent avec passion -à l'instar des hommes- à toutes les

libéralisme (soit les doctrinaires). Cette querelle contre les libéraux qui contestaient la puissance de l'Etat et les tenants de cette puissance, remonte en réalité à la Révolution car dès celle ci apparaissait un conflit entre les Jacobins et les Girondins. Les Jacobins étaient un groupe de pressions pendant de la Révolution française. Les Girondins quant à eux prônaient sans remettre en cause les idéaux de la révolution, un certain allégement des pouvoirs de l'état, une répartition locale de cette

démonstration publique des jacobins (= la GAUCHE – MONTAGNARDS) et 1ère fête que David dirige, plus tard, le 10 août 1793, c’est la fête de l’Unité et de l’Indivisibilité qui se tient place de la Révolution (=Place de la Concorde) la statue de Louis XV est remplacée par celle de la liberté. Le but de ces fêtes est de commémorer les événements importants ou bien de remplacer les fêtes chrétiennes. . Il est élu député à la Convention en Septembre 92  et se rapproche ainsi des jacobins (adios monarchie constitutionnelle)